Jean Michel Cambon (ECI) et C2C

C’est à dire ?
(j’ignore de quoi tu parles. Toujours est-il que pour aider un refuge, le mieux est d’y aller non ?)

Quant aux topos… Bah j’sais pas, Cambon est-il le seul équipeur du coin ?

La proposition des 10 centimes par nuitée est un peu une boutade hein, il n’empêche que des communes telles que celles ci pourraient mettre la main au portefeuille le jour où des voies sont/ seront à réequiper, non ?

non… rien… plutôt d’essayer de développer une activité « montagne » (je croyais que C2C était fait pour ça) … on va ergotter sur le rééquipement des bouses pleines d’herbes d’ailefroide…
Mes excuses… ça n’a aucun rapport…

… Gaffe si il y a un spit à côté d’une fissure… lors du rééquipement je me régale déjà des débats sur C2C…

z’avez pas l’impression de vouloir le beurre, et la crémière??
–> bref, mon humble avis… si ton kiff c’est de tirer sur des tiges de pissenlits…–> tu payes le topo… et tu fais pas chier sur le rééquipement futur des "« classsiques » finançant la totalité du tourisme haut alpin.

Sur ce… tchuss

???

Bon, je ne comprends pas grand chose à ce que tu écris…
Je n’ai fait aucune gv à ailefroide, seulement de l’alpi, alors je n’ai pas d’avis quant aux cacas de vaches paysagers que tu évoques. Mais je suis étonnées qu’autant de gens viennent pour grimper sur de la merde végétalisée.

Et sinon, le sélé ?

Et sinon les 98% ?

Pour être plus clair… vu que apparemment les brocolis ne comprennent pas:

  1. soit tu va dans une voie d’alpi, peu équipée, et pour faire de la montagne. Et C2c c’est top.
  2. soit tu va dans une voie sur un contrefort « sans nom », équipé sur spit… et dans ce cas tu daignes payer le topo … ( pour participer aux frais du mec qui a passé du temps, qui a acheté les points, et qui a désherbé tout ça)

–> mais jamais tu penses, qu’il y a 98% de grimpeurs à ailefroide et que la mairie de Pelvoux te dois bien le financement de tous ces spits… même si t’as picolé 2 bières au bar du village.

…[quote=« hedera, post:738, topic:186951 »]
Je n’ai fait aucune gv à ailefroide,
[/quote]

Bon… du coup… :wink:

Et enfin, je pense (oui oui, j’en ai le droit) que la mairie de pelvoux fait des sous grâce à la fréquentation massive de grimpeurs, que son camping mériterait un peu d’entretien, et que malgré son prix peu élevé, c’est finalement un assez mauvais rapport qualité prix. Le coup de la taxe équipement était une boutade.

Et donc, quid du refuge du Sélé ?

Parce que ça n’a juste aucun sens. Est-ce que d’ailleurs dans les topos papier, les voies sont rangées par ordre alphabétique? Non.

Un arrangement doit être possible, et il est souhaitable, mais pas en perdant du temps à faire des choses inutiles.

Pour ma part, tant que l’interface reste ce qu’elle est actuellement, je ne rentrerai pas de couennes une par une. Et je trouve courageux/ses ceux/celles qui le font.

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Mais on ne le sait pas toujours. Même les topos papier ne recensent pas toujours les ouvreurs de chaque couenne ; dans certaines destinations couennes internationales, des voies sont ouvertes par des vacanciers qui ne laissent pas toujours leur nom (Sardaigne, Kaly, Finale, etc).

Puis quel ego… Qu’on connaisse l’historique de l’Eiger, OK. Mais d’une GV à Chamrousse ou d’une couenne à l’Ecureuil, franchement… Que ceux qui le savent complètent, mais qu’on n’emmerde pas le contributeur avec ça…

Je suis CONTRE CETTE obligation.

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IL faut tout de même s’inscrire / s’identifier, et les querelles d’ego y sont immenses…

Mais ça n’a rien à voir avec l’ego !! Parfois je me demande si certains ne comprennent rien ou font exprès de ne pas comprendre parce que ça les arrange! Peut-être que l’égo est finalement de ton côté ou de celui de Bubu par cette absence de discussion possible dès qu’on a un avis différent. Pour le cas que tu cites, il suffirait de rendre obligatoire le champ en laissant la possibilité de mettre « auteurs inconnus » ce qui est différent de « je ne connais pas l’auteur » en responsabilisant le contributeur à faire des recherches avant de publier. Enfin de toutes façons c’est bien de la mauvaise foi tout ça : à quelques rares exceptions près, quand on va grimper, on a un topo donc celui qui rentre une voie qu’il vient de faire et qui n’existe pas sur c2c l’a forcément trouvée dans le topo papier donc il a les infos pour les faire figurer sur c2c lors de la saisie. Je suis sidéré par l’entêtement de certains. J’ai essayé d’apporter des idées par seul souci d’apaisement et de conciliation pour tout le monde mais je vois que ça n’apporte rien. Personnellement, je trouve que c2c est un superbe outil ; je l’utilise parfois même si je trouve la dernière version moins pratique que la précédente (mais plus moderne). C’est pourquoi je souhaite qu’il évolue sur ces quelques points. Je suis d’accord sur toutes les difficultés rencontrées. En fait on est d’accord sur presque tout. La seule différence (mais importante à mes yeux) c’est l’éthique. Pas celle de la montagne mais celle des gens. Celle du respect du travail des autres. Tout simplement.

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Y m’semble que ça discute pas mal, pourtant ???

Ah oui, et comment ? Je n’ai pas le niveau pour grimper à l’aveugle, mais d’autres oui. Et ceux là peuvent « découvrir » des itinéraires ouverts par des inconnus d’eux, mais qui ont ptet décrit ou vont ptet décrire leur voie quelque part. Et pour ces voies là, on fait quoi ?
Faudrait à tout prix se palucher tous les topos disponibles en papier et sur le net, d’une région donnée, avant de décrire une voie ?

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Ben c’est pas grave. Dans ce cas, le « auteur inconnu » pourrait être accepté. Il suffit de le stipuler dans la charte. Il faut arrêter de vouloir à tout prix trouver des cas particuliers pour invalider un principe de base. Et comme ce serait une petite minorité, on aurait une base bien renseignée par tous les autres, ce qui n’aurait probablement pas soulevé ces tensions.

Envoyé de mon iPhone

Je viens de vérifier, tu as raison. Je m’étais identifié (créé un compte) pour faire des modifs, j’avais le souvenir que c’était obligatoire.

ça oui. Bon, c’est souvent abscons et illisible, ça m’intéresse peu.

Hier soir je me disais aussi que… C’est quand même difficile de dénoncer l’éventualité de forte inspiration des topos, tout en réclamant un historique de la voie fidèle aux informations de ces topos. Humainement, pas facile d’oublier ou d’ignorer ce qu’on a vu ou lu juste avant.

Ton cerveau vient de comprendre hier soir, ce dont on parle depuis 3 mois… tu es dans le bon chemin ! Cette contradiction fait qu’il est difficile d’entrer une nouvelle voie « éthiquement » sans en être l’équipeur, ou sans en avoir son aval.

L’historique des voies demandé est un minimum, l’accord de l’équipeur pour savoir si il veut que sa voie file dans le domaine public semble plus « éthique ».

Ah ouais? Et quand l’équipeur a déménagé, qu’il est mort ou que son topo date des années 60, comment qu’on fait? On grimpe plus?

Pourquoi? Il a équipé sa voie dans son jardin perso?
A partir du moment où il équipe dans un endroit public, ça deviendrait un domaine privé qui lui appartient? faut arrêter de rêver!
Et l’équipeur, pourquoi alors il rend public un topo mais qu’il ne voudrait pas que ça file dans le domaine public?

J’aurais pas le droit de faire le dessin, de décrire une église, un sentier de rando, une falaise avec ce qu’il y a dessus? J’aurais pas le droit de faire la photo d’une cathédrale, faut que j’achète une carte postale au bar d’en face?
Les seuls spots qui sont pas dans le « domaine public », à part les voies dans ton jardin, c’est les spots « privés ». Et quand je tombe dessus en me baladant, j’aurais pas le droit d’y grimper ou d’en parler à des copains parce qu’il n’y a pas de topo?

Y a pas mal de topos médiocres, que j’achète pourtant, parceque les équipeurs sont pas toujours les meilleurs pour présenter « leurs » falaises.
A eux de se débrouiller pour faire des bons topos, qui nous apprennent plein de choses en plus des schémas minimalistes et des descriptifs simplistes. Qui nous présente les équipeurs, qui nous parle de l’endroit et de son histoire, qui parle des grandes ascensions, des anciennes techniques, donne des anecdotes, explique le pourquoi du choix du nom des voies, se décarcasse pour le point de vue des photos des voies.
Il faut avoir du courage pour appeler « œuvres de l’esprit » des topos qu’on peut facilement plagier, autant pour le texte que pour le dessin. Alors que pour plagier un bon texte de Cambon ou un super dessin de Mussato, faut se lever plus tôt.

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du pur C2C, chercher l’exemple à la con, pour ne pas voir l’évidence des 95% des autres situations…on va aller loin.
L’escalade moderne date des années 80, les équipements aussi. Il y a toujours un fil conducteur entre les génération d’équipeurs / ré-équipeur, ceux qui ne le voit pas souvent, n’ont pas envie de le voir.

La question du pourquoi est bonne, simplememnt parce que dès fois (et ce n’est pas une majorité) certain espèrent éditer un topo eux même, avec les infos qu’ils souhaitent et les mises en garde ad-hoc, et éventuellement des revenus pour payer les points, plutôt que de laisser trainer n’importe quelles infos sur leur voies.

Non évidemment, mais en général l’équipeur a pris de son temps pour essayer de trouver le proprio et lui demander son accord. C’est le principe des conventions FFME, celui qui équipe, prend la responsabilité.
Donc responsable…mais pas créateur d’oeuvre…donc un gros con…qui se fait spollier son travail.

Tu veux nous faire croire que les auteurs de topos ont ouvert et équipé 95% des voies qui sont décrites dans leurs topos? Le pur C2C, c’est celui qui prend des exemples à la con, tu disais?

Pas de problème pour ces équipeurs alors, puisqu’ils sont les mieux placés pour mettre dans leur topo une valeur ajoutée bien supérieure par rapport à la description des voies basique de chez basique qu’un grimpeur peut faire du bas du site ou en grimpant qu’une ou deux voies.

Et pour prendre une voie pour une œuvre, la aussi faut être un peu sérieux: quand Tesson escalade Notre Dame à Paris, il crée une œuvre?
Faut un peut dégonfler les,chevilles.

Et puis on va mettre les pieds dans le plat, même si ça concerne pas tout le monde.
y a les équipeurs amateurs et les équipeurs qui travaillent dans le milieu de la grimpe, avec leur blog et tout et tout, et c’est pas tout à fait pareil.
A côté des équipeurs amateurs qui payent de leur poche ou ont de petites subventions genre CAF ,j’ai un peu donné dans le temps, on a aussi des pros, j’en connais,qui équipent aussi des voies pour leur boulot et les faire avec des clients ou simplement se faire connaître comme pros.
Pourquoi les grimpeurs lamda devraient payer l’entretien de voies pour ceux qui vont dedans avec des clients en se faisant payer ?

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Une nouvelle preuve de mauvaise foi … à kalymnos pratiquement toutes les voies décrites dans le topo de Aris le sont avec le nom de l’équipier … et dans le topo oviglia de la Sardaigne quand il y a écrit auteur inconnu et voie sans nom c’est parceque l’auteur est en conflit avec le ou les equipeurs (principalement un Suisse nommé Christian LEMRICH) :stuck_out_tongue_winking_eye:
je pense que l’équipe C2c des contents d’eux avec comme maxime « on a réponse à tout » feraient mieux d’avoir un peu de culture alpine !