Où sont passé les départs engagés?

Posté en tant qu’invité par Fabien:

Salut

Je grimpe depuis 3 ans, en 2005, j’ai passé 6 mois en Australie. Au début j’ai râlé, crié, hurlé contre leur put… d’étique de m…
Perdre 1° sur son niveau et passer plus de temps à poser des points d’assurages ça gonfle un peu.

Maintenant je comprends bien mieux le côté engagement, cela ne veux pas dire risque inconsidéré, c’est seulement savoir ce que tu fais, si tu ne sens pas le mouvement, tu ne fais pas le mouvement et tu en cherche un autre. Sur les sites aseptisés, tu ne cherches pas longtemps la meilleur solution, y a aucun risque alors on fonce, il suffit de regarder un grimpeur Anglais pour comprendre la différence de mental. Ils ne font jamais de pause!
Et quand la descente est encore plus engagé que la montée, à cause du suréquipements de la voie, le déséquilibre s’installe, alors on suréquipe la descente et ainsi de suite, le sentier qui mène au pied de la voie, protection contre les chutes de pierres etc.
Mon avis sur la sécurité en escalade, je sais pas trop, mais il est bientôt moins dangereux de grimper en falaise que de faire du foot, du hockey, du ski …

Toi, celui qui veut nous protéger de tous les dangers, qui fait en sorte que la sensation de se sentir tout simplement vivre disparaisse et bien je dis, va faire du foot ou reste derrière ta télé!!!

Bon sur ce il faut que j’aille en SAE pour que je sois moins au taquet quand je pose ces foutus protections.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par bib@ck:

bien vu Fabien …

il est sur pour avoir grimper avec eux que la grimpe a " l’anglaise «  » est bien plus dans le ton que cet aseptisation de tout risque
et donc de remise en cause du "MAIS QU’EST CE QUE JE FOU LA , ICI SUR CE ROCHER A LA CON , "
ou est le face a face entre le grilpeur et le rocher ? ce n’est pas un duel ! non ! plutot une confrontation avec soi même .
la decontraction l’aisance, en grimpe ne s’aquier que quand on a depassé l’etat de confrontation guerriere.
et sa m’enm… de de le reconaitre mais les anglosaxons, sont bien meilleurs.
le grimpeur moyen se croid toujours obligé de prouver qu’il fort …et pour y arriver ben … on sur protege, on sur equipe on gomme tout risques, comme cela on est bon dans du 6 c en tete …

j’ai rien a prouver … mais cet mentalitée me gène ( Hé modo, jsuis poli !)

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Gepi:

bib@ck a écrit:

bien vu Fabien …

il est sur pour avoir grimper avec eux que la grimpe a "
l’anglaise «  » est bien plus dans le ton que cet aseptisation
de tout risque.

C’est pour moi, un choix individuel selon la philosophie voir l’éthique à laquelle on adhère.
Le terrain est assez varié pour permettre différentes pratiques.

et donc de remise en cause du "MAIS QU’EST CE QUE JE FOU LA
, ICI SUR CE ROCHER A LA CON , "
ou est le face a face entre le grilpeur et le rocher ? ce n’est
pas un duel ! non ! plutot une confrontation avec soi même .
la decontraction l’aisance, en grimpe ne s’aquier que quand
on a depassé l’etat de confrontation guerriere.
et sa m’enm… de de le reconaitre mais les anglosaxons,
sont bien meilleurs.

Si l’éthique, c’est de grimper en posant et retirant les protections en essayant d’abîmer le moins possible le rocher, alors ça me plaît bien.
Dans ce cas le risque est une conséquence de ce style et non une finalité.
Je trouve juste bizarre d’un côté de sceller des broches pour se protéger (je n’ai pas dis surprotéger) et de l’autre équiper (exprès ?) exposé.
C’est certes très personnel, mais en ce qui me concerne, le risque est acceptable et gérable s’il est une conséquence d’une philosophie.
Créer volontairement du risque pour le risque, ça me semble pauvre de sens, à part pour démontrer qu’on a les plus grosses.

le grimpeur moyen se croid toujours obligé de prouver qu’il
fort …et pour y arriver ben … on sur protege, on sur
equipe on gomme tout risques, comme cela on est bon dans du 6
c en tete …

Cet esprit de compétition, qui consiste à trouver la satisfaction non pas dans la pratique elle même avec une démarche personnelle, mais par la flatterie de l’égo n’est pas spécifique à l’escalade. Marquer les prises relève sans doute de cet esprit et peut permettre de progresser techniquement plus rapidement.

j’ai rien a prouver … mais cet mentalitée me gène

Je n’ai rien contre cet esprit, même si ça ne correspond pas à ma pratique, dans la mesure où les lieux et les autres pratiques sont respectées (effacer les traces).

( Hé modo, jsuis poli !)

Nous n’en attendions pas moins de ta part :wink:

Posté en tant qu’invité par Christophe M.:

Exact, aussi bien sur l’ histoire des moulinettes que cette superbe voie de buoux.
Rajoute 5 points et t’es certain d’ obtenir une bouse parmis tant d’autres.
Combien de lignes gachées à cause ça ?

Posté en tant qu’invité par Christophe M.:

si tu veux pas engager grimpe en salle, en plus ça arrangera beaucoup de monde…

Posté en tant qu’invité par nico:

C’est vrai la medecine a fait d’enorme progres grasse a cela.
La vie est telement plus belle apres des chevilles cassées ou des genou avec ligament s en plastiques (les skieurs arrivent a gagner des medailles avec )

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Il y a deux façons de pratiquer, soit tu te concentres sur la difficulté de l’escalade, sur la gestuelle, soit tu te limites dans ce domaine et tu recherches l’engagement. C’est à dire que soit c’est difficile mais peu dangereux, soit c’est plus facile mais tu acceptes de ne pas avor de droit à l’erreur. La difficulté technique allié à l’engagement n’est pas à rechercher il me semble.

Posté en tant qu’invité par unCplus:

pas en escalade mais en alpinisme si…

Posté en tant qu’invité par J2LH:

unCplus a écrit:

pas en escalade mais en alpinisme si…

En alpinisme comme en escalade il ne s’agit jamais de s’engager au delà du raisonnable et faire la part des choses entre les sensations ressenties et le risque réél. En alpi on se dit souvent « là il ne faut pas que je me rate » mais la probabilité de se rater reste objectivement très faible. Si on avait une chance sur deux d’y rester on resterait chez soi. On sait au contraire que dans une voie sportive, quand on est au dessus de son niveau à vue, on va assez probablement se planter, peut-être prendre un plomb ou en tout cas probablement se faire reprendre. Dans ce cas, sans protection on n’y va pas.
Et il ne faut pas confondre ce que fait un Lafaille avec ce que nous faisons au quotidien.

Posté en tant qu’invité par nico:

l’interet de cette voie est l’absence de point et l’engagement c’est asser limité

Posté en tant qu’invité par xxx:

nico
l’interet de cette voie est l’absence de point et l’engagement c’est asser limité

tu veut dire que l’interet de la voie n’est que l’absence de points !

alors si c’est celà …qu’est ce qu’une belle voie ?

Posté en tant qu’invité par jesus:

si tu veux des départs engagés et une ambiance grimpe nature … faut faire un tour en Allemagne ou en Angleterre (certainement ailleus aussi, la France c’est plus particulier).
C’est simple presque aucun piton chez les anglais, alors ton premier point tu le « plantes » oú tu veux …
sinon en Allemangne souvent le premier point est situé assez haut et en plus il sert pas toujours parce que le deuxième et encore plus loin … donc effectivement là aussi tu pourrais sauter le premier point et clipper la deuxième dégaine à plus de 8 m :)) Aussi dans des régions comme la Pfalz TA et couennes « sur-équipées » se côtoient allègrement dans la respect de la diversité.

Posté en tant qu’invité par xxx:

la solution n’est elle pas d’equiper correctement le depart des voies …puis d’engager des que c’est possible…
ps: et bruler les cannes !

Posté en tant qu’invité par Christophe M.:

J2LH a écrit:

Il y a deux façons de pratiquer, soit tu te concentres sur la
difficulté de l’escalade, sur la gestuelle, soit tu te limites
dans ce domaine et tu recherches l’engagement. C’est à dire que
soit c’est difficile mais peu dangereux, soit c’est plus facile
mais tu acceptes de ne pas avor de droit à l’erreur. La
difficulté technique allié à l’engagement n’est pas à
rechercher il me semble.

N’ importe quoi !!!

Posté en tant qu’invité par Bruno FARA:

Il faut jamais oublier que Chtistophe M. (et black duchnock), possèdent un droit moral et restrictif d’accès aux falaise… car leur pensée est la meilleure , l’unique, la seule acceptable et supportable :-))
Se comporter autrement que dans les normes qu’ils édictent est bien entendu scandaleux.
Leur raisonnement est assez lamentable (sauf si c’est uniquement parcequ’ils se font chier le WE et en profitent pour faire de la provoc sur les forums). Il ne tient pas compte que ont est tous le « sous homme » de quelqu’un et que la ségrégation dont ils rêvent sans cesse (pour que la foule des grimpeurs « impurs » soit tenue à distance de leur illustre personne), risque fort de les inclure parfois dans l’exclusion.
Je ne suis pas toujours un monument de tolérance … mais là ces deux zigotos me font parfois vraiment penser à ce qu’il y a de pire en l’homme!
Sinon pour en revenir au sujet de ce post … Demander (pour ceux qui apprécient) une escalade engagée (pour se mettre au taquet parfois) est tout à fait légitime. Je pense qu’il n’est pas souhaitable que toutes les falaises soient équipées dans un style suoer sécurit avec14 points par longueur… Claret, (en faisant opposition à St Bo… pourtant équipée par les mêmes), me semble un bon exemple de falaise équipée intelligemment engagée mais pas exposée…
Prôner des départs engagés (donc exposés et par conséquent dangereux) c’est fondamentalement nul pour notre activité. L’escalade en falaise, comme activité de pleine nature, dépend (au travers de son image) du bon vouloir des élus (au sens très large) … Une accidentologie élevée et ce sera les interdictions, les assurances qui ne suivront plus etc … Mais j’oubliais Christophe et Black anonyme rêvent justement d’une escalade confidentielle… donc ils en seront ravis! Enfin seuls dans un monde construit pour eux par eux … sans aucun contradicteur :-))

Posté en tant qu’invité par unCplus:

je suis d’accord avec toi. mais… en janvier j’ai fait une cascade au reposoir avec un pote, celle de gauche. ce fût pour moi assez dur car peu expériementé encore dans ce domaine. j’étais certainement bien impressionné par la longueur en question que j’ai fait en tête mais je pense que j’étais tout de même un peu limite. j’ai donc eu les pétoches même si ça s’est finalement très bien déroulé.
ce jour là je pense pas que la probabilité de me rater était très faible, ce qui a exigé une concentration extrème de ma part où je devais réfléchir et calculer chacun de mes gestes.
ce jour là, j’ai saisi le sens du mot engagement. c’est pas pour ça que je suis morbide et intrépide.
je dois avouer, à ma charge, que ce qui a un peu corsé la difficulté c’est la pression que je me suis un peu trop mis.
c’était pas sans protection mais quand on connait l’aspect aléatoire par rapport à un goujon ou une broche scellée, ça reste délicat.

Posté en tant qu’invité par Nukem:

Simon a écrit:

[…] Lynn Hill ne sont que des cons irresponsables, avec de très grosses couilles

Fait moi penser à t’expliquer un jour les différences anatomiques fondamentales entre les garçons et les filles. ça pourra peut-être te servir.

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Nukem a écrit:

Fait moi penser à t’expliquer un jour les différences
anatomiques fondamentales entre les garçons et les filles. ça
pourra peut-être te servir.

Euh… Nukem, je crois que Simon se moquait de son petit collègue modo, qui associait un peu rapidement plaisir à exposer la viande et grosses couilles…

Posté en tant qu’invité par Zoum:

Fait moi penser à t’expliquer un jour les différences
anatomiques fondamentales entre les garçons et les filles. ça
pourra peut-être te servir.

laisse, je m’en occupe !! :wink:

bon d’accord, je sors …

Posté en tant qu’invité par Nukem:

J.Marc a écrit:

Euh… Nukem, je crois que Simon se moquait de son petit
collègue modo,

Nan ?! Dingue ça …

/* Modo ça rime obligatoirement avec 1er degré ? */