Posté en tant qu’invité par popol:
J2LH a écrit:
Etienne a écrit:
C’est justement parce qu’on assure au baudrier et
sans point de renvoi ( donc freinage très faible)
qu’il est facile de dynamiser suffisamment la chute du
premier
pour solliiciter au minimum l’ancrage sur le relais « pourri ».
Mon dieu qu’il est con.
et pourtant, il a raison, ce con !!
en effet J2LH, car ce con parle de relais « pourris »; comprend par là: relais sur coinceurs, pitons, friends, sangles, coins de bois, broche à glace, etc…bref, tout ce qui ne ressemble PAS à 2 points bétons reliés par une chaîne en acier (ce qui semble être le seul type de relais que tu connaisses…)
Et je peux t’assurer que, malgré toute l’attention et la bonne volonté que tu déploies lorsque tu fais un relais en TA, tu as toujours intérêt à le considerer comme « pourri », et donc à essayer de le solliciter le moins possible! t’as donc 2 solutions:
-
celle à l’origine de ce post, c-à-d placer un point de renvoi au dessus du relais(il est exclu de faire le renvoi directement sur le relais « pourri »)
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si la section qui arrive s’avère difficilement protégeable, ou si tu manques de corde/protection pour poser un renvoi plus haut, alors il est effectivement plus efficace de ne pas en mettre du tout, et d’assurer le + dynaniquement possible (une technique consiste à passer le brin qui sort de ton frein derrière l’épaule(qui sert de renvoi…) tu y laisseras certainement un peu de couenne, mais ton relais « pourri » a + de chance de tenir en cas de chûte du leader.
Si t’as rien compris (ou que tu veux rien comprendre), il existe de très bonne formations dans ton club préféré!! ( ahr, mais non merde, c’est la comission alpinisme qui s’occupe du terrain d’aventure, ce sont donc des activités qui ne te concerne pas…)