Ben si lui il redescendait avec le glacier.
Camping sauvage
C’est marrant en fait : tous les dix ans, on a les mêmes questions :
en 2002, les grimpeurs étaient des porcs
en 2015, le PQ avait son ode
en 2022 …
Alors c’était pas un touriste de base sur la voie normale
Si j’en crois wikipedia :
Les pédologues qualifient de sol ou de terre arable les décimètres supérieurs de la surface de la Terre
Voilà, chez moi ça s’appelle la terre végétale et c’est mis de côté (quand on en rencontre) pour être réutilisé après les travaux dans les espaces verts.
Chez moi toujours, le sol c’est ce qui sert de support aux fondations et c’est sous cette terre végétale. On ne s’embête pas avec les vers et autres micro-organismes.
Une Bouygues’ girl !
vade retro !
Bon, je fabule. Le gars était de 1998, et je suis passé en février 2001 apparemment. Trois ans, sans charognards ou fourmis, à mon avis, même au fond du jardin de chez moi, il en reste des bouts.
Une fois, j’ai posé un cadavre de chat trouvé sur la route dans une fourmilière, il m’a fallu moins d’un mois pour récupérer un crâne dans un état extraordinairement propre.
Y’en faut bien non ?
Et puis c’est même pas vrai, je ne travaille pas chez eux ni pour eux. Dans les projets du moment, on ne parle pas de terre végétale, plutôt de dépollution des sols…
Ouais tu fais des études de sol quoi
En voilà une salade (si je puis dire) pour qq crottes de bonshommes ici ou là dans la nature. Ça ne va pas changer la marche du monde (à condition de ne pas mettre le pied dedans). Le vrai problème, c’est la concentration. L’hiver autour des refuges, par exemple, ou au pied de certaines falaises.
Même pas, je calcule des fondations.
Ah ? Je me demandais justement pourquoi certaines parois s’écroulaient !
T’as quand même besoin de connaître les carfactéristiques du sol pour ça non?
On ne serait pas en train de froler la remarque sexiste là ?
Concentration qui dépend aussi de facteurs météo et hydrologiques. Un unique caca mou mal positionné dans un buisson d’aulnes, et c’est tout le refuge qui d(é)rouille. Puis, joie des exponentielles intestinales, c’est ensuite le ruisseau à l’aval (déjà en étiage sévère) qui trinque (à vot’ santé).
Alors si on y ajoute la croissance des loisirs et sports outdoor, et des ruées épisodiques (déconfinement et vacances franco-françaises…), le « petit caca innocent » est juste la cerise sur le curieux gateau, la goutte qui fait déborder le pot de chambre.
Connaissant François c’est du 2nd degré. Mais vu de loin, oui.
Oui, mais elles me sont apportées sur un plateau par une étude de sols (et elles ne s’arrêtent pas franchement sur les caractéristiques organiques de ceux-ci, si c’est organique, c’est pas bon pour les fondations, donc on descend en-dessous pour faire simple).
Tiens histoire de me raccrocher aux branches j’ai trouvé ça sur wikipedia :
Dans le cadre des sciences des matériaux, la pédologie fournit également des bases en mécanique et en comportement des sols ainsi qu’en hydrométrie pour la géotechnique et la statique des bâtiments, utilisées dans la construction de fondations.
A l’école on parlait de géologie, géomécanique, géotechnique, enfin bref, des géo-choses. Je ne doute pas qu’il y a certaines parties de la pédologie qui se recoupent avec tout ces géo-trucs, juste on n’utilisait pas le même nom. Et je n’ai jamais croisé ce mot « pédologie » dans les dizaines de rapports de mission géotechnique que j’ai pu lire, même si effectivement, il y a des coupes de sol.
partir en rando quelques jours pour se reposer.