C’est vrai que c’est chiant ! la patine de la résine, la dégradation esthétique de la voie, et la perte de recherche de l’itinéraire, entre les prises violettes ou vertes…
La magnésie, c’est un problème de réflexe et de mimétisme…
Car, la plupart du temps, on peut grimper sans.
C’est vrai que cette surenchère de blanc commence aussi à ma gaver.
La semaine dernière le 12 bleu ciel d’Appremont était saccagé et j’ai prendre 5 min pour tout brosser… Il y avait même des empreintes entières de mains… Incroyable !
Mouais. Autant le coté tic psychologique est indéniable. Mais dire que c’est sans intérêt jusqu’au niveau X, c’est généraliser un cas. Il existe des chanceux qui peuvent s’en passer, et des malchanceux qui suent des main (et des pieds) même sans effort. Je suis pas convaincu qu’aller expliquer que c’est « sans intérêt » soit utile pour inciter les gens à se modérer…
Actuellement, mon niveau limite, c’est IV+. Et encore, les bons jours.
Mais moyennant encore un peu d’entraînement, je ne désespère pas d’arriver au III+.
Hélas nous ne sommes pas tout égaux devant la transpiration des mains.
Personnellement je dois même poffer pour réussir à ouvrir les pots de confitures à Mémé (qui sont pourtant d’un d’un niveau bien inférieur au 6c).
Et mon poffage est plutôt lié au condition qu’au niveau de difficulté: en hivers je ne poffe presque pas, alors qu’en plein cagnard en été, c’est a peu près a chaque mouvement… (sans pour autant laisser tant de trace que ça, la magnésie absorbant l’humidité (et inversement))
La question suivante est donc : quel est l’intérêt de grimper en plein cagnard l’été ? Normalement en été, on cherche l’ombre ou l’altitude, pour justement ne pas avoir trop chaud.
Vous avez vraiment le même plaisir à grimper quand il fait trop chaud que quand il fait juste la bonne température ? Sinon, pourquoi insister ?
Tout à fait bubu: déjà que je ne grimpe pas souvent, je ne vais pas aller me coller au soleil exprès: Dans ce cas la le mieux est de monter en altitude !
Mais parfois on a des surprises et il fait plus chaud que prévu et ce n’est pas rigolo.
(Et le poffage à chaque mouvement c’est exagéré hein, mais bien plus qu’un autre c’est certain… )
Mon propos était pour illustrer le fait que ça n’avait pas grand chose à voir avec le niveau absolue de la voie: le type de prise, la difficulté par rapport à son niveau max, l’hydrométrie la température par contre oui et les mains elles même.
« on est surement pas tous égaux devant le transpiration »
c’est certain même qu’il y en a qui doivent transpirer des poignets (voir plus) vu qu’ils ont besoin de mettre de la magnésie jusqu’au coude même dans les passages les plus faciles de la voie
je suis également effaré de voir la quantité de magnésie renversée au pieds des voies.
Ma foi, ça fait quelque temps que j’essaye (environ 5 mois), et pour l 'instant je trouve ça pas mal.
Ce qui déstabilise le plus c’est que , contrairement à a magnésie, ça ne laisse pas une fine pellicule sur les doigts mais je trouve que ça sèche pas mal tout de même.
je ne mets pas exactement de la sciure, c’est plus un mélange de copeaux très très fin et un peu de « poudre de découpe » style sciure.
Ca permet de garder le geste de repoffer au repos, c’est agréable au toucher, ça sèche les mains et avec en plus un coup d’essuyage sur tee shirt ou pantalon t’as des mains toutes propres.
Pour l’instant, je suis plutôt convaincu.
Ok, ça doit dépendre des spots…Sur ceux que je fréquente, il ne m’a pas semblé remarquer forcément de différence par niveau…