Comme si poser un carton de plaquettes pouvait donner du crédit à cet ouvrage, ou plutôt se dédouaner des pbs d’entretien. Qui devraient se concentrer sur les voies publiées, et dont les auteurs sont d’horizons diverses, et peut être plus dans l’activité ni de ce monde…
100 plaquettes (inox, on suit les recommandations!) = 240 euros. Avec les goujons (tjrs inox, on ne mélange pas les aciers) = 660 euros. Sur une édition c’est pas lourd, mais mieux que rien.
Il serait plus judicieux de payer de la main d’oeuvre. Ce qui ferait 2 journées de professionnels pour aller rafraîchir une voie de votre topo.
C’est un bon début…
Digression suite à la sortie du livre "les 100 plus belles GV en France"
Plus judicieux pour quoi ? Pour obtenir la bénédiction des censeurs ?
Celle-ci ne sera jamais accordée tant que la réalité du travail d’auteur et d’éditeur, et de la valeur créée ne sera pas reconnue, et tant que prévaudra cette accusation larvée (ou même ouverte) de pillage du travail des équipeurs / ouvreurs / réequipeurs.
Revendiquer une part de la valeur créée par les bouquins c’est un peu de la prédation aussi, non ?
Il y a des activités créatrices de valeur, qui sont distinctes en général, et que certains combinent avec plus ou moins de bonheur, utilisant l’une pour financer l’autre.
Qui accuse les auteurs et éditeurs de manuels scolaires de pillage du savoir scientifique transmis ?
Ce sont les critiques habituelles de ceux qui ne font rien envers ceux qui font qq chose.
Pour connaitre l’auteur je peux te garantir qu’il ne fait pas ça pour le fric ! Il forme, encadre et propose plein de sorties escalade et alpi en club. Bref c’est un gars qui s’investit pour tous.
BTW il a commencé à refaire le topo des Alpes-Maritimes, un travail colossal attendu depuis des années par tous ceux qui grimpent dans cette région. Tu veux le faire à sa place ? Alors franchement je te souhaite motivation et courage !
Ben zut la modération de C2C vient d’utiliser le 49.3 pour supprimer certains échanges pourtant pas bien méchants. Splitter le sujet aurait été moins dictatorial
Ce n’est pas ce que je voulais dire. Je me suis sans doute mal exprimé.
Fisc ?
Gestapo ?
« Bel » amalgame douteux .
C’est juste que si un de tes arguments de vente, c’est « ce n’est pas un topo pirate », il faut s’attendre à des questions de ce type.
Concernant mes voies proposées dans ce topo-livre (que je n’ai pas vu/lu/reçu), ce n’est pas moins de 45 longueurs sur Chamonix-Envers Aig.
Les auteurs n’ont pas cherché à me contacter.
Un livre qui vient donc concurrencer mon topo de l’Envers des Aiguilles, seul moyen pour moi d’acheter le matériel d’équipement (=> zéro aide des guides et autres acteurs locaux, et bien sûr des autres topos d’ici, tous résolument « commerciaux » et vampires).
Alors oui, je veux bien recevoir un joli paquet de scellements et de boucles de relais.
Ils seront utilisés à bon escient: alors grand merci par avance…
Tu reverses combien à la succession Rebuffat ? Et aux autres ?
C’est pas bientôt fini de pleurer misère ?
Ben justement, Rébuffat, il avait déposé le titre « les 100 plus belles »…
C’est pas bientôt fini de penser que tout peut s’accaparer dans ce bas monde ?
Si c’est toi qui le dis…
Mais si ! C’est en tout cas là direction imposée par l’économie actuelle.
Bonjour,
Merci pour vos différentes interventions.
Après discussion avec l’auteur et différents acteurs locaux, nous sommes d’accord pour dire que la formule « en collaboration avec les acteurs locaux » est approximative et qu’elle peut être mal interprétée. La formule plus juste serait « En collaboration avec des acteurs locaux, pour la plupart des massifs »
Pour être transparent sur la dotation matériel, 250 points vont être distribués en fonction des demandes reçues.
En ce qui concerne les revenus générés par la vente de livres en général, une choses est sûre, si j’avais voulu devenir riche, je ne serais pas devenu éditeur, je serais resté ingénieur.
En espérant que nos livres vous plaisent.
Tristan
Éditions du Chemin des Crêtes
La comptine du grimpeur…
Quand un nouveau topo sort, on râle.
Quand il n’existe pas de topo, on râle.
Quand les topos sont fait sur C2C, on râle.
Quand un topo épuisé n’est pas réédité, on râle.
Quand les topos sont édités en anglais , on râle.
Quand les topos deviennent numériques, on râle.
Quand les grimpeurs photocopient les topos, on râle.
Quand de l’argent est reversée pour l’équipement, on râle.
Quand aucun argent n’est versé pour de l’équipement, on râle.
Tu as oublié :
Quand les topos sont toujours dispo mais plus à jour (car 10 ans d’âge), on râle
Quand on grimpe on râle. Le grimpeur est un chieur.
Le pré-supposé : " ce sont les mêmes qui ralent dans tous les cas" est faux à mon avis.
La vérité : "on trouve toujours qq1 pour râler qq soit l’action entreprise " est trés largement transposable en dehors des topos d’escalade …
certains topos « Guides Vallot » (et déclinaisons Labande) sont toujours vendus …
On leur demande aussi de financer l’entretien des voies ?