Bonjour je pensait que cet article allait être relayé? À moins que je ne l’ai pas vu…
C2C interpellé par les équipeurs
J’aime beaucoup les 3 commentaires faisant suite à l’article^^
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Tu devrais mettre un titre plus explicite et plus compréhensif par rapport au sujet de ton post.
(ce n’est pas c2c qui se met à faire des topos de couronnes exhaustifs ; c’est faux).
Oui, enfin à propos de cette problématique contenant/contenu, C2C permet le contenu tout de même. C2C permet de faire des topos exhaustifs… C’est là que le bas blesse pour certains 
C’est mieux?
C’est du radotage. Ce sujet a déjà souvent été évoqué.
j’en conviens, mais rares sont les sujets qui n’ont pas été déjà traité? et je l’ai proposé car il figure sur un média spécialisé…je ne connais pas assez les tenants et les aboutissants, mais il me semble que ce problème touche beaucoup de domaines transformé par le développement du net…
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Ce conflit peut s’amplifier et se retourner contre C2C , par une campagne partielle de dés équipement de début de voie des ouvreurs , avec communication par affichage au pied des voies. En utilisant la base de données il serait très facile de mener ces actions sur les itinéraires les plus populaires
C’est le mode de création des sorties qui impose de créer d’abord un itinéraire. Une partie du problème pourrait être résolu si l’on pouvait décrire une sortie en se référant juste à un sommet ou à un site d’escalade et de renvoyer les lecteurs à des références biblio pour la description précise de l’itinéraire selon ses auteurs. J’ai quand-même le sentiment que par le biais de cette procédure actuelle, il y a bien une intention de réaliser à terme une BDD exhaustive… ce qui renvoit les contributeurs à leur responsabilité puisque ce sont eux qui au final se tirent une balle dans le pied. Nous en sommes au point où un modèle est menacé sans que des alternatives aient été imaginées de manière concertée.
En réaction, l’idée de déséquiper me parait une bonne manière d’appeler chacun à sa responsabilité : les contributeurs autant que ceux qui gèrent la mise à disposition des données.
D’ajouter que la proposition de C2C quant à rechercher des pistes de financement pour l’équipement /entretien placerait l’association dans une position qui conforterait la captation des topos au profit d’un acteur unique.
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L’appel des équipeurs se focalise quand même essentiellement sur les sites de couennens non ? Très peu de gens rentrent une sortie pour un site de couenne je pense.
(sinon, il faudrait ptet fusionner cette conversation avec l’autre (la dernière encore active ).
Je ne pense pas que JMC fait référence à des sites de couennes!
oui bien sûr. J’aurais du dire, a part le cas particulier de Cambon qui est l’un des rares équipeurs « privés » à se financer uniquement via la vente de topos.
Je ne vois pas trop la finalité de la chose, à part initier un réequipement sauvage du départ des voies.
Parfois une action produit des effets bien loin de la motivation de départ. Wait and see
En plus de la désafection des sites ainsi pourris, donc à terme moins de topos vendus.
question bête: à quoi servent les topos papier ?
Je ne qualifierais pas cette question de bête mais de provocation inutile au vu des nombreux sujets et messages sur ce thème depuis quelques mois…
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La nouvelle ergonomie de C2C sur les sites de couennes me semble clairement une incitation à faire des topos exhaustifs.
C’est dommage, parce qu’à mon sens, la valeur ajoutée est faible, on aurait pu laisser vivre les topos papiers à côté…
Par ailleurs, je vois des topos de couennes où voisinent des voies en 3 et des voies en 7.
https://www.camptocamp.org/waypoints/102196/fr/collias#&gid=1&pid=5
J’ai du mal à croire que l’auteur a tout parcouru consciencieusement, ou que le grimpeur de 3 a échangé avec le grimpeur de 7 pour le plaisir de sortir un topo en ligne ; je crains plutôt que ce ne soit une copie améliorée d’un existant…
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Je n’arrive pas à obtenir l’information, mais le topo a-t-il été rentré par un seul utilisateur, ou par plusieurs ? Car c’est aussi un avantage des topos collaboratifs.
Et sinon, un des commentaires dudit site, montre bien que la question n’est pas aussi facile à trancher que le voudraient certains (dans un sens ou l’autre, hein)
Remarque : il se peut néanmoins que ce topo soit simplement un copié-collé d’un autre, ce que je désapprouve grandement.
sur l’éthique puisque c’est le fond du sujet, j’ai du mal à me balader avec une photocopie au pied des voies (parfois j’ai pas le choix car certains topos sont introuvables) et j’ai les boules lorsque comme cet été à orgon un couple d’Allemand qui étaient là pour au moins une semaine n’ont pas pris 5mn et 23 eu pour acheter le topo au tabac distant d’un kilometre… mais comme partout l’étiquette est une route plus difficile… je me sert des infos C2C pour affiner mes choix de destinations, mais la plupart du temps je participe à l’effort en achetant les topos, et lorsque j’ai un coup de coeur, je me fends d’un petit mail pour remercier les équipeurs, (c’est mon coté lèche )