Non,
Ça c’était hors sujet… Ça n’ empêche que je ne vois pas en quoi c’est mal un relais également dynamique… Bref les gars vous êtes archi formatés.
Corde ou sangle sur bequet
mais si je lis le test de thierry, il est marqué rupture de la cordelette à 800 N. et les sangles petzl à 22 000 N?
et que 400N, c’est une chute de 40 cm pour 100kg
Que ce soit une protection, un relai de progression ou un rappel (il parle des trois situations…) c’est la même chose : le côté dynamique du matériel utilisé comme point de protection n’a aucun impact sur la sécurité. C’est d’ailleurs encore plus vrai pour un point de protection car la longueur de la chaîne d’encordement est bien plus longue que pour le relai…
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Tests fais sur un angle coupant ?
Résistance de départ égale par ailleurs des sangles et cordelettes utilisées ( matière, diamètre) ?
Sujet intéressant
800 N, c’est 80 kg. Donc si tu fais 100 kg, ça tient déjà pas même sans chute.
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C’est quoi un relais de progression ?
Un relais quoi
Tu ne fais pas la différence entre un relais de progression que tu peux équiper pour toi-même et un rappel où il faudra laisser du matériel à demeure ?
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On s’éloigne de plus en plus du sujet.
Alors c’est quoi qui résiste le mieux autour d’un rocher contondant ?
C’est un peu dans le sujet quand même puisque ton relais de progression, tout comme ton relais de rappel peut être posé sur un béquet (tout comme un simple point de progression).
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je crois avoir compris que ce qui contondant, c’est le frottement de la corde sur une partie abrasive afleurante, mais en statique… le guide que j’avais dimanche nous a expliqué qu’il coupait ses cordes avec un lacet, échauffement de 10 min, et que le risque de section de la corde là où on était, ce n’était pas une rupture par la force du choc,mais par section de la corde si elle frotte trop en balayant la paroie.
bien j’ai trouvé ça…ça semble plus costaud que le test de thierry sur cordelette. Bon ça parle string aussi…
A edit, c’est 800 daN, donc 8000 pour la cordelette et 10000 pour la sangle quand c’est sur une plaquette
@Rob.Bonnet.guide te l’a dit, il ne sait pas.
Mais ça n’a rien a voir avec le coté statique ou dynamique de la chose.
En plus, de quelle cordelette parle-t-on ? Le 7 mm utilisé pour l’auto-assurance en rappel paraît juste (surtout si c’est le seul anneau du relais), et pourtant, il n’est pas rare d’en trouver en montagne.
Dans les années 90, mon formateur (un monsieur qui avait grimpé fort dans les années 60 et 70) me disait : « Quand tu coupes une corde endommagée, tu peux garder les morceaux pour te faire des anneaux de rappel ». Certes.
Ensuite, sont apparues les sangles fines en dyneema et on a bien pris goût à la légèreté, même si, s’agissant de cisaillement, on a tendance à se dire que ça fait un peu « ficelle à rôti ».
En 2007, dans le fil ci-dessous, certains évoquaient un anneau de corde de 8mm, ce qui revient en somme au diamètre du Dynaloop actuel…
Mais n’est-ce pas effectivement imposer à un relais pour le rappel une norme qui vaut pour l’assurage de la progression ?
Maintenant, on fait de la triple norme en 7,3 mm… et l’aramide existe (un peu cher quand même), mais il faut aussi admettre qu’on n’a pas forcément envie de trimballer toute une panoplie d’anneaux.
Avec un béquet contondant pour un rappel, je serais tentée de doubler l’anneau de 7mm ou la sangle dyneema, si je n’ai rien de mieux, voire de chercher un autre point.
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Une cordelette aramide coûte 4 euros le mètre, rien n’empêche d’en avoir 2m au fond du sac (par exemple chez tendon, edelrid, fixe, 6mm, 17 kN).
C’est pas faux !
Et on est à 23 g du mètre : ça va pas chercher loin.
Et effet mais pour moi c’est un petit plus .
Petit allongement + souquage du nœud = moins d’ effet brutal sur l’ angle contondant.
Un peu le même rôle que pour une « explose » qu’on mettrait sur l’ anneau quoi.
Quand on raisonne tranquillement et au chaud dans son bureau, on est tous d’accord sur les meilleures solutions et sur ce qu’il faut absolument mettre au fond du sac
Le problème, c’est de gérer les situations de crise :
relais encombré par plusieurs cordées ce qui n’était pas prévu la veille du départ, l’orage qui commence à pointer son nez et qui impose d’accélérer les manips, parfois des chutes de pierre qui mettent la pression, etc …
C’est dans ces cas de figure extrêmes mais fréquents que bien souvent, on voit des comportements irrationnels: des alpinistes qui sont venus grimper avec des gros 4/4 ou SUV dernier cri et qui vont « radiner » pour éviter de laisser en place un ficellou de 6 ou 8€ ou rajouter un mousqueton acier à 4 € !
Est ce qu’une vie en plus n’est pas plus importante qu’une bière en moins ?
Bon, désolé si je me suis légèrement écarté du sujet de ce post mais le radinisme des montagnards ( pas tous) est souvent à l’origine de ces relais « banzaï » et des risques d’accidents, heureusement très exceptionnels.
A part Ailefroide, salle d’escalade de haute montagne, les relais à la montée sont souvent beaucoup plus sur que les relais de descente en rappel …
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Il suffit alors de faire les rappels dans la voie de montée. Faut vraiment tout vous dire.
Et monter dans la voie de descente pour éviter les embouteillages ?
Je me souviens d’un grimpeur Canadien qui avait une initiative où si tu étais un jeune grimpeur pauvre, et tu devais abandonner une voie et abandonner du matos pour descendre, il te remplacerait alors une des deux protections au relais, une fois une photo et un récit reçu…
Quand je vois un relai relié par une cordelette en aramide (4€ le mètre !), je la remplace par une cordelette en nylon récupérée précédemment sur un relai suréquipé en cordelettes 
Puis je revends les bouts de cordelette en aramide sur le boncoin.
C’est le principe de l’arbitrage appliqué aux cordelettes.
A tester, mais je pense qu’en appui sur une arête tranchante, le plus résistant est la corde statique.
Déjà, la corde me semble plus résistante que la sangle, car la partie de la corde en contact avec l’arête protège le reste de la corde (les fibres de la partie externe de la courbe que fait la corde sur l’arête, présentent un rayon de courbure bien plus grand).
Ensuite, avec une corde statique il y a moins de risque de glissement le long de l’arête, causé par un changement de positionnement de la sangle, lui-même permis par son allongement. Mais c’est juste du doigt mouillé.
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