pas sûr. Par contre, « de mon temps », les clubs CAF adhéraient non à la FFCAM (qui n’existait pas) mais à la FFME. Donc, ceux qui étaient en club, étaient assurés à la FFME. Leur assurance n’allait donc pas s’attaquer elle même.
La FFME annonce la fin des conventions sur les sites d'escalade
Tu aurais pu laisser le peut être avant la citation
corrigé
???
Il y a quantité de cavités interdites parce que les proprios ne veulent plus voir de spéléos chez eux.
La problématique à prendre en compte c’est comment attaquaient les assurances et quels étaient les jugements.
Je ne comprend pas bien en quoi Greenspit est impliqué là dedans. A l’origine c’est des gens qui se sont sortis les doigts pour l’entretien des sites (potentiellement des sites pas FFME car les fondateurs avaient un vécu avant Greenspit dans l’équipement de falaises). Ils ne règleront pas tout mais les formations équipement entretien de falaise, leur implication et leur capacité à toucher des gens qui ne seraient pas réceptifs au discours FFME me paraissent pas aller dans le mauvais sens.
ben c’est l’entrée qui est sur leur terrain non ? Ils n’interdisent pas le passage dans les galeries situées sous leur terrain. Et à ma connaissance, aucune assurance de spéléo blessé ne s’est retourné contre le proprio du terrain situé au dessus du lieu de l’accident.
Pour l’utilisateur, ca lui fait une belle jambe que la cavité reste publique si l’entrée est interdite.
Pour la 2nde partie, je pense que c’est simplement parce qu’il y a bcp moins d’accident de spéléo que d’escalade, avant tout en raison de la fréquentation.
Les accidents qui posent pb sont ceux où il y a handicap. Les morts et les jambes cassées ne coutent pas cher.
Bonjour,
La chaîne Relais Vertical vient de sortir une video sur ce sujet. Elle explique assez bien la situation il me semble :
Je me permet de la partager.
Cordialement ,
Il y a quantité de cavités avec plusieurs entrées non ?
on peut tout aussi ,bien se fracturer la colonne dans un trou boueux (spéciale dédicace à @Flaps ) que sur une falaise ensoleillée non ?
Par contre, à priori d’accord avec toi sur le nombre d’accidents graves.
Malheureusement si, les morts peuvent couter très cher… C’est ce qui menace la RC des guides, car les clients sont souvent fortunés, et lorsqu’ils décèdent par accident l’assurance cherche à indemniser le « préjudice ». C’est à dire le « manque à gagner » pour les ayants droits, suite à la disparition d’un gros revenu ! On parle aussi parfois de millions d’euros…
Pour tenter de donner une perspective plus ample…
A Vingrau, il me semble que la victime n’est pas le guide, mais sa compagne.
Oui mais je me suis mal exprimé : l’idée était de faciliter le plus possible l’encadrement.
Rappellons que dans un milieu « non spécifique » (donc une couenne conventionnée FFME)
L’activité escalade en dehors de l’environnement spécifique peut être encadrée par des personnes titulaires d’un diplôme non spécifique à l’encadrement de l’activité escalade dit diplôme généraliste tels que les DEUG Sciences et techniques des activités physiques et sportives : animateur-technicien des activités physiques pour tous, Licence Éducation et motricité filière Sciences et techniques des activités physiques et sportives, BP JEPS, spécialité Activités physiques pour tous
Alors que dans un milieu spécifique faut des diplômes bien plus lourds à obtenir. Et puis les esprits mal tournés diront , que l’idée de splitter le BE a peut être germé à ce moment là.
Cool ton article . L’Italie c’est la France d’ il a y 40 ans
En 1980, on commençait tout juste à équiper à demeure.
Si ma mémoire est bonne, il n’y avait que des spits (ceux avec le conne séparé qu’on mettait au bout avant de frapper). Il n’y avait pas beaucoup de points et ça donnait pas envie de voler.
Vu que la législation française permet à des accidentés de se retourner contre le propriétaire de la falaise, il faudra peut-être songer à sacrifier un peu de l’image sacro-sainte du pays de la liberté.
Quand je lis que l’augmentation de la prime d’assurance serait de quelques euros, je me dis que cela serait très supportable, à condition que tous les pratiquants participent, par le biais d’une affiliation à la FFME ou l’achat d’un forfait semblable à ceux de ski, par exemple à 10€ la semaine, 20€ le mois ou 50€ l’année. Ces forfaits seraient gérés par la FFME ou une confédération d’associations locales ou régionales. L’argent ainsi récolté serait suffisant pour payer l’assurance et l’entretien des sites.
En parallèle,l’achat du forfait devrait être subordonné à la signature d’un engagement du pratiquant à renoncer à toute poursuite et certifiant qu’il maîtrise les méthodes d’assurage. On serait proches de ce qui se passe en SAE.
Bien sûr que ce serait la négation de l’esprit de la grimpe qu’on a pu connaître il y a 30 ou 40 ans. Mais l’escalade étant devenue un sport de masse, l’esprit en a déjà pris un sacré coup. Alors pourquoi ne pas aller jusqu’au bout?
Et inutile de me dire que c’est pas possible simplement parce que « ça fait ch… de payer ». Je n’entend personne râler à la caisse d’entrée des SAE
Et bien je vais te dire que le problème est résolu puisque la Fede a opté pour le deuxième scénario soit la fin des conventions.
Tout ce que l’on fait c’est blablater sur une décision irréversible
Ça bouge au niveau local … Malgré les Cassandre , l’escalade existera encore au 21 ème siècle.
Par contre ça va sûrement se scinder entre nouveaux spots (secrets) et les anciens (inscrits au pdesi et toutes ces joyeusetés si délicieusement administrative s)
On dirait du J2…
Une sur cent ?
Pour le 84 ce sera identique ( notamment Buoux)