Très intéressant tous ça mais pas beaucoup de rapport. La majorite des liens concerne les le sentiment de discrimination chez les immigres et descendants d’immigres. Rien trouve qui concernait ce dont il est question, le ressenti à propos du sexisme spatial. Je dois dire que je n’ai pas pu tout éplucher, des pages et des pages de références sans rapport.
Salle d'escalade discriminatoire ?
Non, il faut que les hommes prennent conscience que certains d’entre eux, de part leur éducation, et en général inconsciemment, ont tendance à occuper l’espace disponible au détriment des femmes, dont certaines, de part leur éducation, vont leur laisser la place sans protester. Et donc, ils doivent en tenir compte dans leur comportement, afin que tous puissent vivre ensemble de façon plus agréable.
Et parce que les hommes entre eux ne se piquent pas l’espace disponible ? Les hommes entre eux ne jouent pas des épaules pour ce passer devant , ne s’agressent jamais et ne se trucident pas être eux , ne se moquent pas entre eux etc etc
La clé du soucis , ce n’est pas plutôt le respect et le civisme entre tous , quelque soit le sexe, quelques soit comment on voit une différence comme une source de séparation ?
Il faut cliquer sur le second lien.
Sur la géographie sexuée, dont les travaux commencent à dater d’une trentaine d’années, voir par exemple :
Mixité, égalité et genre dans les espaces du loisir des jeunes : pertinence d'un paradigme féministe - TEL - Thèses en ligne
https://www.larobe.org/publications
Deux articles de vulgarisation :
Comprendre les inégalités dans la cour d’école par Edith Maruéjouls |
De la cour de récré aux city stades, les filles sont exclues des terrains de foot
En tout cas certains hommes sont prêts à toutes les digressions pour avoir le dernier mot.
Oh que si ! D’ailleurs c’est une spécificité masculine.
Le problème c’est que ça déborde et qu’ils trucident aussi les femmes.
Ah zut, on va me demander une étude scientifique dûment estampillée pour prouver mes dires …
Alors suivant les consignes données par certains , je m’efface et je te le laisse …
…….
Mince ça marche pas puisque je viens encore de répondre et d’avoir le derniers mot
Les exemples ont été choisis exprès pour choquer. Ils fonctionnent pourtant tous sur le principe que tu veux défendre: si un groupe est perçu comme posant problème, c’est uniquement à lui de devoir faire un effort. Un est au mieux dans une exagération populiste pas très réfléchie, au pire dans une vision assez dérangeante de la société qui veut imposer un rapport de force.
Il y a déjà un rapport de force. Il y a des opprimés. Mais une étiquette opprimé/gentil/moi je suis du bon côté permet-elle vraiment d’utiliser les mêmes méthodes que les oppresseurs tout en restant blanc comme une colombe? Pas de mon point de vue. On risque bien trop vite de faire pareil qu’eux. Communistes russes, maoïstes, terreur sous la révolution et autres ne font pas vraiment honneurs aux idéaux qu’ils étés censés défendre.
Vu qu’il est facile de classer ses contradicteurs dans des petites cases, j’ai peur que l’on me traite de réac et que l’on prenne m’a critique d’un argument comme la négation d’un problème. C’est plus simple que de se remettre en cause. Mais bon, on a déjà sur le forum un écologiste auto-proclamé aux velléités autoritaires qui traite de fasciste anti-écolo tous ceux qui ne sont pas d’accord avec ses projets de censure… du coup on peut bien avoir le pendant féministe.
Je ne pense pas. Ca me gêne. Un maghrebin barbu fera peur à quelqu’un qui verra en lui un terroriste, doit il raser sa barbe ? se blanchir la peau ? Le problème pour moi c’est celui qui a peur, qui projette ses angoisses teintées de racisme sur qq 'un qui n’a rien demandé.
Un Noir se fera refuser un appart parce qu’on a peur qu’il ne paye pas ou fasse venir sa famille. A lui d’adapter son comportement ?
C’est pareil pour les filles qui voient des agresseurs dans chaque mec sur un trottoir.
Pour rester dans le MMA (décidément) Khabib s’est fait virer d’un avion car il occupait la place devant l’issue de secours. L’hotesse (ou des passagers) ne se sentait pas en sécurité avec un barbu à cette place.
Alors que le mec est peut être la meilleure personne pour gérer un accident : costaud, calme.
Ca te gêne pas ? A lui de raser sa barbe ?
D abord, tu n’as pas bien lu ou pas compris mon argumentation.
Ensuite, si tu as peur d être traité de reac, c’est ton problème, mais ne viens pas m accuser de censure ou de refus de remise en cause.
Quant à ta dernière phrase, c’est une attaque personnelle bien basse et infondée. …
Tu me réponds, je te réponds. Quelqu’un d’autre aurait répondu, c’est lui qui aurait eu le droit à ma réponse. Aussi simple que cela. De plus, je n’attaque pas une personne, mais des propos. Pourquoi faire croire le contraire? Faire croire à une attaque personnelle serait-il plus simple que de se battre sur le terrain des idées?
J’ai tendance à penser qu’il faut des gardes-fous fort. Si on permet de dire « telle catégorie de la population est mal vue, donc c’est de ça faute — mais c’est ok juste dans ce cas précis parce que … » ça peut être ok au début, mais c’est la porte ouverte aux dérives.
Quand tu dis
tu parles bien d une personne et pas d une idée, donc là fin de la phrase concerne également une personne.
Tu n assumes pas ce que tu dis ?
Merci pour ton message, qui rejoint ma pensée : la majorité n’a pas forcément raison. Tant qu’une minorité n’est pas nuisible, elle devrait être respectée avec ses différences.
Bernard
Quand on parle de groupes et d’aggression sexistes, il n’est plus question de « perception » mais de « faits ».
« Les hommes » constituent le groupe dominant et à l’origine des agressions sexistes.
(je me réjouis à l’avance des NotAllMen qui vont débarquer …)
donc oui, les exemples cités sont bidons
A mon avis ta réponse entretien un flou.
Parles tu toujours de salle de bloc ?
L’expérience décrite dans la publication instagram serait totalement lunaire dans une salle à cordes (et y’aurait pas de débat sur l’éducation ratée des hommes en cause) et je présume que @alieska parle d’une salle de bloc.
ça n’a rien à voir, ça.
Que le féminisme se divise voire s’écharpe entre chapelles, ça a toujours existé depuis les années 70.
Mais tous les mouvements actuels ont en commun le refus du patriarcat, et certains poussent même ce refus jusqu’à la misandrie. Personnellement, ça me paraît excessif (surtout en tant qu’homme… ), mais ce ne sont pas les raisons qui manquent (même si à titre personnel je trouve que ce ne sont pas les bonnes).
On a d’ailleurs bien vu avec le procès des viols de Mazan à quel point cette culture patriarcale est en voie de disparition…
C’en est déjà une bonne partie. Beaucoup de femmes m’ont parlé de leur peur de rentrer le soir, à cause des hommes qui traînent sans qu’elles puissent deviner leurs intentions, ou si elles sont croisées ou suivies par des inconnus. Depuis, effectivement, si je me rends compte que je vais croiser une personne que ma présence pourrait inquiéter, je change de trottoir. Et si je me rends compte que je marche derrière une personne, soit je ralentis pour faire comprendre que je reste à distance, soit j’accélère et je passe à l’écart pour ne pas faire durer la situation. Et avoir réfléchi à cette situation me fait avoir spontanément le même comportement quelle que soit la personne inconnue que je rencontre, peu importe son genre : un homme peut tout aussi bien être inquiété qu’une femme, un local aussi bien qu’un étranger, etc.
Bernard
Aménagement urbain ( conçu par des hommes pour les hommes) et parité .
Introduction de cette émission
La capitale autrichienne ne prend pas la notion de parité à la légère. Un quartier de Vienne, en partie pensé par des femmes, est en train de sortir de terre. Il se situe à l’est de la ville. Un projet pharaonique qui s’étend sur 240 hectares.
Les travaux ont commencé il y a dix ans pour construire 12 000 nouveaux logements dans des immeubles souvent dessinés par des femmes.
Un autre aspect important est d’offrir aux femmes un sentiment de sécurité. C’est pourquoi les architectes ont agencé les fenêtres des immeubles de manière à ce qu’elles donnent toutes sur les espaces extérieurs, ce qui permet d’être toujours à portée de regard. Plus de 20 ans après sa conception, ce projet pilote, financé par la ville, reste l’exemple d’un urbanisme plus égalitaire. Les parcs sont également en passe d’être rendus aux femmes. Des études menées dans les années 1990 ont montré que les jeunes filles, passé l’âge de 10 ans, les désertaient. La mairie a alors décidé d’en réaménager certains, en décalant par exemple de quelques mètres les cages de foot pour permettre d’autres activités sur la pelouse. De même, Vienne a fait élargir certains de ses trottoirs notamment pour que les poussettes puissent passer sans problème, et apporte une attention particulière à l’éclairage public dans le but d’éviter qu’il y ait dans la ville des recoins sombres, source d’angoisse pour beaucoup de femmes. »
La suite ici :
Non Justement c’est ce que vient de dire .
Et bien tu t’es bien fait formater le cerveau par ces discours .
Pour moi pas du tout . Un gars qui viole ou fait violer sa femme ne réponds pas à un schéma culturel mais plutôt à un problème pathologique. C’est du candaulisme sans le consentement de la femme . Et que des hommes abusent de leur situation ne réponds pas un problème culturel mais de perversion , de faiblesse et de facilité .
La culture touche tous les hommes et tous les hommes ne sont pas des violeurs , et même loin de là .
Maintenant que le patriarcat joue dans la culture, oui bien sûr . Mais pas que dans ses faiblesses …et aussi qu’on est complément hors sujet et en dehors d’une discussion escalade . C’est quand le retour au bistrot ?
Le type a un problème pathologique certes c’est probable, mais que toi tu refuses d’ouvrir les yeux et que tu qualifies ses horreurs de « candaulisme sans le consentement » démontre à quel point la culture du viol est bien un schéma culturel profondément ancré !!!
outre les relents abjects de racisme dans ces exemples, ils sont intéressants car ils démontrent exactement ce que tu cherches à nier. Le maghrébin barbu ne fera peur ni même ne sera remarqué par personne si la même scène se produit à Tunis ou à Abu Dhabi car là, il fera partie de la classe sociale majoritaire
CQFD, c’est quand la classe sociale dominante qui fait peur qu’il y a un souci