Pendant 35 ans je n’en portais pas en escalade et pendant 60 ans non plus en ski, maintenant j’en porte un.
En club c’est obligatoire même pour manger au pied des voies ou aller pisser 
et je remarque que ceux qui n’en portent pas ne sont pas licenciés en club ou bien ceux qui en portent sont devenus prudents. Les chutes de pierre ou de dégaines arrivent partout en falaises
Port du casque de nos amis de c2c
Alors j’avoue que pour les champis j’ai jamais porté de casque. Mais peut-être que vous faites de la cueillette champi de l’extrême
L’an dernier du côté de Marseille, un grimpeur plutôt fort zippe et part à la retournette, sa tête à l’envers heurte bien le rocher.
Falaise très bien équipée.
Pas de casque, peu de risques de chutes de pierre il est vrai, mais j’en connais d’autres qui aussi ont eu très mal ainsi .
Bien sonné, les pompiers n’arrivent que 45 min après alors que la caserne était à 10 min…
Le portable passait mal et les secours se sont trompés de Baou…
Attention au bout du fil, ils connaissent pas par coeur les lieux de grimpe. La confusion peut vite arriver.
Donc inutile de rechercher l’enchainement des emm…, mettez le max de chances de votre côté d’entrée.
(Le trauma crânien fut sans séquelles ensuite)
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Même si parfois les cailloux sont taquins et préfèrent viser à côté 
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Pas un casque en vue malgré des chutes impressionnantes dans le dernière publication de notre ami lithuanien.
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choc d’un bloc sur un grimpeur d’un club d’Isère. La personne était sonnée mais indemne. Peut on douter de l’utilité du casque en montagne ?
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Bonjour,
Pensez-vous que de l’araldite convienne pour réparer ce genre d’accroc ? J’ai peur que ça ne soit pas très esthétique, en particulier pour la partie plastique orangée.
Cordialement,
Adrien
Tu as oublié les smileys non ?
Un casque dans cet état, tu le changes, c’est tout.
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Un peu de scotch orange, c’est assorti
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Bah tout dépende de l’importance que l’on accorde à la vie individuelle…
A titre personnel, le casque n’est pas un réflexe (la corde non plus d’ailleurs…), et la vie individuelle n’est pas primordiale… Seul le collectif compte, nul n’est irremplaçable ! Mais ce n’est qu’un avis personnel, hein !
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On peut aussi se demander dans quelle mesure perdre des gens à cause des accidents évitables est bénéfique pour le collectif…
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Oubli de smileys là aussi je pense 
8 milliards d’habitants sur terre. Ça en fait des casques encore à vendre …
Les cailloux c’est comme les obus, ça tombe jamais 2 fois exactement au même endroit.
Un coup de scotch orange et ça repart.
Sinon, si vous grimpez en club depuis longtemps et que vous ne connaissez personne autour de vous qui a un casque amoché, vous êtes dans les « happy few »
Perso une gerbe de cailloux en rappel, rien compris, mais petit doigt cassé.
Un pavé à 50 cm de la tête dans une couenne apparemment nickel. Et 2 potes qui ont cabossé leur casque.
Les 2 camps ne se posent plus de questions, à chacun de voir au final
Bon, y’a pas 8 milliards qui fréquentent la montagne. Et même si je n’ai rien contre les pratiques engagées, je pense qu’on a quand même une certaine obligation envers la collectivité de ne pas se tuer bêtement.
Alors véridique et pas plus tard qu’avant hier: une petite heure devant moi, je monte au déco parapente de Planfait (lac d’Annecy pour ceux qui ne connaissent pas). Je prépare ma voile, défais mes suspentes bref, ce qu’on appelle une « pré-vol » dans le jargon.
Et puis comme le vent était « de travers » j’attends 5-10mn au bord du déco contre la forêt. Pas une minute se passe avant que je me prenne un « truc » sur la tête !
Une pomme de pin ! Bah, quand ça tombe d’au moins 6-7 m, c’est pas un plaisir ce truc.
Du coup, ça m’a rappelé ce qu’un gars me disait quand je débutais (je suis toujours débutant !): première chose à faire, c’est mettre son casque !
Mais comme écrit :
Bon, comme j’ai un peu de temps aujourd’hui, je vais y aller aussi de ma réponse:
- en escalade, même en couenne, même (et surtout) quand j’assure, je mets toujours le casque (à mes débuts, j’ai vu une dégaine me passer à deux doigts du nez en assurant: ça aurait fait mal sur la tête ).
- en alpinisme évidemment aussi et de préférence avant d’engager la voie, dès qu’il peut y avoir des pierres qui peuvent nous tomber dessus.
- en vélo, pratiquement toujours car je ne fais presque que du VTT en forêt. Parfois, quand il fait très chaud et que je ne compte rouler que sur des pistes cyclables, je ne le mets pas (quoique maintenant, avec les trottinettes électriques qui prennent aussi les pistes cyclables, c’est plus dangereux).
- en ski de rando, j’avoue que je n’ai encore pas du tout l’habitude d’avoir un casque (sauf s’il s’agit de ski alpinisme). De toute façon, Je ne vais pas très vite et je vois mal comment je pourrais tomber sur la tête
. Mais comme j’encadre en club, il faudra bien que j’y vienne un jour. - en parapente, la question ne se pose même pas car comme je suis encore plus une éternelle débutante que TTM (bien qu’ayant commencé au siècle dernier), je n’en fais qu’en école, donc casque obligatoire.
P’tit’ étoile.
Donc après avoir constaté pendant 60 ans qu’il n’avait pas eu besoin de porter un casque, il juge nécessaire d’en porter un aujourd’hui.
Alors même que plus il vieilli, plus les risques diminuent (espérance de vie).
La logique de ce raisonnement m’échappe …
On a le droit de changer d’avis. C’est peut-être aussi que les casques sont devenus plus confortables et légers, diminuant ainsi les inconvenients.
La plupart des gens qui mettent un casque là où d’autres ne le mettent pas, ce n’est pas parce qu’ils estiment que la pratique est particulièrement dangereuse, mais tout simplement parce que pour un cout negligeable (port du casque) on peut avoir un gain de sécurité non-negligeable.
Si pour n’importe quelle raison on trouve que le cout du casque (en termes d’inconfort, distraction etc.) est non-negligeable, on est libre de faire un autre choix (eventuellement hors club). C’est d’ailleurs ce que je faisais quand je jouais au cricket, je ne mettais pas le casque car la grille m’empechait de voir clairement de ball.