Posté en tant qu’invité par radical:
chèr md
dire que je défends mes points de vue… sans arguments, me parait bien étrange…
en me relisant, mais tu me diras si je me trompe, il me semble que mes points de vue sont des arguments…
que cela plaise ou non, il y a un certain malaise dans le métier de l’encadrement de l’escalade, et ce n’est pas avec une attitude corporatiste (pour ne pas dire bornée) que l’on arriverà à améliorer la situation
tout ceci me fait penser à ce qu’on vivait au milieu des années '80: un BE escalade naissant, par volontée ministérielle: l’escalade prenait son éssor, il n’y avait pas suffisamment d’encadrant sur le marché… juste une « poignée » de guides; il fallait réagir, aller vers les besoin de la collectivité en restant en conformité avec les dispositifs réglementaires…
Qu’ont fait les guides?
Nette opposition à la création de cette nouvelle catégorie professionnelle concurente.
Mais, vu que ce chemin n’était pas viable, que le BE escalade aurait exsté, et bien, les guides sont parvenus à bien mener le jeu, et à atteindre un résultat de taille: leur profession à continué à esister comme si rien était (je veux dire par là que on continue à former ert mettre sur le marché le même nombre de professionnel de la haute montagne depuis: l’avenement du BE escalade n’a pas modifié leur existence.
20 ans plus tard, voilà qu’on se rend compte que les besoins d’encadrement n’e sont pas couverts…
Modifications en vue, donc…
Attitude du SNAPEC: corporatisme pur…
Vu commeça, cette stratégie n’empêchera pas la reforme et la création d’un diplîme que, j’espère, serà à l’hauter de développement (futur!!!) de l’escalade
l’histoire n’est qu’un éternel recommencement…
Je suis un BEES escalade.