Dans le Gard on n'aime pas les grimpeurs

c’est pas négligeable en effet, des porcs il y en à de partout, beaucoup plus dans les autres communautés d’usager que dans la notre. (avis perso)

C’est sur aussi mais il me semblerait aussi judicieux de faire disparaitre les fils électriques d’edf qui déciment aussi surement qu’un pesticide ou qu’un dérangement de couvé les rapaces protégés mais la il y a un l’obi derrière et effectivement c’est pas le même que les 50 grimpeurs d’un site.
Pour l’environnement en france il y a 2 poids, 2 mesures.

Le marginale est donc en passe de ce démocratiser je te l’annonce. chez nous un nouvel apb est entrain de voir le jour, un petit extrait:
Afiin de préserver les espèces concernées, les mesures suivantes
ont été prises par l’arrêté préfectoral.
Tout au long de l’année, tous travaux publics ou privés susceptibles
de porter atteinte à l’intégrité des milieux concernés sont interdits
notamment :
• le retournement des pelouses calcaires, leur fertilisation ou leur
plantation,
l’installation de tout nouvel équipement fixe destiné à faciliter
l’accès des parois rocheuses : voies d’escalade, via-ferrata, tyrolienne,

• la purge de blocs sur les parois rocheuses sauf en cas de danger
avéré pour les populations.
Par ailleurs, du 15 février au 15 juin inclus*, il est interdit de :
• procéder à des travaux utilisant des moteurs thermiques,
pratiquer l’escalade, y compris la descente en rappel,
• survoler les sites à moins de 150 mètres de la paroi rocheuse.
*Ces dates correspondent à la période de reproduction de nombreuses espèces rupestres.
En cas de non-respect de la règlementation vous vous exposez à des sanctions pénales.

En gros je résume apb partiel sur ce qui est déjà équipé.
Interdiction d’équiper sur tout ce qui ne l’est pas, et la liste des sites classés est énorme.

Petite anecdote concernant les espèces soit disant menacées … Je mange ce midi face au Rhône … Pour le cormoran !!! J’arrive même pas a les compter … Des dizaines ! Bizarre que certains le juge digne d’être protégé!

Posté en tant qu’invité par isidore:

il faut tourner 7 fois son clavier dans sa bouche avant d’écrire
le cormoran n’est plus protégé …

Posté en tant qu’invité par Antivol:

Ce qui me gène dans ce débat c’est l’amalgame association de protection des oiseaux = écolo, d’où dérive son corollaire grimpeur = pollueur. C’est trop facile. Il faut ramener les choses à la réalité d’un conflit d’usage où l’on peut défendre sa place sans pour autant être un sympathisant de montsanto. J’équipe et je protège le milieu parce que la falaise c’est mon biotope et j’y tiens. Je suis régulièrement en pourparler ( parfois houleux) avec des représentants de la LPO dont certains roulent en 4X4. Attention aux raccourcis.

personne n’a encore évoqué le cas de Russan où il n’y a plus de sentiers aux pieds des falaises (ils se perdent tous et personne ne s’y retrouve!)
de même à Collias où le maire a gentiment décidé de couper (ou plutôt arracher comme des sagouins) tous les cactus
et encore le dèséquipement du secteur « l’amour fou » pour privilégier les ferrateurs (payeurs) passant à proximité…
quels sont vos impressions? avis? échos?

Pour le tirer il faut une autorisation!

Posté en tant qu’invité par La TL²B:

Bonjour,
Le débat est très intéressant.
Au-delà du cas des Concluses où chacun à ses torts et ou la réaction des autorités me paraît encore totalement disproportionnée par rapport aux bénéfices attendus en matière de sauvegarde de la biodiversité surtout si elle ne concerne que la population des grimpeurs, il s’est dit des choses très intéressantes sur les différents lobbies écologiques et industriels.

Alors certes les 1% d’escrologistes intégristes n’ont pas totalement réussi à rendre la planète plus verte contre les Mosanto, industriels du pétrole et du nucléaire ou tout autres entreprises bien polluantes mais contre les sports natures ils gagnent souvent leurs combats ! Question de moyens humains et financiers…

Les grandes ONG de défense de l’environnement (LPO, FNE, FNH, FRAPNA,…) conduisent parfois de beaux combats mais pas toujours. Elles ne sont pas toutes des modèles de gouvernance et bénéficient de moyens financiers sans commune mesure avec ceux accordés aux sports nature.

Ainsi si dans leur rapport, les députés Geneviève Gaillard (PS) et Jean-Marie Sermier (UMP),dans publié en février 2012, rendent hommage au travail des associations et fondations œuvrant pour l’environnement, notamment dans le cadre du Grenelle, ils les rappellent également à l’ordre. Les députés ont passé au crible « les modes de financement et de gouvernance des associations de protection de la nature et de l’environnement », et épinglent, sur plusieurs points, la Fondation Nicolas Hulot (FNH). Sans épargner non plus d’autres poids lourds comme Good Planet présidée par Yann Arthus-Bertrand …

En effet, à propos des les fondations, forme adoptée notamment par la fondation Goodplanet de Yann Arthus-Bertrand ou la Fondation Nicolas Hulot. les rapporteurs « se réjouissent de voir que la protection de l’environnement conduise à de tels engagements » mais « s’émeuvent toutefois de l’absence de démocratie qui préside par nature à la gouvernance d’une telle structure », soulignant le risque de confusion entre intérêt général et action personnelle.

Autre inquiétude des députés : l’influence des donateurs privés, en particulier des entreprises. "La composition du conseil d’administration de la fondation Nicolas Hulot pose d’autres questions. Trois entreprises y occupent un siège : TF1, EDF et L’Oréal. Ceci ne pose, en soi, aucune difficulté : le mécénat de puissantes sociétés en faveur de l’environnement doit être accueilli comme un moyen supplémentaire d’action. Néanmoins, les activités particulières de ces groupes semblent problématiques sans les dimensions environnementales. EDF est une entreprise de pointe dans le secteur nucléaire. Quant à L’Oréal, elle est classée parmi les groupes de cosmétiques dont les produits font l’objet de test sur les animaux, au grand désarroi des opposants à la vivisection. Dès lors, comment interpréter, par exemple, la position très mesurée de Nicolas Hulot sur l’énergie nucléaire ? Quel poids donner à sa parole sur les activités principales de ses deux administrateurs, dont vos rapporteurs ont appris que l’un d’eux finance la fondation à hauteur de 10 % de ses ressources ?" « Tout est légal, mais on est un peu circonspects », assure Jean-Marie Sermier. Il met en avant le risque de « récupération de l’image de la Fondation au service d’intérêts privés » et conseille aux trois représentants de l’Etat présents au sein du conseil d’administration de la FNH d’être « plus perspicaces et plus fermes ».

Même suspicion pour la fondation de Yann Arthus-Bertrand : « Il soutient l’organisation de la coupe du monde de football de 2022 au Qatar, gâchis énergétique plusieurs fois évoqué en ces lieux, ont rapporté les députés à la Commission. Le Qatar a par ailleurs financé la traduction en arabe de son film Home. Est-ce une bonne politique ? ».

Il existe un autre rapport d’enquête sur le financement des associations intervenant dans le champ de l’environnement commandé par le Ministère de l’Ecologie et du Développement durable établi par l’inspection générale des finances (Ref. n° 2002-M-027-01) et l’inspection de l’environnement (Ref. n° IGE/02/033). Ce rapport est largement évoqué par Madame Roselyne Bachelot dans son livre " Le combat est une fête " (Ed. Robert Laffont, paru en novembre 2006)

Dans ce rapport, on peut voir que la FNE a bénéficié de la part du ministère de l’écologie de subventions qui ont progressé de 255% entre 1998 et 2001 (de 1.9MF à 6.7 MF), en plus de rémunérations de services rendus également au ministère, alors que sur la même période, l’ensemble de ses produits a augmenté de " seulement " 188%.
A noter également que certaines prestations de service du secteur marchand attribuées à la FNE, la LPO et quelques autres auraient dues être soumises au principe de l’appel d’offre des marchés publics. Ceci a été oublié et pendant ce temps, chercheurs, techniciens et entreprises privées essaient de trouver du travail. Les associations prennent souvent des " stagiaires " rémunérés dans des conditions très discutables. Joli cadeau à certaines associations qui ne se gène pas, par la suite, à engager des procédures judiciaires contre l’état et faire le sale travail d’un ministère contre un autre.

La subvention à France Nature Environnement du ministère de l’Ecologie a représenté 1,1 million d’euros en 2010, soit 38% du budget de la fédération, selon France Nature Environnement. La LPO en 2010 a reçu de l’ordre de 2,5 millions d’euros et ses finances sont assurées à 45% par les fonds publics : ministère de l’Ecologie, Europe, Régions, collectivités locales

Enfin, toujours sur la partie finance, le CG13 a versé en 2009 197 M€ de subventions aux associations dont 31 000 € au CDFFME13, 165 000 € pour la chasse, et plus de 500 000 € aux associations de défense de l’environnement…En région Rhône-Alpes les subventions de l’année 2010 donnent le vertige. Et encore, il ne s’agit ici que des subventions du Conseil Régional. Il faudrait également ajouter les subventions de l’Etat via le Ministère de l’Ecologie et la DREAL, des Conseils Généraux, certaines communes et celles de l’Union Européenne.

Dans une lettre du 25 mai 2010 Marie-Christine Git (CPNT-Groupe UDCA) mettait en garde ses collègues Conseillers Régionaux : « Depuis le début de l’année 2010, les subventions accordées à cette association [FRAPNA] sont déjà de l’ordre de 902.775 euros et il y a encore 6 mois à venir ! ». Mais l’affaire n’est pas nouvelle. Une récapitulation des subventions de 2008 du seul Conseil Régional atteint un total de 1 512 370,17 Euros dont 1 033 587,20 pour la seule FRAPNA.

Au mois de mai 2010, le Conseil Régional Rhône-Alpes avait voté une subvention à la Frapna de 117 000 euros. Puis au mois de juillet 17 960 euros pour la Frapna Haute Savoie et 145 753 euros pour la Frapna Loire. Et la distribution s’est poursuivie en septembre avec 8 990 euros pour la LPO, 14 000 euros répartis entre le Réseau busards France, la « Société Herpétologique de France » et l’association « Le Pic Vert » et 12 471 euros pour la Frapna Ardèche. Voilà au moins des associations qui ne sont pas concernées par la crise. Comparé à ce que touchent les associations sportives ayant un véritable rôle social au sein de la société…

Et à ceci, il faut rajouter la somme extravagante de 838 545 euros de subvention versée au mois de janvier, sous l’ancienne mandature, à la Frapna, LPO et Pic Vert.
A fin octobre 2010, soit pour 10 mois, nous en sommes au montant totale de 1 243 897 euros de subventions pour ces Associations de Protection de la Nature qui se partagent le gâteau en petit comité.

Bon mais laissons là ces considérations économiques sur nos impôts pour nous intéresser à cette fameuse notion de dialogue et concertation.Encore faudrait-il qu’il soit juridiquement possible !

En effet, je vous rappelle que depuis juillet 2011, l’article 249 de la loi portant engagement national pour l’environnement, devenu l’article L. 141-3 du code de l’environnement, établit la liste des organisations non gouvernementales qui peuvent être sollicitées dans le cadre d’une consultation préalable à la prise de décision.
[i]Peuvent être désignés pour prendre part au débat sur l’environnement qui se déroule dans le cadre des instances consultatives ayant vocation à examiner les politiques d’environnement et de développement durable, sans préjudice des dispositions spécifiques au Conseil économique, social et environnemental :

  • les associations œuvrant exclusivement pour la protection de l’environnement ;
  • les associations regroupant les usagers de la nature ou les associations et organismes chargés par le législateur d’une mission de service public de gestion des ressources piscicoles, faunistiques, floristiques et de protection des milieux naturels ;
  • les associations œuvrant pour l’éducation à l’environnement ;
  • les fondations reconnues d’utilité publique ayant pour objet principal la protection de l’environnement ou l’éducation à l’environnement.
    Ces associations, organismes et fondations doivent respecter des critères définis par décret en Conseil d’État eu égard à leur représentativité dans leur ressort géographique et le ressort administratif de l’instance consultative considérée, à leur expérience, à leurs règles de gouvernance et de transparence financière. Les associations doivent être agréées au titre de l’article L. 141-1.
    La liste des instances consultatives ayant vocation à examiner les politiques d’environnement et de développement durable est établie par décret.[/i]

Tiens, comme c’est étrange, les associations sportives y compris celles des sports nature n’ont pas le droit au chapitre ! Ceux qui lise la Tribune libre de Bleau le savent, à Bleau la Préfete à virer l’ensemble des représentants des fédérations sportives (escalade, rando, vtt, trail, CO…) et l’historique Cosiroc des comités de pilotage Natura 2000 et usagers et scientifiques. Pourtant c’est dans ces comités que les grimpeurs pouvaient discuter et faire entendre leur point de vue…

Enfin, pour celles et ceux que cela intéressent, le blog d’un ami juriste en doit de l’environnement offre de très belles analyses comme celle-ci que nous avions partagé sur la TL²B
http://latribunelibredebleau.blogspot.com/2001/01/grandeur-et-decadence-du-grenelle-by.html

Merci d’avoir été au bout ! :wink:
http://latribunelibredebleau.blogspot.fr

Posté en tant qu’invité par Antivol:

ta vie sexuelle ne regarde que toi

Tu as pas honte de comparer ceux qui s’occupent des zozios et ceux qui s’occupent de la jeunesse et des humains en général! Les bestiole quand même elles méritent bien tout ce fric et toute cette énergie :stuck_out_tongue:
Surtout nous n’avons qu’à rester dans nos villes à faire du sport indoor …
Sur les parkings des falaises il n’y aura plus que les mecs de la FRAPNA et de la LPO avec leur téléobjectifs, et tout leur merdier pour baguer les volatiles et les suivre au radar à travers les migrations … Je suis peut être extrémiste, mais cette écologie là m’indispose vraiment et lorsque j’aperçois à la télé la tronche à Bougrain Dubourg … je prends la haine !

Ca me fait la même chose quand je vois mes godiots de ski

Posté en tant qu’invité par La Tl2B:

Salut Bruno,
Pas honte du tout ! :lol:
Y’a des fois où la transparence cela fait du bien… :wink:

Tiens, j’en profite pour répondre à ceux qui ont évoqué le non enrichissement des bénévoles de ces ONG. Je suis d’accord avec vous. Mais, notre équipeur des Concluses, lui non plus n’a pas gagné un sous pour son action…juste des ennuis !

Les bénévoles sportifs et écolos font ce qu’ils peuvent mais ne vous leurrez pas, le pognon distribué aux ONG sert quand même à payer quelques salaires et parfois des gros… Y’en a qui en profitent… sur votre dos, et le notre puisque c’est nos impôts.

Posté en tant qu’invité par free cilmbing:

conclusion pour grimper heureux, grimpons cachés !!! vives les sites confidentiels !!!

Étant un équipeur compulsif et me fichant totalement des oiseaux qui ont , il faut bien l’avouer , des milliers de kms de falaises vierges faites de rocher pourri à eux seuls , je pense qu’il y a deux poids et deux mesures dans cette ‹ ‹ protection › › des volatiles .
Sur cette falaise en particulier , quel est l’impact * mesuré * de la fréquentation par les grimpeurs durant vingt ans ?
Je veux une mesure !!! Quelque chose de vérifiable !!!
Combien il y avait d’oiseaux , où , quand ?

S’il y avait quelque chose à protéger , dans la nature , puis-je suggérer ce problème :

D’accord , d’accord , je vais me flageller ce soir et me couvrir de cendres …

Pour les oiseaux de proie , le principal danger était les pesticides suivi de près par la chasse … les grimpeurs n’ont rien à voir dans ça . Et le danger a pratiquement disparu .
Pour les autres espèces :
‹  › La plus grande menace est celle de la destruction ou de la fragmentation de l’habitat. Les transformations des forêts, plaines et autres écosystèmes en terres agricoles, le développement des mines et des zones urbaines, l’assèchement des marais et zones humides, et l’exploitation forestière réduisent l’habitat naturel de nombreuses espèces. ‹  › ( Wiki )

On peut donc constater que les falaises …
Ce sont les insectivores qui ont le plus à souffrir , les oiseaux de plaine . Trop de développement urbain , trop de golfs .

Je serais curieux d’avoir une mesure de l’espace falaise utilisée par l’escalade en France ( deux mêtre par voie en largeur vs la surface totale des falaises , blocs , crans , affleurements et autres disponibles .
Et une étude de la période de nidification par espèces qui fréquentent les falaises .

Il me reste encore à voir des écologistes se plaindre de l’habitat des poulets dans les fermes industrielles d’élevage …
Quoi ? ils ne sont pas vivants ???

Écologistes purs et durs , mille pardon !
La St Valentin me met dans tous mes états … pendant que vous sauviez les oiseaux ces dernières années , des millions de personnes sont mortes de la faim , de la soif , de manque de soins médicaux , de la guerre et tout …
Sans doute que ces gens n’occupaient pas la bonne niche écologique , voilà !

Posté en tant qu’invité par DidierC:

Et toi tu as fait quoi pour sauver ces gens?
Quel argument pitoyable…

je ne vois pas bien pourquoi …
Ce qui st pitoyable à mes yeux c’est de s’occuper des animaux quand les humains ont besoin d’aide … car pour moi les hommes passent avant les bestioles et le fric doit être géré dans ce sens !

Je n’aspire pas à la sainteté …
Quand c’est le cas , il faut être logique et prioriser ses actions .
Si tu veux être un saint , en sauvant l’humanité , tu vas sauver la planète .

Moi , je ne veux pas être un saint , je ne sauve rien ni personne .
Mais je ne participe pas à un discours pseudo religieux écologiste!

Et d’ailleurs , tous les 5 centimes qu’on donnait à la Ste Enfance quand j’étais jeune , ce n’était pas pour sauver ces gens ?

Je suis tout à fait d’accord pour la protection si elle se fonde sur des études basées sur des mesures vérifiables et une concertation entre les utilisateurs . Pas , certainement pas , pour des chiffres basés sur des états d’âme .

Mais tu as raison , Didier : j’ai laissé mourir tous ces gens moi aussi . A bien penser , tu as parfaitement raison !
Mais l’argument n’était pas pitoyable … il est fondé sur une priorisation .
Et pourtant , même là , je suis en danger … la Terre a un surplus marqué de population quand on considère les ressources disponibles . On ne pourra continuer comme ça des décennies , des siècles ! Nous sommes comme une explosion de C.Difficil dans un hôpital … bientôt on aura tout bouffé , tout consommé . Ce n’est même pas une question de répartition de la richesse : on se multiplie tellement vite que les ressources ne pourront suffire à faire élever le niveau de vie de tout ces gens durant les deux siècles qui viennent . Car qui va dire aux Chinois , aux Indiens et autres qu’il ne faut pas qu’ils atteignent notre niveau de bien-être . Et leurs enfants et les enfants de leurs enfants ??
Que faire ?
Vaste question , hein ?
On se retrouvera dans un monde post-apocalyptique et là , là , il va y en avoir des insectes et des oiseaux !

Posté en tant qu’invité par beubeu:

tout ça c’est un combat de fonctionnaires, ceux qui ont le temps de compter les oiseaux et ceux qui ont le temps d’équiper des dizaines de voies en se foutant des règlements! y a qu’à voir en ardèche sur le site des branches!

Posté en tant qu’invité par Fritz the Cat:

Aaah, ça faisait longtemps.

Philosophie du bonheur en accord avec la faune :lol:
quand je vois un oiseau … je pense à petits pois (pour l’accommoder)! Un œuf (même dans un nid) … à omelette! Un cheval … à tartare et un lapinou à civet!
Les bestioles … je les bouffe ! je les regarde pas trop …
Même du chamois j’en ai bouffé (en Italie … et c’est bon en plus).
je sens que je vais avoir plein d’amis :lol:

Posté en tant qu’invité par Beuh_:

Mais il ne fait pas de leçon de pseudo-morale, il t’explique que certains nous en…quiquine avec des considérations oiseuses sur la sauvegarde du biotope. N’ayant de pouvoir sur rien de significatif il leur faut trouver plus faible qu’eux à martyriser, pour passer la frustration d’être inutiles et se mentir en se disant que finalement ils avancent vers la sauvegarde du monde.