[Digression] Topo Buoux officieux, officiel

#44

bouaip… l’intérêt de vendre un topo c’est de gagner des sous justement pour financer le matos sur le site.
Plus de topo, plus de financement. Vous dites que réimprimer un topo coûte des sous… soit, ça tourne en rond… Du coup y’a un « crowdfunding » qui est lancé sur aptitude escalade…

C’est pas comme si ça faisait juste 6 mois qu’il y avait plus de topo, ça fait des années.
Déjà y’a 2 ans quand j’ai voulu en acheter un chez happy boulder à Lourmarin la vendeuse m’a dit qu’elle attendait le nouveau topo depuis longtemps…

#45

Tu pensais que les éditeurs se contentent d’une petite tape dans la main ?

Ah, oui la boutique du philantrope qui fait des topos pour rendre service à la communauté et n’hésite pas à y inclure des sites très récemment développés par d’autres…

#46

ah, bah merde alors, faut payer les éditeurs ? Je pensais sérieusement qu’ils faisaient ça gratuitement.
Et j’imagine que le topo « pas officiel » qui vient de sortir, l’éditeur n’a pas été payé ?

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#47

Bon bin on laisse tomber les topos papier, on passe au numérique (avec participation volontaire ou obligatoire) et basta. Moins d’attente, plus de recettes (frais d’édition bien moindre) et tout le monde est content, non ?

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#48

Nan un topo numérique ça se met à jour et ça périme jamais et ça se perd pas et c’est jamais en rupture de stock ça va pas.
Faut que les gens achètent le nouveau topo.
Et pis faut savoir se servir d’un ordinateur et d’un smartphone.

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#49

C’est ce qu’a fait le CAF en Ariège : http://cafma.free.fr/

Pour en avoir discuté avec Gérard Pouliquen c’est l’idée : simple, gratuit, accessible à tous, à jour, … et le site est moche mais c’est volontaire car léger même sur mobile avec un réseau faible (et peut être aussi car ce n’est pas une génération ultra connectée on ne pas se mentir :sweat_smile:)

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#50

bon les appli avec topo « solidaires/participatifs » existent déjà (climbing away), il « suffirait » de l’ajouter. Ceüse est dessus par exemple.

#51

Clilbing Away est mercantile et participatif. Ils ne reversent qu’une petite partie de leurs revenus.

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#52

comme les clubs alpins ou la FFME du coup

Cela dit d’après eux, ce n’est pas une petite partie, c’est la majorité.

« Depuis bientôt 10 ans, ClimbingAway a toujours mis en avant les topos des acteurs locaux. C’est donc avec cette même éthique que nous nous engageons à reverser plus de 50% des bénéfices de la vente de ces topos aux acteurs locaux qui équipent, rééquipent, entretiennent, etc. nos terrains de jeux. »

#53

Autant pour moi sur le « plus de la moitié ». Mais ils se gardent quand même une part importante. Ce qui n’a rien de honteurx hein ? Mais c’est pas un truc entièrement bénévole comme le topo d’un club d’équipeurs ou d’un équipeur compulsif comme Cambon.

#54

Sur le entièrement bénévole, il y a quand même le prix de l’édition, impression/papier, livraison, et la marge du magasin / vendeur, donc ça doit pas être loin

#55

That was my point.

#56

excuse mais 50 % des benefices c’est la moitié de ce qui reste quant tout est payé, ""impression/papier, livraison, et la marge du magasin / vendeur, ""et la, c’est pas équilibré… pour les Equipeurs/ entreteneur de nos terrains de jeuxxxxx

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#57

ptite question : pourquoi les équipements/rééquipements ne sont pas financés par les clubs ? ffme ou ffcam ? pourquoi ne pas taxer les cotis club pour flécher l’argent vers ces projets ?

#58

un grand nombre de club n’aurais pas les fonds nécessaire, une voie de 25 / 30 m, en rééquipement, coute en matos environs 120 €, imagine la cotisation que devront payè les membres du club, et puis les collectivités ne se presses pas pour les subventions…

#59

admettons, par contre les estrangers au club qui viennent grimper ont interêt à sortir le portefeuille quand ils viennent clipper les points, surtout s’ils n’ont pas la carte de membre d’un autre club…

#60

oui, donc faire un topo numérique est plus simple, et moins cher

#61

et a très courte echèance il ni aura plus de site d’escalade …car il ni aura plus de sous pour le matos…

#62

Je suis pas sûr, car un topo numérique, même moins cher, permet de toucher plus de monde.
Typiquement dans le cas présent, le topo est épuisé depuis des années, donc ça fait des années qu’il y a 0 entrée d’argent.
Avec un topo numérique y’a pas de problème de disponibilité.
Egalement des grimpeurs qui sont juste de passage pour 2 jours vont pas forcément acheter un topo papier à 30 euros. Un topo numérique par contre ça sera plus abordable.

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#63

et puis tu as aussi le cas (qui m’est arrivé à au moins St Antonin Noble-Val et à Termes) du point de vente du topo qui est fermé quand tu y es (et pas de vente par correspondance avant).

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