Jonction rappel

#246

Je pense que les mots sont importants si on veut éviter la confusion dans les esprits .

Donc scientifiquement le mélange des dénominations cela pose problème comme dirait Luccio ; et pédagogiquement ça pose aussi un problème.

J’en resterai donc à la référence « ENSA » et Wikipedia pour ce qui est de la ( ma) dénomination des noeuds de base dit « de jonction » ( sur deux bouts de corde orientés dans le même sens et parallèle - noeud offset ( ?) en anglais ) à savoir : noeud simple , noeud de huit , demi-noeud de pêcheur et le noeud de pêcheur double « empilé » ( double-T-fisherman’s knot - DT-FK)

Et pour les noeuds de « raboutage » qui coincent ( sur 2 bouts de corde orientés en sens inverse et parallèle - noeud aligné ( inline) en anglais ) le plus ancien à savoir le noeud de pêcheur double classique et le noeud de huit tressé.

Ma préférence en « aligné » sur corde de même diamètre : le noeud de pêcheur double classique de base .
Et en « désaligné » : le noeud de pêcheur double «empilé ».
Sur corde de diamètres différents je triple mes noeud de pêcheur .
Ça m’suffira pour ma fin de carrière :wink:
Et serrez vos noeuds :pray:t3:

1 Like
#247

C’est quand même marrant (et malgré certains accidents récents bien dramatiques), tous ces messages, pour un simple nœud de corde…

Déjà 242 messages pour un simple nœud, ce qui entretien la confusion aussi…

Dés qu’il s’agit de « technique », alors là, ça pisse du post !
C’est parfois bien dommage…

Tu parles d’un immense problème : rattacher 2 cordes ! (ben heureusement qu’il n’y en pas trois, parce sinon … !!!)

Comme le machard, au dessus ou au dessous…

Finalement, je trouve ça bien triste ces discussions sans fins, puisque la réalité est très simple, et qu’il n’y a pas besoin d’en parler si longtemps…

Ceux qui discutaillent sans fin, ceux qui pinaillent, se tuent.

Faire un un bon nœud, c’est facile, et y’a pas besoin d’en discuter pendant des jours et des jours…

Restez simples et sécures !
C’est facile !

1 Like
#248

Précision : par « mots » j’entendais « noms » donnés pour tel ou tel noeud. Exemple du plein poing, ou autres.

Le tout c’est de se mettre d’accord avant de le faire, d’avoir les mêmes codes.
Comme les codes verbales ou gestuels (sur la corde) pour le relais, et l’assurage du second.

Et comme dit, après 242 messages, quand on aura enfin compris que de toute manière quel que soit le noeud choisi, tu le serres fort brin par brin, et tu fais un noeud simple derrière, collé à lui, et qu’il n’y a pas besoin de tergiverser pour rien, ce sera cool.

1 Like
#250

Indispensables. A condition que chacun mette la même chose sous le même mot.

2 Likes
#251

Vous me rassurez tous. C’est bien ce que j’ai toujours fait et du coup c’est ce que je vais continuer à faire…

#252

Sauf que 240 message plus loin, de nouvelles propositions arrivent. C’est quoi ce « le noeud de pêcheur double « empilé » » Il n’a pas encore été vraiment inclus dans le débat lui.

Et je n’ai jamais utilisé un demi-noeud de pêcheur pour une jonction. Ca se défait bien? Disons aussi bien que deux noeuds simples l’un collé à l’autre.

#253

Valcibiere ou Limbo ont signalé ce noeud dans ce fil de discussion sur ce sujet :


Ou ici :
http://www.gudelius.de/spst.htm
Je n’ai pas de nom précis et répertorié en français pour ce noeud d’où la notion d’empilage que j’ai rajouté derrière le noeud de jonction de (demi) pêcheur double « empilés »

J’ai toujours réussi à défaire rapidement mes (demi) noeud de pêcheur double même bien serré et tassé sur longe.

2 Likes
#254

Pour celui-là je propose le noeud ( inconnu ) « gore- lois » :wink: ( contraction de gordien et gaulois)

image
image492×640 107 KB

#255

Comme ça faisait bien longtemps que je n’avais posté, un truc hyper interessant : pourquoi faire un noeud de jonction ? Passez à l’Escaper :wink:

1 Like
#256

Et c’est comme ça que tu retrouves pleins de débutants avec une tonnes de matos spécifique/marketing qui ne servent qu’à une seule manip, et donc chargé comme des mulets… (sans parlé de ce prix de matos spécifique)

Le but des équipements, c’est qu’ils soient polyvalent. Si il faut que j’emporte ma jumar aussi pour faire une remontée, puis un descendeur pour le rappel, mais une plaquette pour relais etc…

1 Like
#257

Eh beh, faut se calmer mon petit. Et surtout … surtout: avoir de l’humour!

Le jour où tu me verra avec une daube pareille, tu me feras signe.

Pffff … ‘sont de plus en plus intolérants ces jeunes …

#258

:smiley: c’est vrai qu’en relisant, mon poste paraissait un peu sec ^^ mais je suis calme je t’assure ! et j’avais saisie l’ironie !!! (#reprendreCafé)

Ouf !!!

#259

Oui, c’est bien pratique, surtout avec des cordes à simple. A noter que si la longueur de corde déployée est importante (40 m et plus) son élasticité rend la manœuvre de récupération un peu longuette.

#260

Pénible pour la corde tendue
pour grimper en flèche en changeant le 1-er
pour assurer 1 pas sur les approches
pour un petit rappel dans la traversée d’extrême bec…

#261

Le sujet concernait bien les rappels, hein ? C’est bien ca ? :slightly_smiling_face:

#262

Encore plus efficace : utiliser 2 Escaper. Pendant que le 2e grimpeur descend en rappel, le 1er installe l’Escaper sur l’autre bout de la corde, et on enchaine :slight_smile:

3 Likes
#263

Bien sur on peut avoir 2 cordes: pour monter et pour descendre. Coûte que coûte. La vie est précieuse.

1 Like
#264

Pas besoin d’escaper, un bon vieux nœud Dufour ça marche parfaitement.

Finalement ça serait intéressant de faire un sondage massif chez les pratiquants.

  • Nœud de jonction utilisé
  • Pourquoi ce noeud?
  • Avez vous déjà eu un problème avec ce nœud?

Les données théorique c’est important mais l’efficacité du nœud sur le terrain est la seule donnée importante.

#265

Aucun

Sans objet

Sans objet.

#266

Par ordre de priorité ou de besoin : noeud simple doublé par un deuxième, noeud de huit doublé par un noeud simple, noeud papillon doublé par un noeud simple.

Selon le problème…les personnes ne pourront plus témoigner.

Ok, mais un noeud peut être « mal fait » (brin mal tressé), sur le terrain ça tient, mais quand tu vas vouloir le défaire…ben…, tu vas bien t’amuser…! La théorie permet de savoir quoi faire, quand le faire, et comment le faire. La pratique permet l’application, la vérification et la répétition.