Il y en avait un (je ne sais pas si il existe encore) qui se dégonflait au bout de x minutes pour laisser une poche d’air.
En plus de toutes ces stats, je pense qu’il faut aussi prendre en compte la pratique : si ca t’arrive de skier seul, dans ces cas le DVA n’aura que très peu d’interet, et du coup, l’airbag apporte vraiment un plus.
Bof, je vois pas du tout l’intérêt de gonfler le ballon pour ça, il suffit de s’entrainer à attraper la poignée.
On a aucune étude sur les causes de non-déclenchement : qui, pourquoi,… donc c’est bien difficile d’analyser si c’est un problème d’entraînement, un problème psychologique (panique), ou juste un problème physique (chute immédiate avant d’avoir pu enclencher)
En ce qui me concerne j’ai juste renoncé aux moufles (très mauvaise préhension) et je me fait un « check » régulier dans la tête.
Je n’ai eu aucun problème quand j’ai du déclencher, mais j’étais sur mes jambes, l’avalanche ne m’a pas mis par terre.
à l’inverse, si tu ne pouvais pas mettre ta ceinture (cassée par exemple), est-ce que tu ne roulerais pas plutôt à 90-100 sur autoroute ?
C’est ce qu’il faut faire ? (ceinture ou pas…)
Ben si il y en a. Une des causes est que la victime ne tire pas assez fort et doit s’y reprendre à plusieurs fois, mais c’est trop tard avant de passer dans la machine à laver.
Je répète : regardez comment on s’entraîne à déclencher le parachute de secours en parapente ou parachutisme. On ne se contente pas de faire semblant.
Bien sûr que la majorité des possesseurs d’airbag n’ont pas besoin d’un entrainement poussé. Mais les stats montre qu’il y a une minorité non négligeable qui en ont besoin. Et pour faire un entrainement réel, il faut déclencher l’airbag, pour entre autre ne pas avoir peur de l’inconnu de « comment ça fait quand l’airbag se déclenche ». Même si on est persuadé que ça ne pose aucun problème, quand on est en situation d’urgence c’est plus notre inconscient et réflex qui agissent, et ne jamais avoir vécu la sensation du gonflement de l’airbag peut entrainer une hésitation (inconsciente) du à la peur de l’inconnu.
Ben si, cf mail de Gustave Coste (le 23ème de cette série)…
J’essaierai de diminuer mon expo au risque. Baisse de vitesse, pas de téléphone main libre, pas d’alcool…
Si je transpose cette situation avec un sac avalanche (prendre le sac ABS mais oubli de la poignée par exemple), Je pense que je serai aussi particulièrement attentif pour éviter/diminuer les risques. Je serai même plus attentif que si je ne l’avais pas pris mais ça c’est un biais cognitif (qui va dans le bon sens) 
Le seul indice est que les pro ont moins de défaillances de déclenchement liées à l’utilisateur.
On ne sait pas la part des « non pro » (clients de guides) à qui on colle un airbag sur le dos parce que c’est la pratique du guide.
Et on ne sait pas si c’est un problème d’entrainement, de connaissance ou de panique.
D’ailleurs je ne suis pas sûr que les pro s’entraînent d’avantage au déclenchement que les amateurs…
ou simplement d’impossibilité : on tombe de suite et direct dans la machine à laver.
Pour moins de défaillances chez les pros, un pro pourrait être plus en éveil qu’un non pro ? (personnellement, avec l’expérience, je vois nettement plus de situations à risques qu’il y a 20-30 ans)
Je ne serais pas étonné que le fait que les cartouches ont un prix non négligeable fait que les non pros peuvent avoir une petite réticence à déclencher. Même si c’est pas forcément rationnel ça doit pouvoir jouer dans certains cas en retardant le déclenchement de quelques secondes qui peuvent faire la différence
Du coup, pour ça est-ce que ça vaut pas le prix d’une cartouche de faire un essai pour voir « comment ça fait quand l’airbag se déclenche ». Ça ne remplace pas un exercice complet mais j’imagine que c’est pas non plus inutile.
J’avais en tête qu’en magasin ils avaient obligation de te faire faire un déclenchement.
Je dirai plutôt expérimenté vs non expérimenté. C’est sûr que quelqu’un qui ne s’est jamais intéressé au risque d’avalanche et ne sait pas qu’il est dans une situation à risque, il va mettre quelques secondes de plus à comprendre qu’il a déclenché une plaque et qu’il faut d’urgence tirer sur sa poignée.
Sur la nécessité de s’entrainer je n’ai aucune certitude mais en ce qui me concerne je n’avais fait qu’un essai en magasin à l’achat. Ma main est allée toute seule chercher la poignée dès que j’ai entendu le crac de la plaque, je me suis laissé 4-5 secondes pour voir si j’avais une chance de m’échapper et j’ai tiré (en me félicitant d’avoir fait réviser mon sac)
Je n’ai pas réfléchi au prix de la cartouche 
Je ne connais rien au parachutisme, je ne sais pas si c’est comparable ou non.
Un des trucs tout cons qui va dans ce sens c’est aussi le fait de sortir la poignée de sa « poche ». Si on a pas identifié qu’on était dans un endroit craignos, on peut l’avoir laissée dans sa gaine, inaccessible rapidement. Du coup en étant plus expérimenté on a moins ce risque car on identifie mieux les situations dangereuses.
Bonjour
Et encore plus con ne pas mettre la sous-cutale, un accident ou la personne est resté la ceinture sous le menton sous la neige et l’airbag qui dépassé la neige, vite dégagé mais n"a pas pu être ranimé.
Bonjour
Sur mon airbag sans cartouche je peux tirer sur la poignée pour déclencher le percement de la cartouche mais il ne faut oublier après de réarmer le système sous risque de déclencher la cartouche en la vissant.
Oui, j’ai ça aussi, ça permet de savoir la force nécessaire.
Une question bête que je me posais à ce propos: dans la cartouche c’est de l’air comprimé ou du CO2? parce que ça n’a pas la même incidence pour la victime…
la recharge d’une cartouche chez arva c 'est 25 euros