Même age et autre philosophie à mettre en avant
Voyage transcontinental à vélo
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« En Asie centrale, il roule pendant dix jours avec un vent de face entre 20 à 40 km/h. En moyenne, il parvient à faire 180 km par jour à la force de ses cuisses. »
« A mettre en avant », je ne sais pas…
Avion depuis Lukla jusqu’à Kathmandu, puis re-avion jusqu’à Genève…
180 km par jour en mode voyage vélo-sacoches longue distance et parfois sur pistes gravel, c’est beaucoup et perso je trouve que c’est un peu dommage, pas le temps pour profiter des lieux que l’on traverse et des gens…
Un voyageur bien pressé, donc…
Un voyageur n’est il finalement pas toujours quelqu’un d’un peu pressé ?
Vous avez 3h 
Un voyageur à vélo transcontinental ne devrait pas être « pressé », à mon humble avis…
180 km par jour en cyclo-camping, c’est énorme, tu passes énormément de temps sur le vélo (qui est lourd), et donc forcément moins de temps pour la découverte des lieux que tu traverses et les gens.
Après chacun fait ce qu’il veut, comme privilégier le côté sportif, ou plutôt découverte des terres que tu traverses…
Mais le temps est un luxe que peu de gens ont ou s’offrent… (vous avez 3h ! )
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Belle balade å vėlo. Il retournera peut-être une prochaine fois en avion pour gravir le sommet et ainsi terminer son aventure.
Il rentre en avion car malade mais avait prévu de rentrer en velo egalement.
Que dire de ceux qui prennent l’avion, faut quand même oser la sortir celle la
Jean découvre les paysages somptueux du >Pakistan, son pays préféré jusqu’à présent. " >J’ai adoré l’hospitalité des gens, je me suis >régulièrement fait inviter à prendre le thé ou >un repas chez des habitants, c’était génial ", >explique-t-il.
Voilaaaa. Il est bien ce petit.
Bon moi j’y suis allé en avion. Mais ya prescription.
Tu as raison : je voulais plutôt dire « cyclo-voyageur pressé », et pas voyageur…
(180 km/jour, 11.000 km en 70 jours, ce n’est pas courant dans "le monde des voyageurs à vélo transcontinentaux, et pas forcément un exemple « à mettre en avant », mais c’est juste mon avis à moi, aussi cyclo-voyageur transcontinental, je connais un peu…).
Le mec va en velo au nepal, et il y a toujours des gens qui arrivent à critiquer. Il aurait du le faire en marche arrière sur une roue?
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Ça aurait été plus élégant oui. 
Et avec les bras croisés, tant qu’à faire ! 
un sketch ce commentaire … 
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Pas de problème, chacun ses opinions…
Je réagissais surtout à ce bout de phrase écrit plus haut : « autre philosophie à mettre en avant »
As-tu déjà réalisé un voyage à vélo transcontinental, @HugoFS ?
Et si oui, combien de kilomètres tu faisais par jour, en moyenne ?
(peut-être que je suis un peu dépassé, et que de nos jours 150 ou 180 km par jour c’est classique ?)
On peut aussi se soigner au Népal, puis faire l’Ama Dablam une fois guéri, et puis rentrer à vélo après, pourquoi pas ?
C’est étonnant cette idée que lorsqu’on est malade à l’étranger, on doit rentrer vite à la maison…
Pourquoi ?
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Evidemment l’aspect que @lolo7438 souhaite mettre en avant c’est le fait d’y aller en vélo (donc bas carbone).
La distance parcouru chaque journée ne conseil que lui.
Oui, un peu à la Göran Kropp qui tractait ses 100kg de matos dans sa remorque derrière son vélo. En aller-retour…
J’avais aussi un peu remarqué l’intérêt particulier de @lolo7438 à propos des émissions de CO2, de l’avion, de la culpabilisation de ceux qui font de grands voyages en avion…
Je remarque qu’au moindre petit pépin sans grande gravité, on rentre vite en avion aussi…
Oui bien sûr, mais on peut aussi avoir un avis là-dessus, car cela en dit long sur le type de voyage (performance/challenge sportif, ou plutôt voyage découverte…)
Bah oui on peut avoir des avis là-dessus, mais c’est un peu HS…
Dans les deux cas (Inoxtag et Rouaux) c’est un voyage en mode performance/défi sportif. Les défis sportifs sont aussi légitimes à mes yeux que les voyages découvertes.
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D’accord avec ça.
Ce sont des challenges sportifs (respectables) qui m’apparaissent quelque part similaires donc, et ni l’un ni l’autre « à mettre en avant » en particulier…
Se focaliser sur l’avion me semble un détail… (vu le nombre d’avions en l’air à chaque instant et les millions de gens qui les prennent tous les jours, pour X raisons…)
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Pour X bonnes raisons
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Et avec les conséquences (pour tout le monde) que l’on constate année après année sur toute la planète.
Mais l’avion ne l’oublions jamais ne représente “que” 3% des émissions de GES .
Et moi et moi et moi .
Bah si quand-même. On peut regretter qu’il ait pris l’avion suite à tomber malade (personnellement je ne lui en veux pas) mais l’approche démontre quand-même une certaine volonté de réduire son impacte/l’impacte de ses pratiques.
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