Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Pascal a écrit:
J. Marc, j’ai volontairement laissé ci-dessus ce que j’avais
écrit avant de répondre à ton post.
Où vois-tu que j’ai dit que les cotations couennes provenaient
des cotations blocs ?
Ai-je dit que tu l’avais dit ? On va jouer longtemps comme ça ?
Tu reproches à J2 de penser que les cotations couennes sont antérieures aux cotations blocs (« Parce que pour toi les cotations blocs sont arrivés après les cotations couennes ? »), et je suis venu dire qu’il n’a pas entièrement tort, même si on ne parlait pas de « couenne » à l’époque, mais juste de « voie ». Bref, c’est juste pour l’antériorité que je réagissais. Si j’ai parlé d’indépendance entre les deux systèmes, c’est pour compléter mon point de vue, et tant mieux s’il rejoint le tien !
ce qui ne fait
que confirmer que les cotations blocs existaient bien avant :
pour référence la Joker (ouvreur : Paragot, grand bleausard et
grand alpiniste au demeurant, enfin il me semble, mais ma
culture ne semble pas aussi étendu que la tienne sur le sujet
au Cuvier était côté 6e ou 6f puisqu’on ne parlait pas de 7
à l’époque et qu’à bleau, l’ouverture se faisait par les
lettres sur le 6.
C’est exact. Mais d’après un post plus récent de J2, j’ai l’impression qu’il dit aussi la même chose (http://escalade.camptocamp.com/forums/read.php?f=15&i=108019&t=107838)…
Bref, le problème ne semble pas se situer au niveau des connaissances, et c’est pourquoi j’ai réagi aux « manuels »…
Perso je n’ai pas d’avis tranché sur la pertinence d’une cotation bloc, puisque je ne pratique pas (ou presque) cette discipline. Mais il me semble que si M@t et toi avez un avis cohérent sur la question, celui de J2 se tient aussi, et je ne vois pas pourquoi cet acharnement à vouloir lire dans ses posts des « conneries » qui n’en sont pas. Acceptez un peu la différence !
As-tu lu cette phrase : « l’époque où aucune falaise n’était
équipée ou presque aucune ». Eh oui, tu me donnes les
contreexemples qui confirment la règle et qui représentent
« presque aucune » cité ci-dessus. D’autre part, l’équipement
n’existait pas, tu le sais fort bien et on ne pouvait décemment
parler de couenne comme on l’entend aujourd’hui.
Les pitons, ça date de 1905… « Contre-exemples qui confirment la règle » ? On dirait du J2 dans le texte !
Bon, ne jouons pas sur les mots, l’escalade sportive est effectivement récente comme sport à part entière (70/80) mais les « écoles d’escalade », qui servaient à l’entraînement pour aller ensuite en haute montagne, n’étaient pas si rares dans la première moitié du siècle, et elles étaient équipées (de pitons et coins de bois)… Quant aux scellements… dans les Vosges du Nord, les Rings n’ont pas attendu les spits (années 40 !)
Bref, je n’avais pas faux en indiquant à J2 de réviser et
maintenant, vous êtes 2 
Ca va les chevilles ? J’ai un peu l’impression qu’on en sait tous les trois autant, non ?
J. Marc, ça serait sympa que tu arrêtes de protéger la veuve et
l’orphelin que n’est pas J2 
Tu te trompes, c’est moi que je protège sur ce coup, car comme j’avais compris ce qu’avais écrit J2, si c’était des conneries, ça voudrait dire que je suis un peu idiot ;-))
Sinon, le coup de la lapalissade… c’était de l’humour !!! Je sais bien que J2 à écrit « moi » au lieu de « cela », mais du coup, sa phrase avait un deuxième sens qui devient cocasse… désolé que tu n’aies pas compris !