J’ai clairement donné le principal argument dans mon précédent message mais tu n’es apparemment pas capable de le voir. Allez, je te laisse le relire.
Les montants de l’équipement d’un côté et de la vente des topos de l’autre sont dérisoires. Le matériel de n’importe quel grimpeur a sur lui coûte plus cher que la voie qu’il grimpe. Je ne vois pas comment l’argent du matériel pourrait financer l’équipement mais c’est ce que je voulais dire quand je parlais de l’argent qui circule dans le monde de l’escalade.Il y a aussi l’argent des collectivités locales intéressées par le développement de l’escalade. Je vois par exemple dans le topo des Aravis que les chevilles et plaquettes de la falaise de la Colombière ont été payées intégralement par la commune du Grand-Bornand. Les sites d’escalade sont également les outils de travail des professionnels de l’encadrement.
La vente de topos peut partiellement financer l’équipement mais ce n’est sans doute pas le seul moyen de le faire. Ce ne sont sûrement pas les topos d’escalade sur C2C, qui concernent essentiellement les grandes voies, qui mettent en péril l’équipement des sites.