Je viens de lire l’article, la conclusion de Manu Ibarra est assez flippante voir déprimante…, j’espère qu’on pourra quand-même continuer à ouvrir (en « bénévole ») sans trop d’emmerdes,… quite à le faire en anonyme,… ou alors à mettre un relai au premier point de la longueur, comme ça ça devient « une grande voie », et « la deuxième longueur », c’est à dire à partir du deuxième point est considéré comme milieu spécifique et non soumis à leur règles à la con… :
« La lettre toute récente du président de la FFME annonçant le déconventionnement des falaises encore sous convention, n’est donc que la pierre finale à l’édifice. C’est la fin d’une époque, celle des ouvreurs bénévoles et un peu libertaires, de ceux qui ont créé l’escalade, construit ce bien collectif, et la renommée des sites français avec si peu de moyens et pour un coût ridicule. Ce bien collectif, cet esprit est sacrifié sur l’autel d’un système sécuritaire adapté à la consommation de masse.
Bienvenue aux gestionnaires, aux techniciens de contrôles et de certifications, aux opérateurs appliquant des procédures de mise en conformité…et aux grimpeurs consommateurs !
Le passage sera progressif, bien sûr, mais irréversible. »