Jean Michel Cambon (ECI) et C2C

Comme il est respectueux de laisser une personne motiver décrire des itinéraires …

C’est la magie du collaboratif, si certain veulent le faire, laissez les faire, si d’autres préfèrent d’autres solutions et bien pareil, laissons faire.
Mais la présence d’une référence bibliographique (quand elle existe, mais c’est presque toujours le cas) est indispensable. Par respect pour les ouvreurs (et pour tout un tas de raison pratique aussi, lié à l’entretien par exemple ou autre) et aussi pour permettre aux personnes intéressées de savoir quel topo papier acheter :wink:

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Une petite dernière (enfin pas forcément) …
Tout d’abord merci pour le cours sur le principe du Wiki appliqué à C2C …
D’une manière générale, tu t’emploies à fermer consciencieusement toutes les portes de discussion, alors que je l’ai dit plus haut (et je ne suis pas le seul à le penser), on a tous interêt à s’entendre !
Que la position de l’ECI soit la bonne : probablement pas non plus … Il suffit de voir dans le lien que j’ai indiqué : Camptocamp.org , quelqu’un a renseigné hier le champ historique par : Oberta Pel, Llulu I El Willow, avec la collaboration de Joseba, finalisée le 26-05-2011, le seul hic c’est que le topo (papier) indique : Llorenç Barba et Albert Egea … Qu ia tort,qui a raison ? Donc, effectivement rendre le champ obligatoire ne résoudra rien, je peux mettre que la voie X ou Y a été ouverte par mon cul et tout serait correct … Mais ça n’enlève rien à la légitimité de leurs demandes, au pluriel, car je pense que leur demande au sujet des topos de couenne est aussi légitime ! Tu ne peux pas dire apportez nous la preuve que les topos financent pour une part importante l’équipement et peut être on verra ce qu’on peut faire … C’est peut être le cas (voir Hot Roc), et beaucoup plus sûrement ça existe mais pas partout … Mais bon, prenons le temps de la discussion (à priori si j’en crois la réponse de Dani, ça s’amorce).
Après pour la V6 … J’aurai aussi pas mal de truc à dire, tiens un SMS d’un « ancien » contributeur de la V5 : reçu hier soir qui commence par : « Salut Henri, je me suis connecté hier soir sur C2C, je n’y vais plus depuis la nouvelle version » … Je ne te met pas le mail que j’ai reçu de FMJ, il est plus violent …
Certes elle progresse … Mais comme par hasard, toutes les personnes contributrices de C2C (des grimpeurs) avec qui je grimpe ont des soucis avec cette nouvelle version, avec pêle mêle des critiques genre trop de clics, moins de « densité d’infos », recherche moins puissante … Exemple précis : J’ai toujours pas mal de projets un peu partout, et, pour (des fois) m’aider à choisir je cherchais dans les derniers mois toutes les sorties de + de y mètres dont la difficulté était supérieure à z … plus possible …
Entre ça et ce p … de fil d’activité (#@!$**), je n’ai pas vu passer les sorties de Davpyr à Taghia juste avant d’y aller … Alors qu’il y avait quelques infos intéressantes à glâner …
Etant contributeur depuis 2006, je n’ai pas spécialement envie de jetter le bébé C2C avec l’eau du bain (comme un certain nombre de mes connaissances, sauf quelques uns qui l’ont déjà jeté …) …
Mais bon cette V6 est super …

Je suis d’accord qu’il faut pouvoir filtrer les sorties sur les cotations des itinéraires associées.
Mais pour chercher un itinéraire, c’est plus efficace d’utiliser le filtre des itinéraires avec les critères + de y mètres dont la difficulté est supérieure à z. On obtient bien plus de résultats qu’en cherchant dans les sorties des derniers mois (pourquoi un itinéraire dont la dernière sortie a 2 ans ne serait pas valable ?).

Quand on projète d’aller dans un coin, il est plus simple de jeter un coup d’oeil aux dernières sorties du coin, au lieu de scruter la liste des sorties toutes les 2h pour être sûr de ne rien louper les 3 semaines qui précèdent son voyage.

Système basé sur l’opacité, mais dont les discussions sont accessibles à 200 adhérents !
En sachant qu’un nouvel adhérent a accès à toutes les discussions depuis 10 ans.
Drôle de conception de l’opacité.
Les forums privés servent avant tout à limiter les attaques perso comme on peut lire dans cette discussion publique. Car une discussion publique comporte qq dizaines de participants, mais est lue par qq centaines ou milliers de personnes. Dans une discussion au sein de l’assoce, on connait les lecteurs potentiels à un instant t, et on s’exprime sincèrement.
Dans une discussion publique, on ne fait pas qu’exprimer son opinion à qq personnes, mais on gère son image vis à vis de milliers de personnes présentes et à venir, les posts pouvant être lue par tout monde pendant des décennies.
Tu ne connais surement pas bien tous les protagonistes de cette discussion, mais quand on les connait on se rend compte qu’il y a beaucoup de mauvaise fois dans certains propos (du style, qqun trouve inadmissible que c2c publie des topos sans participer au financement de l’équipement, alors qu’il défendait les topos Rockfax sur ce même forum, je vous laisse chercher).

Juste un mot : les discussions ECI/C2C datent de deux ans maintenant. L’ECI a souhaité diffuser sa version. N’oubliez pas qu’il s’agit de sa version. J’estime pour ma part que le côté fermé est loin d’être du côté de ce que comprennent certains nouveaux intervenants sur cette discussion. Les publications que l’on lit sont actuellement à charge C2C. Faites vous votre idée, et sans m’étendre : sachez juste que nous n’avons pas la même analyse des points de blocage de cette situation et de l’historique des mauvaises volontés.

Là ça ressemble à la typique attitude de montrer « qui a la plus grosse ». On se croirait dans une court de récré "c’est toi qui a commencé ! non c’est toi !

Y’a pas moyen d’arrêter ces conneries et d’essayer de relancer le dialogue comme l’a proposé Dani dans son dernier message ?

Rappelons qu’au tout départ (je veux parler de la création de skirando.ch devenu c2c et non de la v4, v6, v1000 !!!) et personne ne peut le nier, il y a une entité qui a utilisé le travail d’une autre pour faire sa place. Et aujourd’hui, il y a à coup sûr des retombées négatives pour la seconde. Le nier est de la mauvaise foi. En ce qui concerne les topos de ski de randonnée (et là je suis bien placé pour en parler), les ventes ne suivent pas l’augmentation importante du nombre de pratiquants.

D’une évidence en ce qui me concerne, c’est à c2c de trouver une solution de réparation si les administrateurs ont une minimum d’éthique.

Cela ne m’empêche pas de penser que c2c est un superbe outil et qu’il suffirait de pas grand chose, comme évoqué maintes fois, pour que le site et le papier se complètent sans que chacun fasse réellement de l’ombre à l’autre et surtout, que tout le monde s’entende.

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Tout à fait :slight_smile: Et je n’irai pas détruire ce que quelqu’un fait.
Mais je pense aussi que C2C doit placer un certain niveau d’éthique et mettre des règles en places face à cette problématique.

Moi aussi, pas de plagia :wink: et bibliographie. L’obligation pouvant être contre productive (non connaissance … si on a pas de topo papier et qu’on est pas du coin, dur dur de connaitre la paternité de la voie) mais une incitation forte (rappel, etc.)

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Je n’avais pas vu cette initiative :
http://www.espacevertical.com/label-patate.html

Dani, j’ai envie de te répondre :
"Je ne sais pas si ça correspond à EV2 (qui est une boite à grimpe indoor, dont le coeur de métier est de vendre de la grimpe en boite contre des zozeilles…) de « mettre en place l’économie du ré-équipement outdoor de demain »…mais ils y contribuent…bravo à eux !

Une fois le cap’ premier de l’outil de travail bâti, ils se sont posé la question d’une éventuelle mutation, ou à minima d’une « action solidaire », pour apporter leur soutien à ce problème épineux.

On trouve d’ailleurs une action bénévole JMC, à l’épinard halucinogène à la Meije …superbe !!!

Sans vouloir parler à la place de EV2, il se trouve que certains membres de l’entreprise sont d’excellents grimpeurs en rocher et aussi des ouvreurs.

Bonjour,

J’ai lu les articles indiqués, ça me laisse une impression mitigée, c’est une introduction de la publicité sur les voies d’escalade. Nous sommes à une époque où on tente de chasser la publicité des bords des routes, ou beaucoup se trouvent envahis par la publicité sur les messageries et Internet, et il faudrait encourager une entreprise qui met sa publicité en plus de la marque du fabriquant sur les points d’escalade ? La marque du fabriquant, je comprends. Mais à part ça, s’il devait y avoir autre chose, je trouve que ce serait préférable d’avoir un logo de l’ouvreur plutôt qu’une pub du financeur.

Bernard

ah bon, parce que certains prennent le temps de lire ce qui est marqué sur les plaquettes ?

Bonjour,

Il n’y a pas besoin d’avoir le temps de lire pour qu’une publicité agisse sur notre inconscient.
Beaucoup s’insurgent quand ce sont des politiques ou des chaines de télé qui utilisent ces moyens, je me pose des questions sur la pertinence de faire arriver ce genre de choses dans le domaine de l’escalade.

Bernard

C’est sans doute ce qui fait la différence avec l’équipe au bureau de C2C :joy::joy:

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facile, mais bonne !!

J’imagine que dans les 200 adhérents, il doit bien y en avoir quelques solides…quand même.

Je pense que Christophe est un bon, je ne sais pas si il fait encore partie de l’assoc’ ?

http://campui.eu-west-2.elasticbeanstalk.com/outing/82391

Ouais, bof… si on regarde bien : avec le matos, on est déjà pas mal « homme-sandwich », non ?
En tous cas leur initiative leur vaut au moins en retour ce qu’ils y investissent (du temps, de la motivation, du matériel) c’est à dire un grand merci et un peu de notoriété. Faut faire la part des choses entre une initiative locale et ce que peuvent entreprendre de grosses enseignes, à peine de décourager les bonnes volontés.

Là, désolé, mais pub subliminale ou pas, la condition indispensable reste la même, c-à-d. être vue (ou entendue) !

Et pourquoi pas ??

Sauf que là « ils » n’ont pas « juste » acheté un encart publicitaire ; ils ont payé de l’équipement (du mécénat en quelque sorte, comme la fondation Petzl).

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Le mécénat est un don, tandis que le parrainage est un achat de service publicitaire. Là, je me demande s’il ne s’agit pas plus d’un parrainage que d’un mécénat, et il me semble que je préfèrerais un mécénat. Mais peut-être que je suis trop vieux et trop anti-système, peut-être que les voies d’escalade de l’avenir ressembleront à des films au cinéma, avec une liste interminable de qui a pensé, qui a décidé, qui a financé, qui a coordonné, qui a équipé, qui a testé, qui a contrôlé, etc.
En plus, je ne comprends pas bien la logique. Ca veut dire que les grimpeurs sur résine, qui payent pour leur activité, doivent payer un peu plus pour financer les grimpeurs sur caillou ?
Et aussi, je ne comprends pas bien la comparaison avec C2C ? Est-ce que C2C a des clients payants sur lesquels une somme pourrait être prélevée pour financer des équipements ? Pourquoi ces financements seraient orientés vers la grimpe sur caillou plutôt que sur les autres activités référencées sur C2C ?
Mon impression est que je me sens bien plus d’affinités avec le projet
Greenspits
faire financer l’équipement d’escalade en extérieur par ceux qui sont intéressés par cette activité, qu’avec les autres formules.

Bernard

Non, le monde ne se divise pas en deux catégories… :wink: C’est ignorer tous les grimpeurs qui pratiquent à la fois en SAE (ex. en hiver ou quand la météo est pourrie) et qui vont dehors dès que les conditions sont favorables… Aussi celles et ceux qui vont découvrir l’escalade en salle (ex. les scolaires) et qui iront ensuite en extérieur. ll peut et il doit y avoir, je pense, des passerelles entre les diverses modalités d’une même pratique .

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