C’est souvent le dernier mot de la phrase qui est le plus audible.
D’ou l’utilisation de termes les plus simples possibles.
Le prénom pour attirer l’attention, puis la consigne.
Et en y réfléchissant bien, il n’y en a qu’une de vraiment utile: RELAIS
Qui signifie que le leader est prêt à avaler.
Lorsque le mou est avalé, je relâche 2 ou 3 mètres de corde pour que le second ne parte pas avant d’avoir placé la corde dans le réverso.
Les 3 mètres sont ravalés ensuite rapidement et c’est le signe du départ.
"Relais vaché" à bannir, cela sous entend qu’on est capable de faire un relais sans se vacher (oui je sais c’est possible en alpi, mais c’est très rare dans ce qu’on entend par grande voie)
Et si on entend pas relais ou qu’on ne comprend pas le message de la corde?
Et bien il reste 2 solutions: on sèche sur place pour quelques années ou alors on part quand la corde est tendue (et souvent insistante) en faisant bien attention qu’on est peut être en corde tendue.
La radio ? peut être mais il faut rester simple.
Quelques exemples de cet été : « bout de corde sur la rouge » suivi de « bout de corde sur la bleu » et pour finir « bout de corde »