Posté en tant qu’invité par Jean-Luc L’Hôtellier:
le vert solitaire a écrit:
dans une falaise ecole, t’as toujours moyen de te casser en
laissant au maximum un maillon rapide … perte seche minime
… en T.A. ou en montagne, ca va te couter quelques sangles
ou autres, mais l’enjeu n’est pas le même !!!
C’est un peu ce qui m’est arrivé dimanche mais là c’est moi qui ai merdé dans un 6a bien quoté et à ma porté et sur ce coup je n’en veux qu’à moi-même.
- c’est sur que si tu es de niveau 5c et que tu vas grimper
dans une falaise ou il y a 3 5c pourris tout patinés, et que le
niveau moyen de la falaise tourne autour du 7, si t’en loupe
un, la journée va te sembler longue … sinon, je comprends
pas …
Le problème que je soulève est celui de la raison d’être des cotations et les différences entre les sites. En général on jette un oeil sur le topo pour choisir un secteur. Si c’est sous-coté on peut se retrouver dans un secteur trop dur (ou trop facile). A mon avis les cotations ne sont pas là pour foutre les grimpeurs dans la merde mais au contraire pour les aider à grimper dans le niveau qui les intéresse.
- pour la difference entre les cotations OK, entre 5a , 5b et
5c , mais franchement la difference entre 5a et 5a+ et entre
5a+ et 5b ne me saute pas aux mains …
Moi non plus, dans ces niveaux je ne fais plus la différence alors ce que je le fais très bien entre 5b, 5b+, 5c, etc… jusque 6b et c’est bien ce dont je veux parler, les équipeurs devraient faire un poil attention aux cotations quand ils ne sont pas dans leur niveau.