DUDU, j’avoue ne pas bien comprendre ce que tu veux dire?
Dans la réflexion de Chapoutot, je fais personnellement qu’un modeste rapprochement avec la non acceptation du risque lié à la pratique de l’escalade en TA, en montagne où bien sur, en salle, pour certains grimpeurs d’aujourd’hui.
Ayant construit une salle d’escalade sur Clermont-Ferrand depuis maintenant 22 années.Tous les clubs de Clermont-Fd (le CAF, le CHU, Gendarmerie ,92 ème RI, AS Police, CRDV etc…), grimpent dessus.
Notre structure, est mise à leur disposition, gratuitement, dans le cadre de convention signées entre notre Administration et eux. De ce fait, chaque club, extérieur, utilise notre SAE en connaissances de causes et acceptent leurs responsabilités lors de leurs séances.
Acceptant totalement mes responsabilités quant-à la fiabilité de la SAE, je ne suis pas prêt à accepter la responsabilité du grimpeur qui ne prendra pas le temps d’apprendre les rudiments des techniques de sécurités liées à la pratique de l’escalade et à l’assurage de son compagnon (a plus forte raison, si celui-ci prend plus de temps à discuter avec son voisin, plus-tôt qu’à observer son compagnon de cordée).
Depuis maintenant 5 années que nous autorisons l’accès gratuit sur notre SAE, au bénéfice de certains clubs, nous exigeons la présence obligatoire d’un Initiateur SAE, minimum.
Je suis conscient bien évidement que cela ne nous exonèrera jamais d’un sentiment de culpabilité,(en cas d’accident sur notre SAE), mais fera peut-être prendre conscience, aux responsables de clubs, ayant signés ces conventions et ses consignes de sécurités, qu’il est grand temps de regarder ce qui se passe autour d’eux et enfin, que l’espace vertical d’une SAE, est certainement pas dénué de DANGERS…
Dans le cas du forum qui fait débat actuellement, je pense personnellement que l’assureur, a une grosse par de responsabilité et qu’il est surprenant qu’elle n’est pas été mise en avant lors du procès.
Cordialement, Christian