Interdiction et déséquipement des sites de la Route de la Grimpe (66)

Je suis originaire de Perpignan (enfin j’ai habité là-bas 14 ans). Quelle belle région… Je trouve cela très dommageable. J’espère que cela va se résoudre mais il faudrait que la FFME injecte aussi de l’argent pour refaire les voies si la sécurité n’est pas à leur goût…combien de grimpeurs le département compte-t-il ? Privatiser le lieu et le rendre payant serait-il possible (sous forme de cotisation) ? comme une SAE privée ? les media (France 3 et l’Indépendant) ont-ils été alertés ? Bon courage à vous tous.

Posté en tant qu’invité par Troll de Troy:

Il y a les trolls anonymes, les trolls à noms, les trolls à pseudos, mais le principal reste de surtout pas leur répondre.!!! Bon courage

Posté en tant qu’invité par edez6:

Combien de temps la pétition va t elle restée en ligne?

Un exemple concret de « capacité » d’accueil dans le même coin est le lac de Duilhac (excusez l’orthographe) ou depuis cette année le parking qui jouxte le lac est devenu payant(2 a 4€) en saison et ou il est indiqué « Baignade Interdite ».
L’argent récolté servira je l’espère à protéger le site et a le maintenir aussi naturel que possible, et le "Interdit dégage la commune de toute responsabilité alors qu’elle sait très bien que depuis 1000ans tout le monde s’y beigne.

J’ai donc mal a croire qu’une entente du même acabit ne soit pas possible!! et que l’argent récolté en saison permette une intervention de vérification annuelle …

:slight_smile:
la pétition a déjà recueilli environ 1700 signatures !

:o une réunion très importante a lieu jeudi prochain le 13 avec les différents élus locaux et les protagonistes de la route de la grimpe .

Ils invitent (enfin!) à cette réunion des « observateurs » du collectif de défense de l’escalade dans le 66, bref des représentants de tous les grimpeurs antonymes du 66; nos demandes n’ont pas variés d’un pouce, les voici :

  • stopper le « saccage » des voies (trop tard, tout a été fait pendant l’été…)
  • que les grimpeurs amateurs du département soient partie prenante de toutes les futures décisions prises lors des réouvertures de tous les sites d’escalade du 66
  • diligenter une contre expertise de l’équipement fait par un organisme public indépendant
  • revoir la classification de tous les sites selon leurs affectations respectives (terrain d’aventure, secteur initiation et perfectionnement, secteur dit sportif, etc.) car ces fameuse « normes FFME » sont le nœud du problème actuel et ces normes là ne sont absolument pas transposables à tous les type de sites naturels d’escalade; elles doivent sans doute être appliqués « à la lettre » QUE pour les secteurs « initiation découverte » et les sites « sportifs »; tout le reste, je dis bien TOUT LE RESTE, doit être classé en terrain d’aventure (T.A.), c’est à dire 90 % des falaises du département des Pyrénées Orientales !
  • sans doute décharger les élus des lourdes responsabilités qu’induisent la gestion de la pratique de ce sport « à risque », et les transférer, comme cela existe ailleurs, sur les professionnels (Guide, B.E.) et/ou sur les clubs locaux (C.A.F., etc. ?)
  • créer pour chaque site des comités de pilotage avec tous les protagonistes publics, assos, clubs et professionnels, où les grimpeurs amateurs indépendants,seront également présents à travers le collectif d’escalade récemment créé

:frowning: malheureusement, tous les sites de l’Agly et du Fenouillèdes ont été systématiquement et scientifiquement « cassés » pour interdire le départ de toutes les voies; les deux premiers points d’encrage ont tous été bousillés (maintenant il faudrait prendre beaucoup de risque pour aller mousquetonner les 3èmes points d’encrage…)

actuellement, même VINGRAU et TAUTAVEL sont interdits d’escalade

vous pouvez allez grimper en montagne (Canigou et Mariailles), en cerdagne capcir, et dans les Albères (dont le Roc Fourious au col de l’Ouillat)

:slight_smile: merci pour votre soutien et faite circuler la pétition encore SVP !!

je trouve sidérant pour ma part qu’il ne soit jamais question de responsabiliser le pratiquant. L’idée même semble taboue, et cela me dérange.

Quand je grimpe (hors d’une SAE), j’accepte en conscience le risque qu’un point puisse lâcher. Si je me prend un vol et que le spit me gicle au nez… so bad. Shit happens. Ca ne me viendrait pas à l’idée de me retourner contre l’équipeur, encore moins contre le propriétaire du terrain ou qui que ce soit. C’est moi qui grimpait, c’est à moi de juger le risque de me confier à un point et si je l’estime pas sûr, c’est à moi de prendre les décisions qui s’imposent (redescendre, poser un coinceur, prendre le risque quand-même).

Après, il y a la problématique des sites d’initiation. Ici en effet on pourrait considérer que celui qui propose un site d’initiation prend la responsabilité de la qualité de l’équipement. Mais il manque une qualification précise de ce type de site, qui le distinguerait des autres sites en terme de responsabilités pénales et civiles.

Hors de ces sites d’initiation les responsabilités devraient être celle du TA. Le pratiquant est responsable de ce qu’il y fait et de ce qui s’y passe. Si l’équipement d’un site est pourri, il y aura bien assez tôt des grimpeurs expérimentés pour le remarquer et le signaler. Et si ici l’équipeur est déchargé de sa responsabilité, cela motivera d’autant plus un bénévole compétant à reprendre et corriger un équipement déficient.

[quote=« Gnaffron, id: 1419665, post:185, topic:124228 »]

je trouve sidérant pour ma part qu’il ne soit jamais question de responsabiliser le pratiquant. L’idée même semble taboue, et cela me dérange.

Quand je grimpe (hors d’une SAE), j’accepte en conscience le risque qu’un point puisse lâcher. Si je me prend un vol et que le spit me gicle au nez… so bad. Shit happens. Ca ne me viendrait pas à l’idée de me retourner contre l’équipeur, encore moins contre le propriétaire du terrain ou qui que ce soit. C’est moi qui grimpait, c’est à moi de juger le risque de me confier à un point et si je l’estime pas sûr, c’est à moi de prendre les décisions qui s’imposent (redescendre, poser un coinceur, prendre le risque quand-même).

Après, il y a la problématique des sites d’initiation. Ici en effet on pourrait considérer que celui qui propose un site d’initiation prend la responsabilité de la qualité de l’équipement. Mais il manque une qualification précise de ce type de site, qui le distinguerait des autres sites en terme de responsabilités pénales et civiles.

Hors de ces sites d’initiation les responsabilités devraient être celle du TA. Le pratiquant est responsable de ce qu’il y fait et de ce qui s’y passe. Si l’équipement d’un site est pourri, il y aura bien assez tôt des grimpeurs expérimentés pour le remarquer et le signaler. Et si ici l’équipeur est déchargé de sa responsabilité, cela motivera d’autant plus un bénévole compétant à reprendre et corriger un équipement déficient.[/quote]

tout à fait d’accord avec toi sur le fond (mais ne refaisons pas la très lourde discussion qui a déjà eu lieu sur ce forum dans un autre spot

la responsabilité DOIT RESTER individuelle mais si les élus mettent NOTRE argent pour créer des sites « d’initiation découverte », ils sont en droit d’exiger les normes de sécurité les plus draconiennes, non ?

et si tu fais du 8 et que tu te prends des plombs d’enfer sur des points scellés qui s’arrachent ou qui casse, tu fais quoi ?

conclusion pour que tout le monde soit satisfait et que notre triste expérience dans le 66 ne se reproduise pas et nul par ailleurs, ça serait bien de classifier les sites dits en « milieu naturel » selon leur affectation et avec la responsabilité qui en découle, c’est à dire :

  • sites « initiation découverte » QUE sur couennes à l’initiative d’une commune et donc normes FFME maxi et responsabilité partagée de la commune et de la FFME, gestion du site par la FFME
  • sites « sportifs » à l’initiative des pros ou des fédérations (FFME, CAF), responsabilité de l’équipeur et gestion du site par lui aussi
  • sites « terrain d’aventure » : AUCUNES NORMES IMPOSÉE ET RESPONSABILITÉ INDIVIDUELLE DU GRIMPEUR

conclusion:

si l’on veut pouvoir continuer à pratiquer ce sport en toute liberté, et sans que les accès deviennent payants…, il faudra alors contingenter la créations des sites qui ne seront pas en T.A. afin que 90 % du territoire reste libre d’accès et sans aucune norme obligatoire

Le problème avec le découpage que tu proposes est de responsabiliser l’équipeur d’un site sportif. Un site « sportif » n’est pas un terrain d’initiation. Le pratiquant doit déjà savoir qu’un point n’est jamais fiable (les relais ne sont pas créés sur deux points pour faire joli) et agir en conséquence. Donc je ne ferai pas de différence en terme de responsabilités entre un site « TA » et un site « sportif ».

Ensuite pourquoi les sites « sportifs » ne seraient équipés que par des pros ou des fédés? Quid des centaines de spots équipés par des passionnés depuis des décennies? Est-ce qu’il faudrait interdire à tous les équipeurs bénévoles d’équiper de nouvelles falaises? Ca pour moi c’est la mort d’une très très grosse partie de l’escalade.

Il ne s’agit peut-être que d’un problème de nom dans ton découpage. Mais je trouverais dangereux d’inclure dans ta catégorie « TA » les sites spittés par des équipeurs non-institutionnels (hors FFME, CAF, …). Ça induit une confusion des genre et dans l’éternel débat dans la protection des « vrais » sites de TA je pense que c’est à éviter.

Je simplifierais donc les choses dans la catégorisation des sites par responsabilité, en disant :

Site école (d’initiation, de découverte) -> Responsabilité du gérant et de l’équipeur
Tout le reste -> Responsabilité quasi totale du grimpeur

Mais bon, je crois que cela induirait un changement législatif considérable, et il ne me semble pas que la France prenne cette direction (de responsabiliser l’usager). En même temps je vois ça depuis la Suisse et je ne suis pas le mieux informé qui soit.

Est-ce que l’interdiction s’applique au gorges de gouleyrous ??

Posté en tant qu’invité par TOBAL 66:

Oui même si le site ne fait plus parti de projet Route de la Grimpe.

Posté en tant qu’invité par kingfuret:

[quote=« eixurit, id: 1408758, post:180, topic:124228 »]Encore une fois que des anneries…
Le problème du 65 n’est pas le même, des subventions attribuées pour équiper ont disparues… donc justice…[/quote]

Peut-être mais les grimpeurs sont complètement étrangers à ces problèmes administratifs, pourtant ce sont eux qui en subissent les conséquences. Il semble y avoir eu un problème sur un site et donc vous privez tout le monde de grimpe sur un département ? Et qu’est-ce que vous avez à dire aux équipeurs qui ont bossé bénévolement et dont le travail contentait tout le monde ?

[quote=« eixurit, id: 1408758, post:180, topic:124228 »]Je rappelle ICI que nous sommes justes sur un equipement payé qui n’a pas été fait… et nous FFME nous sommes prêt à rééquiper ( et pas tout seul…) dés qu’un maire se décide et trouve surtout les sous…

Donc on attend les décisions des élus qui comme d’habitude trainent…[/quote]
Les élus se foutent de l’escalade, ça brasse pas d’argent, donc les grimpeurs peuvent toujours attendre et bientôt il vous faudra expliquer que l’escalade (en falaise je précise) dans le 65, faut oublier ?

Posté en tant qu’invité par clash:

Complètement étranger à la région, j’ai néanmoins lu tout le sujet avec une grande attention.
Corrigez-moi si je me trompe, mais il me semble avoir compris que:

-2/3 des voies préexistaient au projet de « route de la grimpe »
-Le 1/3 restant a été commandé par la collectivité publique à une entreprise qui a mal fait le boulot
-Il a été décidé d’interdire à l’escalade (en solo, sur coinceurs et sur spits) la totalité des sites appartenant à la « route de la grimpe », donc y compris le 2/3 d’origine et le 1/3 équipé par l’entreprise qui a mal fait le boulot
-Il a été décidé de détruire les relais et les deux premiers spits ou broches de la totalité des sites appartenant à la « route de la grimpe », donc y compris le 2/3 d’origine équipé par diverses personnes (j’imagine, des bénévoles, comme pour la plupart des falaises d’escalade).

Si ces 4 assertions sont correctes, ma question est la suivante: comment justifier la destruction de l’équipement de voies d’escalades mises en place au fil des ans par des personnes diverses, dans des états divers d’ancienneté comme de solidité?
En raison de l’hétérogénéité de ces aménagements, comment peut-on conclure que si certains points sont défecteueux (estimés à un tiers si j’ai bien compris), il faut fermer toutes les voies?
N’aurait-il pas été possible d’identifier et de fermer uniquement les voies aménagées par l’entreprise mandatée par la collectivité publique, celle qui a semble-t-il mal fait son travail ?

L’argumentaire avancé par les défenseurs de l’interdiction et du démontage actuel, dès lors qu’il s’applique aussi au 2/3 des voies d’origines diverses et non pas seulement aux voies ajoutées par l’entreprise mandatée, fait purement et simplement froid dans le dos !! Vous voulez donc vraiment appliquer des normes et des réglementations à l’ensemble de la pratique de l’escalade ? Vous voulez donc vraiment que chaque voie d’escalade répertoriée (où ?), quel que soit son statut, son ancienneté, son niveau et son type d’équipement, soit soumise à des standards clairs et identifiés ?

On est en plein, mais alors en plein dans la problématique « responsabilité individuelle VS responsabilité de la collectivité », ou dans l’opposition classique « montagne aménagée et régulée » contre « dernier espace de liberté ».
Appliquer un discours juridique et formel à une pratique restée jusqu’ici en grande partie libre de toute norme et de toute contrainte, c’est prendre le risque de voir se transformer radicalement cette activité. Pour moi (attention, je vais sortir les grands mots), c’est la porte ouverte à la déresponsabilisation massive des pratiquants des activités de montagne , à la disneylandisation générale des montagnes ! C’est la voie royale vers l’interdiction du ski hors-piste ou du base-jump… et de toutes les activités outdoor dès qu’elles sortiront du cadre strict dans lequel on va vouloir les enfermer.

La société du risque zéro n’est pas une réalité inéluctable, c’est un choix ! Je ne vois pas pourquoi on devrait s’y soumettre sans en débattre.

C’est bien tout le problème, où notre cher Etat (et une partie de notre société, il ne faut pas se le cacher non plus) entend tout réglementé et normalisé. Sauf ses déficits …

Mais c’est vrai que juridiquement l’interdiction totale ne tiendrait pas très longtemps !

Posté en tant qu’invité par GC:

Ne pas oublier que le nombre des pratiquants et la « sportivisation » à outrance transforme une activité avec peu de règles en un sport réglementé… les équipements sont la partie la plus voyante pour les responsables communaux…
Si on regarde en arrière comment se sont transformés les sports ( règles, lieux, organisation…) on peut assez facilement imaginer ce que sera l’escalade…dans qq. années bonne réflexion.

Posté en tant qu’invité par meuuuh:

[quote=« GC, id: 1427506, post:193, topic:124228 »]Ne pas oublier que le nombre des pratiquants et la « sportivisation » à outrance transforme une activité avec peu de règles en un sport réglementé… les équipements sont la partie la plus voyante pour les responsables communaux…
Si on regarde en arrière comment se sont transformés les sports ( règles, lieux, organisation…) on peut assez facilement imaginer ce que sera l’escalade…dans qq. années bonne réflexion.[/quote]
Pas d accord, on n est quand même pas tous des veaux, la preuve en est avec ce sujet qui fait forcément réagir les grimpeurs de falaise réguliers. On en est à 9 pages !! C est les grimpeurs qui feront évoluer l escalade, pas les blaireaux en cravatte ni les compagnies d assurance, ni les politiques etc. Un des gros problème aujourd’hui, c est que « notre » fédé adopte une attitude décalée de l état d esprit des pratiquants, elle est donc en train de perdre toute crédibilité.

[quote=« meuuuh, id: 1427650, post:194, topic:124228 »]

[quote=« GC, id: 1427506, post:193, topic:124228 »]Ne pas oublier que le nombre des pratiquants et la « sportivisation » à outrance transforme une activité avec peu de règles en un sport réglementé… les équipements sont la partie la plus voyante pour les responsables communaux…
Si on regarde en arrière comment se sont transformés les sports ( règles, lieux, organisation…) on peut assez facilement imaginer ce que sera l’escalade…dans qq. années bonne réflexion.[/quote]
Pas d accord, on n est quand même pas tous des veaux, la preuve en est avec ce sujet qui fait forcément réagir les grimpeurs de falaise réguliers. On en est à 9 pages !! C est les grimpeurs qui feront évoluer l escalade, pas les blaireaux en cravatte ni les compagnies d assurance, ni les politiques etc. Un des gros problème aujourd’hui, c est que « notre » fédé adopte une attitude décalée de l état d esprit des pratiquants, elle est donc en train de perdre toute crédibilité.[/quote]

Combien d’entre vous cotisent à un club, combien sont prêts à encadrer, combien sont prêt à équiper, combien sont prêts à assurer la pérénité d’un site … ?
Seul hélas on ne peut pas être représentatif d’une activité, les clubs sont un « mal » utile .
Aucune instance ne dialoguera avec un individu.
Quand aux fédé (ffme et/ou caf pour citer les plus grosses) qui ont une attitude décalée, elle l’est pour qui ? Les membres ?

Complètement naïf … la société évolue uniquement en légiférant, et ça se passe dans des assemblées pas au pied des falaises à blablater entre copains!

Posté en tant qu’invité par Meuuuuh:

La fédé délégataire est la FFME, pas le CAF, et elle est décalée des pratiquants qui sont les équipeurs, grimpeurs de falaise et syndicats professionnels : pas de communication (qui entend pârfois des cadres de la fédé s’exprimer au sujet des SNE ?), jamais de prise en compte de l’avis des pratiquants.

Posté en tant qu’invité par meuuuuh:

[quote=« Bruno, id: 1429850, post:196, topic:124228 »]

Complètement naïf … la société évolue uniquement en légiférant, et ça se passe dans des assemblées pas au pied des falaises à blablater entre copains![/quote]

Evidemment, inculte que je suis, je n’étais pas au courant des longs débats concernant l’escalade pendant les conseils de ministre !! C’est sur, ils ont pas d’autre chat à fouetter en ce moment. Ce que tu ne prends pas en compte, c’est qu’équiper une falaise, c’est plus simple et plus discret que de construire un stade de foot, et que si des gugus nous imposent des choses absurdes, le dialogue sera coupé et l’équipement sauvage, qui reprend de plus belle ces derniers temps, va supplanter les absurdités que nous proposent les assurances et la fédé.

@meuhhh
J’ai l’impression d’entendre les discours d’il y a 30 ans quand les opposants au péage sur les pistes de fond juraient qu’ils payeraient jamais!
Naïf … Je confirme !

Posté en tant qu’invité par meuuuh:

[quote=« Bruno, id: 1431502, post:199, topic:124228 »]@meuhhh
J’ai l’impression d’entendre les discours d’il y a 30 ans quand les opposants au péage sur les pistes de fond juraient qu’ils payeraient jamais!
Naïf … Je confirme ![/quote]

Ta vision de la société est assez austère … L’escalade en falaise n’est pas un sport de masse Bruno, ça t’attriste peut-être mais c’est comme ça et les barraques à frittes ne sont pas prètes d’arriver au pied des voies. Du coup, je pense que les acteurs de ce sport ont un rôle à jouer dans son évolution et pour ça, quand il se passe des choses abhérantes comme ce qui est dénoncé dans ce post, il est toujours plus constructif de le dénoncer que de se laisser bercer par des discours sans queue ni tête. Le forum de C2C est un bon outil pour justement dénoncer ces pratiques débiles. Libre à toi de penser qu’il faut tout accepter sans rien dire, tout le monde ne partage pas ta vision.