C’est ça aussi qu’on disait il y a quelques années avec le réchauffement planétaire global… Et puis … oups ! Peut-être que ça existe
Salle d'escalade discriminatoire ?
Et comment tu le formulerais toi ce problème ?
Le féminisme date d’un peu plus « de quelques années » , et justement s’il y avait beaucoup de chose à faire pour la parité homme /femme à ces époques , le chemin a été grandement parcouru depuis .
Jusqu’à maintenant oú il n’y a plus tant d’écart de parité que ça, même s’il y a encore à quelques petites choses à corriger . Mais le féminisme moderne tend à chercher dans ses moindres retranchement les plus extrêmes le moindre écart. Jusqu’à, par exemple ce témoignage du dessus oú la fille a le sentiment de s’etre fait virer par des hommes , sans penser que les mecs avaient le sentiment qu’elle squattait un bloc .
Ça peut être ça oú autre chose mais y a pas à faire appel à tous les saints du féminisme pour ça .
Un.e grimpeu.r.se pensait, en arrivant tôt le matin a la salle, pouvoir profiter tranquille d’une bonne session de bloc a taper des essais . Malheureusement, d’autres grimpeurs sont arrivés et il a fallu partager le terrain de jeu. L.e.a grimpeu.r.se , par ailleurs enfant unique sur valorisé.e et sur protegé.e par des parents bobos maîtrisant parfaitement les codes la distinction sociale soft, en a conçu quelque amertume et beaucoup de frustration et un peu de douleur a l’ego , imaginant que les nouveaux arrivants se satisferaient a seulement observer en silence son aisance naturelle dans les mouvements et sur les compressions.
La vie est injuste pour les personnes qui s’estiment légitimement être au dessus des autres.
Bon, ce n’est pas tout, il faut que je trouve une chercheuse en mal de publication pour mettre en forme ma théorie et lui trouver un joli nom qui commence ou termine par sexisme. Re
Que ce cas précis soit sujet à caution et certainement une mauvaise illustration du phénomène n enleve rien à la réalité du phénomène, à savoir que " l espace public appartient aux hommes ". Sauf bien sûr les alentours des aires de jeux pour enfants
Ben oui quoi, laissez-nous au moins quelques privilèges, qu on puisse continuer à se sentir un peu supérieurs !
J’aurais certainement du me mouiller un peu plus.
Mon interprétation du sexisme spatial - dont je n’ai pas appris l’existence aujourd’hui puisque j’avais déjà entendu parler de l’organisation des cours de récréation - c’est qu’il s’agit d’un déséquilibre dans les usages que peut avoir un lieu partagé, notamment l’espace public, avec un formatage éducatif, les garçons étant sociabilisés à occuper l’espace et les filles à être discrètes.
En l’occurrence, ici ça ne semble pas une compétition d’usage et je pense qu’il s’agit uniquement d’une problématique de partage de l’espace. Les femmes ont elles d’autre choix que d’également se sentir légitime à occuper l’espace ?
désolé, je ne parviens pas à comprendre cette assertion
(message supprimé par son auteur, sera supprimé automatiquement dans 100 heures à moins qu’il ne soit signalé)
Tu ne réponds pas à ce que j’ai dit mais à tout autre chose en te focalisant sur un mot. Qu’a cela ne tienne. Je peux le remplacer sans que ça change ce que je disais.
J’ai plutôt l’impression inverse. Études citées pour donner du poids à son expérience
Désolé, message supprimé pour correction destinataire
A ma connaissane aucune etude ne montre que:
globalement, la majorité d’une population donnée, a un ressenti négatif x ou y.
Si « population donnée » veut bien dire population féminine dans son ensemble.
Aucune étude, je ne sais pas, mais des mouvements comme Metoo par exemple, ne peuvent pas être ignorés.
Entre metoo et l’histoire à l’origine de la discussion?
Je suis un peu interloqué.
Ça s’applique à toutes les formes de minorités, que ce soit les femmes, les étrangers, les personnes racisees, les personnes en situation de handicap (en particulier les handicap invisible), …
Et si tu n’en as j’aurais entendu parler, renseignes toi avant de dire
Oui en fait tu bottes en touche.
Il s agit de l expression du malaise d une grande partie d un groupe social, qui n est pas une étude scientifique.
Tu semblais vouloir que seules les études scientifiques devaient être prises en compte.
Et quand bien même ça serait vrai que la majorité d’une population donnée a un ressenti négatif?
Est ce que ce serait obligatoirement aux personnes qui provoquent ce malaise de changer leur attitude?
Pourquoi pas après tout. On peut trouver pas mal d’exemples qui je pense mettraient certaines personnes en porte à faux.
S’il n’y a pas eu de mesure, qu’est ce qui fait dire que c’est une majorité ou une grande partie et pas une minorité?
S’il n’y a pas eu de mesure, d’estimation, c’est une affirmation gratuite.
S’il y en a, pourquoi ne pas les rechercher et les citer plutôt que faire comme si ça allait de soi?