bien si tu vas par, quelqu’elles soient , everest, alpi,piano, petit déjeuner… il y a toujours qqn pour remettre en case la façon de faire de l’autre.
Kaizen, un an pour gravir l'everest, le film d'inoxtag
Déjà fait en 1978 par Jean Afanasieff
Très intéressant cette analyse.
Et sur Kaizen. Bravo! Quel film formidable. Des images magnifiques, au cœur de l’action, en panoramique, aérienne et de qualité.
Se fixer un objectif, se préparer, donner de sa personne pour réussir son projet est fait de manière remarquable et avec humilité. Beaucoup aurait coupé les moments de ”moins bien”.
Encore merci pour ce film.
Chouette édition de Grand Air sur TéléGrenoble avec deux intervenants (l’alpiniste Jean-Yves Frediksen et le journaliste François Carrel) qui connaissent leur sujet et qui donnent infos et avis sans ton péremptoire.
Après avoir lu tout ce fil je me suis dit qu’il était temps que je regarde Kaizen et c’est donc fait désormais. J’ai plutôt aimé, c’est beaucoup mieux que les visions hollywoodiennes du sujet, mais forcément c’est beaucoup moins bien que des films comme Meru. J’imagine que ça devient vraiment incroyable quand on fait pas de montagne et ou si on est fan de inox.
Ce que j’ai aimé : les images, l’évolution du personnage d’inox, la première moitié du film.
Ce que j’ai pas aimé, ou qui ne m’a pas parlé : le montage qui force un peu, les discours un peu philo en haut des sommets, ça pourrait faire 30min de moins.
Sinon c’est un bon basique sur l’everest mais ce que je trouve intéressant de discuter c’est ce qui m’a semblé le plus bizarre dans tout ça : cette scène shonen au ressaut avant le sommet de l’ama dablam où c’est inox qui « force » pour finir alors que même mathis semble dans le dur et pas sûr de lui. Je comprends pas trop la posture de mathis là dedans, ça fait pas vraiment pro non ? Ou bien je suis complètement délu de l’attitude que devrait avoir un guide dans cette situation ? Ça m’a paru presque scénarisé tellement c’était surréel.
Salut j’ai vu une vidéo de mathis dumas ou il explique que c’est clairement du story telling et du montage cette section là à l’ama dablam. Mathis avait le jus et voulait continuer. Il est également arrivé en retard au sommet, bien après inox car ils ont tenté de faire décoller le drone et faire des images. Il l’explique dans une interview sur la chaine de « extraterrien »
Bonjour
Je n’ai pas encore vu le film mais ce qui fait halluciner et m’agace vraiment c’est cette manie qu’on les « vrais gens de la montagne » à critiquer de manière uniquement négative et condescendante quelque chose qui sort de leur champ de vision…
Bien-sûr que cela aurait été mieux sans oxygène mais il place bien le curseur là où il veux.
Bien-sûr que les moyens financiers mis en œuvre suscitent de la jalousie et un sentiment d’injustice chez les « vrais gens de la montagne ».
P. Descamps aurait pu aussi souligner les aspects positifs (bon, à ses yeux il n’y en a peut être pas), l’aspect humain, le lien entre le guide et son client, l’évolution humaine et sportive d’Inoxtag, et j’en passe…
Il écrit que M. Dumas « cautionne » le projet : il est guide de montagne et il ne va pas cracher sur le travail ; il faut bien se faire un salaire. Et puis il n’a rien fait de mal… ah si : emmener quelqu’un avec de l’oxygène et qui a vraiment de très gros moyens financiers que n’ont pas la majorité des prétendants à ce type e sommet…
Je me permets cette citation Dominique Hennequin sur le Dauphiné pour conclure mon intervention ; Ce qu’il a fait le gamin, c’est vraiment pas mal : il a donné à son rêve une dimension physique, esthétique et spirituelle. Et rien que pour ça, je suis content de l’avoir aidé
Ah, et moi qui ne fait pas partie des « vrais gens de la montagne » j’ai le droit de critiquer alors ?
Il me semble que tu as du mal à faire la part des choses dans les critiques : ne pas crier « fantastique, bravo », mettre en lumière des côtés jugés très négatifs de ce phénomène (industrialisation de l’himalayisme, business autour de la montagne), relativiser le côté « exploit » d’un Everest avec ox et cordes fixes, ça ne signifie pas que tout est négatif dans ce projet ou que inoxmachin et son guide n’ont aucun mérite.
Je plussoie.
Et surtout on a le droit de s’en foutre un peu.
J’ai aimé ce film
Je ne connaissais pas ce youtubeur et j’avais un a priori négatif: un jeune friqué qui n’a jamais mis un pied en montagne et qui se la pète ?
Eh bien non, au contraire ce gars a du plomb dans la tête et il fait preuve d’humilité.
L’occasion de faire passer un message aux jeunes: laisser vos téléphones, sortez, vivez vos rêves.
On vit sa préparation pendant 1 an, ses états d’âme, ses peurs, ses doutes, l’ascension de l’Ama Dablam puis de l’Everest où l’émotion au sommet n’est pas feinte.
Et puis les images, magnifiques: par drones ou au plus près, un régal
Pour tout ceux qui écrivent inoxmachin, sachez que inoxtag c’est 3 lettres de moins…
Donc pas la peine d’être méprisant, écrire son pseudonyme en entier vous prendra moins de temps.
Capitaliste! Encore un qui veut faire gagner du temps, et donc de l’argent aux gens.
Méprisant ou irrévérencieux « inoxmachin »?
Sinon, quelqu’un sait à quoi fait reférence ce « nom de scéne » inoxtag?
généralement, on trouve la vie des stars sur wikipédia.