J’ai la malchance d’avoir retrouvé du travail. J’ai l’impression de dépérir a vu d’oeil suite a ces 9 heures passées sur une chaise a scroller et a manger le contenu de boites en plastiques préparées la veille.
Avez vous des astuces pour optimiser la récupération?
Retourne vite au chômage avant d’être pris dans la boucle métro-boulo-dodo.
Vélotaf… ça entretient un minimum… et après divers mouvements des bras et jambes régulièrement dans la journée… l’idéal, pouvoir se faire un peu de sport le midi aussi…
je plussoie, fais du vélo.
Tu verras que les 9 heures sont très bien utilisées pour la récupération entre de longues séances de vélo.
Et trouve-toi une salle de bloc pour bouger un peu les bras le midi.
Aller au boulot a vélo !!! Ne pas hesistez a faire des détours le soir.
Pratiquer les escaliers toujours, un peu de gainage/suspensions et ca permet de rester dans le 6
Faire du sport à bon niveau et s’y maintenir, c’est toujours un luxe (financé par autrui ou par toi-même).
soit tu es dans le monde hyper productif, compétitifs, et tu travailles sur des jobs à intensité ++, et ça te vide rapidement de ton influx pour le sport ; et comme t’es bien sérieux et tout et tout et pas du genre glandeur, une partie de ton temps et de ta charge mentale passera rapidement aussi à élever tes gosses
soit ton temps libre (contraint ou non) est financé par la collectivité (chômeur, retraité, étudiant - nb : pour les étudiants, sauf exception, la collectivité te paye tes études via le financement du salaire de tes profs, etc. : tu as évidemment intérêt à choisir certaines filières cools à la fac avec que qq heures par semaine qq semaines pas ans, bien moins que ton présentiel de quand tu étais à la crèche ou à l’école maternelle …) ou une partie de ta pratique par des sponsors ou l’Etat (sportifs de haut niveau) ou des clients (guidos, etc.)
soit tu fais le choix (libre ou contraint) d’avoir des boulots qui laissent bcp de temps, ce sont souvent aussi des boulots qui rapportent peu, donc là finalement c’est toi qui te finance (correspond au manque à gagner avec ce que tu aurais en ayant une autre carrière).
et puis tu as le pire du pire : boulot de merde fatiguant, mal payé, qui te prend beaucoup de temps.
Camarade, comme tu as la chance de vivre dans un pays qui dépense plus 60% de ses recettes fiscales à faire de la redistribution, choisi ton camp !
Quel est ton objectif?
Il suffit de suivre les conseils du grand philosophe Schwarzy: « sleep faster ».
« Je ne dors pas longtemps mais je dors vite »
Albert Einstein.
Avant et après le boulot :
PS : 1897 : la loi des chaises .
https://www.fakirpresse.info/La-loi-des-chaises-661
J’aime bien tenter d’expliciter les questions pour chercher des réponses adaptées.
Qu’appelles-tu « la récupération » ?
Récupérer de l’effort fourni par ce corps avachi durant ces longues journées ? (oui oui, c’est un effort, et pas des moindres, vu comme j’en sors épuisée quand ça m’arrive (heureusement rarement !).
Ou faire de ces longues journées un espace de « récupération » d’autre chose ?
Ou les deux, remarque ?! Ou ni l’un ni l’autre, et donc ?
Merci a tous pour votre intérêt
A croire que je ne suis pas le seul a affronter l’enfer du travail
Le chômage n’est malheureusement pas une option pour moi a l’heure actuelle
L’objectif c’est le 7b
Il y’a bien sur plusieurs angles d’attaques sur le sujet:
Faire du sport avant (week end/matin/midi soir) et récupérer pendant ces périodes d’intense inactivité physique. Puisque tout sport nécessite une période de récupération.
Le vélo c’est bien mais il faut ramener le vélo a la maison ce qui empiète sur la potentielle soirée en salle. Avec le danger d’arriver vraiment épuisé a la maison… Y’a il vraiment un transfert musculaire? Peux être privilégier la course a pied le matin?
Récupérer de l’épuisement des longues journées bureautique ou le cerveau et le corps sont mis a rude a preuve par la stagnation mentale et physique, les collègues et la bouffe de micro onde.
Ça me paraît pas mal. Tu peux rajouter quelques bières.
Juste comme ça, je blaguais.
Normalement les gens se réjouissent de retrouver du travail, un cadre social, un salaire…
Après ce n’est pas une critique, il faut de tout pour faire un monde.
Ouhhh ta liste est loin d’être exhaustive !
Deux autres angles pour varier les points de vue : chercher à trouver ce qui est enrichissant dans ces journées plutôt que de ne focaliser que sur tout ce qui te désespère ? Ce sera bcp moins énergivore que ces « lamentations », et peut être même ressourçant !
Pratiquer (le boulot, et surtout la vie) dans un coin où y a moyen d’aller grimper avant-entre-après boulot…
Je n’ai jamais eu à courir ou faire du vélo pour avoir ma dose de « physique » perso, je grimpais « juste » au moins 3-4 fois par semaine dehors… (en bossant à temps plein…)
Il y a des régions (partout en fait) où c’est plus facile de marcher ou courir que de grimper.
(et même dans le sud c’est toujours plus simple d’ailler courir au parc borely ou sur la corniche que d’aller grimper dans les calanques…)
Pour la récupération dormir ça marche pas mal…
A moins que tu veuilles savoir quand on s’entraîne?
Je crois que c’est le secret sous condition que la tâche demandé au travail soit adapté à la récupération mentale comme physique.
Si la boucle en distance journalière entre domicile/travail fait trop de bornes c’est pénalisant car épuisant .
Apres tout le monde n’a pas la capacité Et l’énergie à tout gérer de front .
Affaire de compromis .
Quelle énergie !
C’est une bande de 3 sympathiques marseillais qui m’avait fait découvrir , a l’époque , Buoux et son Pilier des fourmis .
Regrets éternels d’avoir du quitter Marseille dans ma jeunesse , capitale du grand Bleu et de la grimpe 
Coquin de sort 
soit tu fais le choix (libre ou contraint) d’avoir des boulots qui laissent bcp de temps, ce sont souvent aussi des boulots qui rapportent peu, donc là finalement c’est toi qui te finance (correspond au manque à gagner avec ce que tu aurais en ayant une autre carrière).
Avec un bon niveau d’études on peut aussi trouver un boulot raisonnablement bien payé (40k à 50k par an en sortie d’école) et où on est suffisamment compétent pour pouvoir concilier carrière et sport sans se faire éjecter.
J’ai la chance de pouvoir me pointer au bureau à 10h, aller grimper à la salle de bloc du coin de 11h30 à 14h deux jours par semaine, et ça ne m’empêche pas d’avoir des primes, des augmentations et des opportunités d’évolution.
Je pense que si tu as de la chance, tu peux tomber sur un manager humain et qui comprend que la qualité du travail n’est pas proportionnelle au temps passé à ton bureau, et qu’une bonne hygiène de vie contribue aussi à avoir des salariés qui ne vont pas partir en burnout au bout de 1 an ou juste se barrer dans une autre boîte au bout de 2 ans parce qu’elle paye 10% mieux.
Travail de bureau -> Télétravail -> tu vas grimper au lieu de bosser.
Si personne ne s’en rend compte tu continues.
Si on s’en rend compte, tu continues quand même, tu te fais virer, chômage, tu peux grimper comme tu veux.
Problem solved.
tu peux aussi demander un temps partiel à 80 %. Ça te fait un jour libre par semaine (ou 2 demi journées), des week-end de 3 jours ect…
