Pour aller dans le sens d’assurer au point fixe, sur la vidéo de présentation de l’alpin up, ils montrent comment dynamiser en point fixe. Et c’est vrai que quand t’es pendu à ton relais c’est quand même plus simple de dynamiser comme cela plutôt qu’avec le corp.
Technique de relais ENSA
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oui, sur le relais. C’est l’une des méthodes d’assurances utilisées dans les Dolomites. Avec un machard en aramid,
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On m’a appris que pour éviter retournement du relais construit sur points douteux, faut mettre un point « à l’envers », coinceur, sangle venant du bas, qui justement serait solicité pour éviter le retournement/arrachement vers le haut du relais.
Je trouve la video confuse, car elle tant à complexifier un sujet pourtant déjà clair, et à mélanger donnée scientifique et affirmations sans démonstration « L’avantage de XYZ est clairement annulé par l’inconvénient ABC ».
bien dit, après c’est l’ensa fallait pas t’attendre a autres chose…
bon je vais pas m’eterniser sur le sujet car visiblement ca emmerde plein de gens qu’on parle d’un sujet qui les interesses pas, alors qu’ils pourrait juste passer leur chemin… mais en recherchant un peu vous trouverez plein de doc/videos qui sont tres bien faites sur ce sujet
C’est la méthode que j’utilise, et comme c’est en tension je ne vois pas trop le soucis.
Mais c’est mon choix, c’est pratique et rapide.
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y’a quand même de sacrés brutes sur C2C. Des mecs qui mettent en doute l’expérience de Tchouky, de JF Charlet, de Philippe Batoux … pi qui ont en plus à dispo un labo d’études meilleur que celui de petzl …
c’est impressionnant 
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alors je met pas en doute les choses… mais je les rejoins sur un point : ils ne vont pas vers une compréhension claire, pourtant la base de la sécurité.
oui, c’est vrai. Leurs vidéos sont pas toujours tops …
ca ne reste que mon avis, mais par rapport aux moyens déployés, et quand tu compares à d’autres instituts du même style à l’étranger, la qualité des productions est moins bonne, outre le fait que l’on a pas accès a l’étude détaillé, la video en elle même montre a un grand publique une technique, sans préciser quelques points de sécurité minimum… par exemple le coup du renvois pour le reverso c’etait bien le minimum
c’est un peu comme filer une dégaine a quelqu’un sans lui montrer comment s’en servir, un peu optimiste
pourquoi me cites tu des grands noms? ils auraient participés a l’étude j’aurais rien dit
et puis bon, ce n’est pas ton carnet de course qui importe quand il s’agit de faire une étude…
ben justement, ils sont cités dans la video et on participé à l’étude …
C’est bien beau un assurage sur le relai, mais ma religion m’interdit d’utiliser un demi cab :
- Ça toronne les cordes.
- Ça use les cordes : le bruit que fait la corde quand on descend le grimpeur, ce n’est pas seulement la gaine qui se fait chatouiller. Plus il y a de bruit, plus ça s’use. Et quand la corde est plein de sable, c’est la cata.
- Il faut le retourner pour changer de sens de défilement (ce qu’on fait à chaque point quand on avale le mou le temps que le grimpeur dépasse le point).
- Il faut le mettre dans le bon sens pour éviter qu’il dévisse la vis du mousqueton. Sauf que ce n’est valable qu’avec 1 seul sens de défilement ! Il faut donc tout le temps surveiller la vis du mousqueton. Or j’ai eu de mauvaises expériences avec ce genre de système (devoir tout le temps surveiller une vis de mousquif).
Par ailleurs, un assurage sur le relai empêche de pouvoir se mettre à 3m du relai (pour donner du mou, il faut que le point du relai sur lequel on accroche l’assurage soit au niveau du buste).
Se mettre à 2-3m du relai est utile :
- Quand les bonnes fissures pour placer les friends du relai sont à 3-4m d’une vire/terrasse/marche.
- Pour limiter le facteur de chute sur le point de renvoi (et sur le grimpeur accessoirement !).
Et enfin, mettre l’assurage sur un point du relai implique que ce point seul (et non l’ensemble du relai triangulé) soit résistant à un effort important vers le haut.
Pour un relai sur piton, ça signifie qu’un piton planté tête en haut ne convient pas car il travaille en arrachement.
Pour un relai sur friends, ça implique d’ajouter un bon friend (car il doit tenir 5-600kg) en dessous du friend qui reçoit l’assurage, et relié au mousquif de l’assurage, en étant toujours tendu, sinon il risque de mal se replacer lors du choc.
Désolé, mais ça fait beaucoup trop d’inconvénients à mon goût !
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bon ca change rien au reste de ma pensée
C’est curieux comme tutoriel venant de l’ENSA qui est LA référence en montagne. Comme disait Limbo, on dirait plutôt un comparatif entre 2 assurages, l’un étant plus dynamique que l’autre.
Surtout, les relais ne semblent n’exister que chainés sur spits. Quid des points sur coinceurs, friends ou becquets ?
Il est également curieux de regarder encore des tutoriels de l’ENSA montrant en référence des relais sur sangle ou sans point de renvoi (dans le dernier extrait).
Par contre, cette vidéo soulève le problème de la tenue d’un relai en TA lorsque l’assureur est arraché vers le haut par la chute de l’ouvreur. Un prochain tutoriel peut-être …
Une explication pessimiste est que l’ENSA a fait et terminé une étude approfondie, mais ils publient des miettes pour que les guides aient une longueur d’avance.
Une version optimiste est qu’il faut que l’ENSA publie des video régulièrement, mais ils n’ont pas fini l’étude, alors ils publient un teaser.
Pour finir l’étude, il faut surement que de nombreux guides utilisent cette méthode dans divers situations (avec un client, avec un pote de même niveau, différents types d’équipement, de terrain, etc) afin de voir les avantages et inconvénients. Ca prend plusieurs années…
tu as vraiment regardé la vidéo ???
Oui. A part le dernier relai sur pitons bétons (d’ailleurs sans point de renvoi), nuls coinceurs, becquets ou friends.
En fait que des relais déjà équipés, ou dans le dernier cas semi-équipé…
Du point de vue du matos, la différence est qu’il faut maintenant (" ") une sangle plus longue pour construire le système d’assurance (le relais). En effet, la sangle (en boucle) doit être munie d’un noeud de huit. Ce noeud, avec donc quatre brins de sangle, requiert une sangle plus longue.
Perso, elle fait 8 m. (Edit)
Bonjour,
Vous entendez quoi par « vertaco »? J’ai vu que c’est une technique utilisée avec le huit, mais je n’ai pas trouvé comment l’appliquer dans le cas du reverso…
Merci d’avance!
c’est comme sur la photos suivante (si je mets le lien depuis le site ca convient comme si j’avais cité?)
enfaite j’ai dit vertaco, mais dans l’idée c’est juste un simple renvois (avec un mousqueton plus petit ou vraiement identique), faire un vrai vertaco obligerais a ouvrir le mousqueton sur lequel est attaché le reverso ce qui est un peu limite pour pas dire a exclure
j’espere que la photo de parais claire, si tu as d’autres question n’hesites pas
Tu confonds avec la descente en rappel sur 8 en mode Vertaco