Voilà bien le point de vue que je partage !
Réciproquement je dis clairement « pose des spits là où tu en as envie , ça ne me dérange pas non plus ».
L’escalade (problèmes et solutions) ne s’en trouvant pas affectée, il y a à mon sens de la place pour toutes formes de pratiques tant qu’on ne dégrade pas le terrain.
C’est mon opinion sans prosélytisme, en réponse à la question posée par @Yann.G
Bonne grimpe pour tout le monde.
LeS questionnements:
qui décide (enfin) de (re)donner un terrain de jeu traditionnel aux amateurs du genre sachant que 95% , au pif ? des voies françaises équipées.
Exemple : qui a desequipe la Ula ? Acte individuel ou conservation, comment est ce accueilli par les pratiquants ?
pour ma culture, pour comprendre les arguments ou au moins les connaître, pourquoi équiper un site propice à l’escalade traditionnelle
Exemple : Medji
connaître le positionnement des pratiquants, ou des non pratiquants puisque comme souvant, c’est important d’avoir un avis sur tout, surtout quand on connaît mal
J’ai pas de questionnement, je n’ai pas d’avis. Je prends comme ça vient.
Question : n’aurais-tu pas intérêt à créer un questionnaire ? Tu aurais des réponses plus nettes et moins de polémiques.
Ça ressemble quand même assez à un avis. Assez paradoxal d’ailleurs: tu parais gêner par un coinceur qui resterait coincé mais pas par une dizaine de plaquettes dans une voie.
Ce que certains essais d’expliquer c’est que non, chacun ne grimpe pas comme il veut, a partir du moment où l’équipement a une époque a été outranciers. Pour pratiquer l’escalade traditionnelle, le terrain de jeu est réduit, et certains equipeurs revoient leur copie parfois, ce n’est donc pas une réflexion insensé
Je pourrais pas mieux faire, désolé !
J’ai ma réponse a l’exemple 
Ce que j’ai pas compris c’est ça
Tu parles de quoi ?
Il manque un verbe et un complément 
Rééquiper et déséquiper « Ula » ? Les sagouins.
Le seul souvenir que j’en ai ( année 85 ) c’est de n’avoir trouvé qu’un seul point ( un clou) à mousquetonner dans la deuxième longueur où la cinquième ( ? / une fissure large ) 
.
Le second était vert .
Pas de « gamelle » ni d’antiques (petits et gros) friends au baudrier pour compléter . On a fait avec . Et je n’étais pas dans le haut du panier côté performance loin de là.
Maintenant il faudrait deux jeux complets de coinceurs mécaniques et un jeu de câblés pour faire la voie qui n’avait été ouverte en 72 qu’avec vingt pitons, trois bongs et deux antiques (?) coinceurs .
Va comprendre le « trad » Charles
Faisions-nous (ou pas), à l’époque et deux décennies après les ouvreurs, du « trad » sans le savoir ?
Je ne le suis jamais posé la question .
Le mot « trad » à l’époque , n’existait pas et « alpi » non plus.
Nous escaladions tout notre saoul avec ce que nous avions à notre disposition.
L’essentiel étant d’arriver au sommet et en bon état .
Reste que j’y aurais réfléchi à 10 fois avant d’oser le sacrilège de rééquiper ou déséquiper une voie historique comme celle-là.
A chaque époque ces « prophètes » tous bien intentionnés comme de bien entendu 
.
PS cela me rappelle d’antiques autres querelles au plus haut niveau qui agitait le landerneau dans ce coin de paradis
comme ça ? (j’espère ne pas avoir travesti l’idée 
)
qui décide (enfin) de (re)donner un terrain de jeu traditionnel aux amateurs du genre sachant que 95% (au pif ?) des voies françaises sont équipées.
