Et même, sans aller jusqu’à parler de prendre des libertés avec la loi, on peut imaginer sans beaucoup se tromper que certains équipeurs aient pu se dire que cette loi qui considère l’équipement d’une voie d’escalade au même titre que des travaux pour bâtir une construction n’allait pas être appliquée à la lettre, et que les instances du Parc saurait faire la différence et permettraient à cette activité ancienne de continuer à être pratiquée.
Et puis il y a aussi le volet sécurité quand même : heureusement que la pose de nouveaux points en remplacement de ceux devenus obsolètes est tolérée, à défaut d’être légale si on n’a pas déposé le dossier en question (qui apparemment ne reçoit aucune suite s’il est déposé en bonne et due forme)
Car qu’on veuille construire une route, un parking, un bâtiment ou bien équiper une voie, c’est exactement le même dossier au regard du règlement du Parc : c’est une demande de travaux.
Toute mon amitié va à ces équipeurs
S’ils se sont trompés dans leur interprétation des évènements et leur analyse de ce qu’il était possible de faire, c’est pas la peine de les accabler plus que ce qu’ils ne vivent déjà en étant mis en cause judiciairement.