Ils n’ont plus rien à voir avec les Vallot. C’est vraiment dommage que le nom soit repris par ces topos type « sélection ». Pour le coup je comprends la surprise (au minimum) d’anciens éditeurs ou auteurs qui voient leur « modèle » ou accroche repris juste pour que ce soit + vendeur.
Vu le terrain, l’entretien des voies se fait à la barre à mine et à l’explosif 
Mes « Vallot » sont collector 
Mais il vaut mieux avoir des infos plus récentes sur les itinéraires décrits !
Infos trouvées sur … roulements de caisse claire … camptocamp. Parce-que même les topos modernes sont rapidement dépassés par les changements de conditions (éboulements, retrait glaciaire, rééquipements, sécheresse globale).
Ouais c’est ça. Topos pompés sur des topos papier.
Je plaisante hein
Voici ce que cela donne en image
L’auteur affirme « ce n’est pas un topo pirate » dans sa promo ?
C’est toujours pareil: ceux qui ne font rien râlent après ceux qui font quelque chose. Sans doute un complexe de culpabilité, M. Lacan ?
Super ! On voit bien la taille du bouquin comparée à celle du matériel.
Ça fait quand même un super bonus, tout ça pour le prix d’un topo !!
<grincheux>
Ya pas de mèches ?
Et le perfo, il est prêté ?
Ya des batteries en plus ?
Elles sont bien chargées ?
Quoi ? Pas des scellements ?
Ça serait pas du galva en plus ?
Que du 12 ? La norme va passer à 14
…
</grincheux>
Bonjour,
Si je ne me trompe pas d’après mon analyse de l’aspect du métal sur votre photo, tout (plaquettes, goujons, relais) est en acier Galva, donc usage assez limité (indoor, ou zones à humidité très limité type calcaire face sud) si l’on veux que ça dure… (Calanques et rochers de « montagne » à proscrir…).
Mon premier topo « pirate »( ?) usé jusqu’à l’os a force d’être lu et relu .
S’il y en avait eu d’autre dans le même style je me serais serait saigné au quatre veines pour me payer toute la collection .
Après un tél de l’auteur, très sympa par ailleurs, il se confirme que le matériel proposé n’est que du goujon de 10mm galva.
=> C’est une catastrophe absolue en 2023, ou un rééquipement de qualité doit être en scellements inox 316L (bien entendu =Titane ou HCR à moins de 50km des côtes), ou à minima (et vraiment si l’équipeur est une vraie grosse flemme) en goujons inox de 12mm !
Mais quand arrêtera-t-on de poser ces m… de goujons de 10mm ? (galva ou inox d’ailleurs: ceux qui en posent encore ont 30 ans de retard).
A priori ça n’est pas de l’inox, vu la couleur. C’est bien dommage, surtout si c’est pour du rééquipement.
@mipi, @CPasFatal, @fixxx, il ne s’agit pas d’une vraie galvanisation, mais de dépôt de zinc de faible épaisseur …
C’est un gros problème de traduction. Je sors d’un gros marché avec des italiens qui sont obligés de remplacer des milliers de vis HM16 parcequ’ils avaient marqué sur le plan « galvanisé » pour les états de surface tel que demandé au CCTP et qu’ils ont livré ce qu’abusivement on appelle une méthode de galvanisation « à froid » dans le langage courant.
Les revêtements sont décrits dans la norme E 25-032 pour les éléments de fixation. La résistance à la corrosion est directement proportionnelle à l’épaisseur de dépot (et aussi la t° de dépot). Les éléments galvanisés que l’on met en oeuvre dans des environnements agressifs maritimes ou fluviaux ont une durée de vie tout à fait honorable et n’ont pas à rougir de l’inox. La montagne n’est pas un milieu qui compte parmi les plus agressif auquel les constructeurs de structure métallique ont à faire face. Je connais le discours sur la pollution : il ne faut pas oublier qu’il n’y a guère que de choix en matière de boulonnerie « sur l’étagère » si on veut du pas trop cher :
On arrive à faire de jolie choses qui tiennent en maritime ou en fluvial … sans passer par le titane ou l’inox. La galvanisation (à chaud) tient très bien la distance !!
Et si c’est pas pour du rééquipement ?
Certes le scellement de 12 inox c’est le top pour de l’équipement « définitif », mais pour par exemple un premier défrichage ? Personne n’utilise plus de goujons de 10 ?
Il y a 40 ans et plus le spit de 8 n’était pas si rare (2x moins profond), et il en reste sûrement (et les espagnols avaient des espèces de boutons avec des plaques de tôle… tout ça a retenu des chutes…)
Oui, tout dépend de ce que l’on en fait : un premier « défrichage » comme tu dits dans un une paroi en rocher face sud au climat sec et loin de la mer, ou bien rééquiper une voie classique bien parcourue dans un climat de montagne (pluie, neige, glace, gel/dégel), dans un cas ça a du sens, dans l’autre beaucoup beaucoup moins…
En plus, du goujon M10 acier « simple », je ne sais pas si certain équipent encore avec ça… ?
Du M12 acier simple en couennes face sud rocher sec et loin de la mer, oui, ça se fait encore beaucoup et ça tient très bien,
Du M10 Inox A4 en grande voie montagne, oui,
Mais du M10 acier simple ??? Peut-êtres des grandes voies dans le Verdon?
Hello
Je ne connais pas eu tout le milieu de la boulonnerie et fixation pour l’escalade mais je suis curieux.
Elles ne répondent pas à des exigences de tenue au brouillard salin de xxx heures et aussi a des carac méca encadrées et suffisantes pour l’application ?
Notice du fabricant du matériel en photo : « Les amarrages en acier Ecotri sont conçus et approuvés pour être installés dans des environnements intérieurs (espaces intérieurs clos), tels que murs d’escalade, salles du sport, pavillons, etc., et sans aucune corrosion potentielle, avec une température ambiante prévue de 0 à 35 °C. »
Tu aurais un lien vers cette documentation de « goujons indoor » ? Concept un peu surprenant.
https://www.fixeclimbing.com/en/index.php?controller=attachment&id_attachment=2
Beaucoup moins alarmant
mais courant, petzl dit la meme chose sur ses plaquettes coeur zingué. (depuis combien d’année ça je ne saurais pas dire)
raumer a aussi le meme discour
