En quoi est-ce un problème qui empêche de grimper, d’ouvrir, d’aller en montagne, etc. ?
Est-ce le besoin premier des utilisateurs, écrire l’histoire de l’escalade ? Et pour les historiens, tu leur donne les mêmes documents qu’ils en font chacun une interprétation historique différente, cqfd ce n’est pas en fiabilisant des sources que l’interprétation et le sens donné à ces sources seront univoques : inutilité de la blockchain pour ce cas d’usage.
On évolue dans un milieu naturel, soumis à des aléas temporels, météorologiques et géologiques. Il y a aussi une infinie étendue des paramètres de risque directement liés à la compétence des pratiquants. Ces informations, l’ensemble de ces paramètres, et leur dynamique, ce n’est pas une blockchain qui permet de le gérer ni d’apporter une solution.
On a déjà toute l’information dont on a besoin pour aller grimper puisque, même sans information, on peut aller grimper : preuve en est les ouvreurs et les grimpeurs qui font des premières. Là encore, pas de besoin de certifier quoi que ce soit. Et heureusement que dans notre liberté on a encore le droit d’avoir des spots secrets, des infos non partagées, voire des infos effacées : le monde que tu décris est une dystopie.