Sauver l'EPS et l'éducation

Posté en tant qu’invité par yannus:

Je pense que dans la théorie, l’EPS au collège et au lycée est maintenant au point.
Reste à voir ensuite la personne (le prof) qui va le mettre en pratique ; et là comme partout, j’ai vu de tout pendant ma scolarité : du gros bourrin qui connait que la course en endurance et le hand-ball (j’ai fait ça pendant deux ans d’affilé avec un bref passage gym) jusqu’à la prof super sympa qui elle appliquait vraimment la « théorie EPS », en passant par le pervers (qui d’ailleur est maintenant en jugement).
Reste enfin à voir les équipements sportifs et la région dans laquelle se trouve le lieu d’enseignement : beaucoup de différences là encore ; pas de mur d’escaladec donc pas d’escalade, pas de piscine dans les coins, pas de natation… Certaines régions sont plus propices à certain types de sports : en haute savoie, le mercredi aprem c’est ski pour certains lycées… Mais si t’habites à Calais et que t’aimes le ski t’es pas près d’en faire à l’école.
Pour conclure, j’ai eu des bonnes et des mauvaises années scolaires en EPS ; d’autres auront peut être que des bonnes et d’autres peut être que des mauvaises. En tout cas il n’y a pas de généralités possible.

Posté en tant qu’invité par Jerome:

J2LH a ecit :

Je définirais le sport comme une activité physique de loisir et ce dernier terme est >important, si pour entrer dans le cadre scolaire on retire la notion de loisir il s’agit >uniquement d’une activité physique sans notion de jeu et de plaisir (telle qu’elle était et >est toujours pratiquée sous certains régimes). Si on parle de plaisir, de jeu, l’école >n’est sans doute pas le meilleur cadre pour pratiquer, surtout si en plus on impose des >notes aux élèves et qu’ils ont un cours de sport entre un cours d’anglais et un cours de >maths.

COMPLETEMENT D’ACCORD !
En faite, je crois, quand on parle de sport à des sportifs, une grande part de plaisir y est associé spontanément. Ce n’est pas le cas pour tout le monde…
On aimerai (on c’est nous, grimpeurs donc sportifs) que les cours d’EPS soient toujours sympas, distrayants… Ce n’est, comme pour le cours d’anglais et de maths, que la cerise sur le gâteau. Ca arrive de temps en temps, c’est tout. De toute fçon ce n’est pas le but.

Oui, J2LH, je suis vraiment d’accord avec ton dernier mail !

Posté en tant qu’invité par GG:

Je reviens au post d’origne de Florent :

"Les étudiants en Staps se mobilisent pour le rétablissement des postes aux concours d’enseignements (-42% de profs d’EPS en 2004).
"Si vous penser que l’EPS et l’éducation sont important, aller voir là:
pouretablirlespostes.free.fr
« Merci Florent (grimpeur et étudiant en STAPS) »

Soyons un peu sérieux !
1/ on ne va quand même pas embauché à l’EN tous ceux qui sortent des STAPS
2/ Il est quand même bien connu et reconnu que les diplômes STAPS ont cette qualité de déboucher sur le chômage en dehors de l’EN
3/ Il faudrait cesser de mentir aux étudiants en prétendant qu’ils ont un super diplôme dans la poche. Que peuvent-ils faire en dehors de l’EN ? Pas grand chose ! (surtout sans BE)
4/ Enseigner de la théorie avec un niveau de pratique assez lamentable (certains diront minable), c’est franchement sans espoir même si certains d’entre eux ont des compétences ou des prédispositions remarquables.

Alors quand vous êtes en STAPS vous avez la possibilité d’avoir un diplôme mais qu’un diplôme. Pas un emploi.
C’est comme une licence ou un bac, ça n’est rien sur le marché de l’emploi, juste la justification d’un niveau d’étude pas la justification d’une compétence.

Posté en tant qu’invité par myamu:

Franchement il n’y a rien à sauver :
si il y a moins de place au concours c’est qu’il y a moins de besoin.
Après, que les étudiants qui se sont engagés voient leur nombre de chances relatives de réussir diminuer, c’est leur problème.
J’arrive à comprendre qu’ils soient déçus d’avoir plus de difficultés à atteindre cette sinécure de 18h par semaine sans préparation (ou presque) de cours ni correction et payé comme un prof de Français, mais l’éducation nationale et les contribuables ne sont pas là pour leur faire plaisir.
Allez, au boulot, les premiers seront quand même récompensés !..

Posté en tant qu’invité par Vincent:

J’ai 18 ans , je grimpe à Entre-tps Besançon 2 à 3 fois par semaine , je suis aussi dirigeant d’une équipe de foot et j’ai eu mon bac avec mention AB l’année dernière grâce ma note d’EPS (13) . L’année dernière j’ai pu participer malgré mon handicap, au cours d’EPS grâce à des profs sensibilisés au problème . Puis je voulais aller en STAPS pour faire du Management du sport et travailler dans une collectivité local . L’UFR STAPS m’a répondu qu’il ne pouvait changer les barèmes en EPS pour moi.
Tout cela pour dire que avant de vouloir sauver l’EPS et la filière STAPS , il faut réflèchir comment s’adapter à tout les genres d’élèves ou d’étudants

Vincent
grimpeur et étudiant en IUT GEA

Posté en tant qu’invité par oli_v_ier:

myamu a écrit:

si il y a moins de place au concours c’est qu’il y a moins de
besoin.

Ou qu’il n’y a pas assez de crédits pour embaucher.

Posté en tant qu’invité par Bruno:

petite précision : si je ne me trompe pas les profs d’EPS ne font pas 18h comme les autres profs mais en ont plus (je ne sais pas combien exactement). Ceci dit il est sûr que le metier de prof de’EPS reste assez tranquille :wink:

Posté en tant qu’invité par pims:

raoul a écrit:

Je sui Be escalade est je trouve perso que les profs d eps
connaissent pas grand choses a l’escalade (mise à part un prof
qui est grimpeur)>

je suis tout à fait en accord avec ce que tu avances mais le réel problème n’est pas là. il semblerait qu’en EPS , l’APS (activité physique et sportive) escalade soit particulièrement peu commode à mettre en place pour un prof, j’en ai d’ailleurs moi-même fait l’expérience! mais les causes sont multiples. d’une part, les profs novices n’ont pas l’expérience et surtout des connaissances complètes dans toutes les activités, et c’est d’aiileurs ce que beaucoup de personnes n’arrivent pas à comprendre: les professeurs d’EPS ne sont pas des BE ni des spécialistes dans toutes les APS, nous sommes avant toutes choses des spécialistes de la motricité!!! l’APS n’est qu’un support d’enseignement… néanmois je suis d’accord pour dire qu’avant de proposer une activité escalade il aurait fallu l’étudier en l’analysant sérieusement! jusqu’à inévitablement l’avoir vécu en tant que pratiquant soi-même pour se rendre compte…
-d’autres part les enseignants plus anciens devraient parfois se remettre à jour sur certains domaines.

Ils savent pas encadrer,

il ne faut pas généraliser non plus… certains profs encadre très bien et j’en connais!!

point de vue sécu c’est n’importe quoi leur séance

tu relates bien là un problème de mise en oeuvre pédagogique et didactique que devraient prendre en considération certaines personnes. mais encore une fois rien ne sert de généraliser!!

ils ont parfois 30 éléves

voilà pourquoi on réclame plus de postes à l’heure actuelle!!!

ps; "En plus ils croivent " pitié… dans ton cas ce n’est pas l’EPS qui t’a fait défault mais bien la conjugaison…

Posté en tant qu’invité par Bruno:

pims a écrit:

dans ton cas ce n’est pas l’EPS qui t’a fait défault mais bien la conjugaison…

mais il a aussi écrit:

certains profs encadre très bien

Posté en tant qu’invité par jordane:

j’ai une recherche à faire sur l’escalade mais je ne trouve rien sur le net.
Quel site me conseillez-vous ?

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Florent:

APPEL et pétition:

Dans le projet de loi sur l’éducation, l’éducation physique et sportive (EPS) n’apparaît pas dans le « minimum » obligatoire à garantir à tous les élèves.

Plus d’informations sur ce site:http://www.snepfsu.net/phpetitions/appel/index.php3

Posté en tant qu’invité par J2LOQ dit nimp com’d’ab:

« Tu as fait tant de temps au 100m, tu as telle note, ça n’a pas de sens sur le plan du développement physique. »
Renseigne toi !!! Il y a un notation des performances (50 %), une notation de l’assiduité (25 %) et une notation de la progression (25 %). Une patate de canapé peut donc avoir 1 en performance mais 5 en assiduité et 5 en progression ; ça lui fera la moyenne alors qu’elle court le 100 m en 38 sec. A contrario un bon (le 100 m en dessous des 11 sec) mais qui n’branle rien et qui se fout de la gueule du prof aura 10 en performance et 0,5 au 2 autres notations; la même note au final.

cqfd

Posté en tant qu’invité par Seb:

Le problème, chèr ami, c’est que tu parles de sport!.. Le sujet, me semble-t-il concernait l’EPS. Tu as l’air d’être cultivé donc tu dois certainement faire la différence… Quant aux changements improbables auxquels tu fais allusion…, tu pourras venir faire un tour sur le terrain… Ce n’est pas en se rappelant ce que tu faisais toi (tu as quel âge au fait? si ça se trouve ça date déjà!), que tu peux te permettre d’établir une critique sur les contenus transmis de nos jours!
A mon avis « le corps n’est pas une option! », et si nous voulons lutter contre des pbs d’obésité, d’échec scolaire… il est indispensable de rétablir la place de l’EPS!

Pour tous ceux qui sont d’accord avec ces propos, je vous invite à venir signer un bulletin sur le site suivant: www.snepfsu.net

« Une éducation sans EPS n’est pas une éducation »

un prof d’EPS révolté par certains propos… de grimpeurs, ce qui déçoit d’autant plus!

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Seb:

Tu as simplifié voire caricaturé les faits mais la logique est bonne. Celà est fait pour valoriser des élèves et les mener sur les chemins de la réussite scolaire. De plus, bien souvent, l’EPS est une des seules disciplines où des élèves peuvent se sentir compétents… ce qui est très important pour un adolescent en train de se chercher donc fragile.

Posté en tant qu’invité par amdea:

Bonjour J22,
Je suis tombée sur ce site par hasard et j’ai trouvé vos discussions très intéressantes. Aussi j’aurais aimé y prendre part et te répondre mais il est peut être trop tard car je crois que ta dernière intervention sur ce forum date de 2004.
Apparemment, tu gardes un très mauvais souvenir de l’EPS et j’aurais aimé essayer d’adoucir ton opinion sur cette discipline. Je te l’annonce tout de suite, je prépare actuellement le concours du professorat d’EPS et l’on me vante chaque jour les vertus et les mérites de cette discipline indispensable au « développement d’un citoyen lucide et autonome, acteur de sa vie physique, et j’en passe… » (Cf les programmes EPS 2000) : je n’aurais donc certainement pas un avis totalement objectif sur le sujet.
Je n’ai jamais été très forte en EPS, pour tout dire j’étais même plutôt mauvaise. Tu vois, j’étais de celles que l’on retrouve toujours sur les derniers terrains de badminton, de volley ou de tennis de table lors des fameuses montées descentes.
Pourtant, je n’ai jamais détesté cette discipline. J ’y trouvais un plaisir immédiat mais n’y voyais aucun intérêt pour mon futur. Encore aujourd’hui, je pense que mes cours d’EPS ne m’ont pas apporté grand chose alors qu’ils auraient pu m’enrichir bien davantage si on me les avait présenté autrement. Je n’aimais pas me bouger mais à l’école je faisais ce qu’on me disais de faire sans en percevoir l’utilité même si cela me plaisait moyennement( ce qui n’est pas le cas de tous les élèves).
Jusqu’à ce que je découvre l’aviron en club. C’est là que j’ai pris goût à la pratique sportive. Puis tout c’est enchaîné, je rentre en sport étude, j’intègre une prépa bio mais je choisis de rejoindre le STAPS pour faire de la recherche en physio. Et là bas, on m’apprend que l’EPS peut avoir un intérêt dans la vie de l’élève. Je m’étonne : Ah bon, l’EPS ne serait pas qu’un défouloir ? Mais alors à quoi peut elle bien servir ?
Voilà j’arrête de te raconter ma vie qui ne t’intéresse sûrement pas (excuse moi pour tous ces détails mais ils t’aideront peut être à mieux comprendre mon positionnement).

« Je pense au contraire qu’en dégoûtant les élèves en associant sport et résultats scolaires vous êtes un frein au développement du sport. »

Là je suis pleinement d’accord avec toi. Je connais plein de gens qui ont été dégoûtés du sport car on leur a rabâché toute leur scolarité qu’ils étaient nuls en EPS. Pour moi, la note certificative en EPS ne devrait pas exister. Par contre, une évaluation critériée mettant en évidence les points forts et les points faibles de l’élève et ce qu’il doit faire pour progresser me semble intéressante à condition que l’on fasse bien comprendre à l’élève que l’on note ce qu’il fait pour le moment et non ce qu’il est. Le problème c’est qu’en ne mettant plus de notes, l’EPS perd sa place à l’école ce qui me parait une erreur. Je m’explique

Mes parents sont sportifs et travaillent tous les deux. Ils m’ont donc offert la possibilité de pratiquer toutes sortes de sports que je n’aurais jamais connu en EPS ? Mais combien d’enfants ont –ils cette chance ? D’accord, le sport est beaucoup plus riche et attrayant en club qu’en EPS ou il est appauvri voire même dénaturé mais tout le monde n’a peut être pas forcément accès aux clubs (financièrement ou par l’éducation familiale). En revanche, de part l’obligation scolaire tout élève est obligé de passer par l’école et donc par l’EPS.
Là, tu vas me répondre « oui d’accord mais si l’EPS dégoûte du sport on n’est pas plus avancé ! l’élève n’en fera plus jamais alors que peut être il aurait pu y venir plus tard ». Là encore je suis d’accord, mais plutôt que de supprimer l’EPS ne faut il pas d’abord chercher pourquoi l’EPS peut elle dégoûter du sport ? Je vois plusieurs raisons. Sûrement pourras tu en rajouter.

-on ne choisit pas les pratiques sportives. Selon toi, il devrait être réalisé sous forme d’options. Je suis en partie d’accord. Il faudrait regrouper les classes pour que chacun puisse choisir au moins un sport qu’il souhaite pratiquer. Mais je pense aussi qu’il faut imposer à tous les élèves de pratiquer au moins un sport dans chaque famille (activité de pleine nature, sport combat, natation, activités artistiques) pour éviter qu’ils ne s’enferment dans une seule pratique. En français, on ne lit pas qu’un type de texte mais plusieurs (poésie, roman, BD) pour ouvrir l’élève à la diversité de la culture littéraire. Pourquoi ne ferait on pas la même chose en EPS ?
A ton idée de « faire collaborer les clubs et les établissements scolaires » elle n’est certainement pas mauvaise mais elle en ferait bondir plus d’un dans la profession. Peut être le sais tu déjà sinon je t’explique. Connais-tu par exemple la loi Comiti des années 70 ? Pour diminuer le déficit d’encadrement en EPS elle prévoyait de combler le manque de profs d’EPS par des intervenants extérieurs (clubs). D’une part cela a provoqué une concurrence et d’autre part cela a provoqué une confusion entre le sport (qui est sa propre FIN) et l’EPS (pour qui le sport est un MOYEN pour atteindre d’autres objectifs). Un exemple : en EPS, ce qui compte ce n’est pas tellement de devenir superfort en gym mais plutôt d’apprendre à assumer sa silhouette devant les autres (mais ça on ne l’explique pas aux élèves à tort à mon avis). Cette confusion entre sport et EPS est dangereuse. En effet, si l’EPS c’est le sport alors elle n’a effectivement plus sa place à l’école ? (je te laisse aller voir le rapport Thélot 2004)

  • le choix et la nature des pratiques sont réduits. Ils le seraient d’autant plus pour les enfants défavorisés socialement si il n’y avait pas d’EPS.

  • certains on de mauvaises notes. J’ai déjà essayé de répondre à cela. Et pour moi l’échec scolaire est la seule raison qui aurait pu vraiment me dégoûter.

  • on a des horaires imposés et des obligations. En club aussi il y a des horaires imposés à moins que tu ne pratiques en autonomie (la aussi l’EPS me semble avoir un rôle j’y tout de suite après). Pour les obligations, dans n’importe quel sport il y a des règles donc des obligations mais ce n’est peut être pas de cela dont tu voulais parler : pourrais tu être plus précis ?

Enfin, (et après promis j’arrête de t’embêter) je voulais te faire part d’un nouveau groupe d’activités qui vient d’apparaître : les Activités Sportives de Développement et d’Entretien Personnel et qui m’aurais beaucoup plus étant élève car j’aurais enfin trouvé un sens à ce que je faisais en EPS. Tu connais ? C’est un peu long à expliquer alors je m’arrête là (surtout que je ne sais pas si tu trouveras mon message) mais si jamais tu veux des détails hésites pas à me faire signe. Je te donne mon adresse et on en reparle si ça te dit car le sujet me passionne… Merci.

Posté en tant qu’invité par françois:

amdea a écrit:

Bonjour J22,
mdr!
j2LH s’appelait j22?

pourquoi l’EPS peut elle dégoûter du sport
? Je vois plusieurs raisons. Sûrement pourras tu en rajouter.
t’inquiètes pas amdea; pour ne rajouter, j2lh est spécialiste

Enfin, (et après promis j’arrête de t’embêter)
qui a déjà réussi à embêter J2lh sur ce forum?

C’est un peu long à expliquer alors je m’arrête là
(surtout que je ne sais pas si tu trouveras mon message)
amdea, sache que J2LH est greffé 24 h / 24 sur ce forum. pas de doute là dessus, il te lira

blague à part, amdea, ton intervention est très intéressante et argumentée
je n’y connais pas grand chose en la matière mais la seule réflexion que je me fais, c’est « la répartition des heures d’eps au long de la scolarité est elle bien judicieuse ». je m’explique: en primaire j’ai l’impression que les enfants ne sont pas très sollicités pour l’EPS, alors qu’il débordent d’énergie. en 6° / 5° ils adorent l’EPS, ils ont 4 heures d’eps et ne voudraient faire que ça. et à partir de la 4°, ça les fait chier prodigieusement, et ils menent la vie dure aux profs (qui bien souvent sont très expérimentés, puisqu’ils ont plein de points grace à l’ancienneté , et sont nommés en lycée,
(témoignage très parcellaire d’un parent d’élève de base :wink:

salut

Posté en tant qu’invité par *******:

ben voila ma réponse cher amandea : en gros "jenmmerde tous ces fainéants de fonctionnaires y compris donc les profs de sports " ; pas très argumentée mais très claire …

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Hum…

J2LH (—.proxy.aol.com)
J2LH (—.net195-132-4.noos.fr)

(de plus j’indique toujours mon e-mail)

Merci aux modérateurs de supprimer cette évidente tentative d’usurpation d’identité qui n’a pour but que de me discréditer (pas besoin d’aide, je me discrédite déjà tout seul comme un grand :wink:

Posté en tant qu’invité par françois:

J2LH a écrit:

ben voila ma réponse cher amandea : en gros "jenmmerde tous ces
fainéants de fonctionnaires y compris donc les profs de sports
" ; pas très argumentée mais très claire …

cher J2LH de chez proxy
bien tenté mais:

  • le vrai J2LH est chez noos
  • il laisse son adresse mail en clair
  • il sait emmerder le monde, et surtout l’écrire correctement
  • il est sans doute en RTT, on ne l’a pas lu cet après midi

chère amdea
ne nous en veut pas, tu arrives sur ce forum par hasard, on parait un peu bruts de prime abord, mais on est pas méchants au fond

Posté en tant qu’invité par fred:

Jalousie (je ne sais qui a écrit) mais je vais répondre clairement :

Les concours sont ouverts donc déjà si fonctionnaires c’est si extraordinaire bein que le meilleur gagne…

Si il y a trop de fonctionnaires et que ça coute cher (j’en conviens) ce n’est pas la faute des fonctionnaires eux-mêmes mais de plusieurs facteurs qui sont pour moi :

Le nombrilisme et la faible modernité des français dans leur ensemble qui n’innovent pas (pas de recherche, pas d’innovation, pas de jeunesse…). Une bonne faute aux français qui depuis 25 ans votent pour les mêmes… tout en se plaignant ! On a donc un système loudingue dans lequel on ne peut RIEN faire. Moi qui suit prof je ne peux RIEN faire pour lourdeur bureaucratique (de protection contre une éventuelle possibilité que cela fasse un problème un jour… si vous voyez ce que je veux dire). Et oui on ne fait rien car les gens se plaignent tout le temps donc on ne fait rien sinon qu’est ce qu’on va se prendre dans la tête ! Et je peux le dire ce n’est pas le prof qui est en général feignant… mais les élèves et tout le monde. Forcement le « ça sert à quoi » dans le style consumeriste immédiat ça ne forme pas trop l’esprit.

Donc pluutot que de taper sur le système proposez des choses et plaignez-vous si rien ne change mais se plaindre pour se plaindre…

Est ce que je pourrais faire mieux ? Bien sûr mille fois mieux avec juste un peu de sous, de la confiance… (par définiton on ne fait pas confiance !) et de la motivation. Alors avant de vous plaindre travaillez un peu plus sur comment faire avancer les choses et bougez vous le C… !