Posté en tant qu’invité par Kiki:
Sauf patine due à la surfréquentation, éboulements ou déséquipement, le niveau intrinsèque de la voie, c’est sa configuration physique. Que l’ouvreur soit un as de l’adhérence ou que ça lui file des sueurs, que le 150e répétiteur adore les inversées ou qu’il les déteste, l’adhérence ici, l’inversée là, la platasse plus haut… elles sont là.
Ce n’est pas le niveau de la voie, qui est variable. C’est l’appréciation des grimpeurs. La cotation, en conséquence, peut être difficile à déterminer, discutable, tout ce que tu veux, mais la difficulté de la voie, est ce qu’elle est, et ce que la voie ait été cotée 6a+, 6b ou 6b+
Bon, vous me dites quand on en arrivera au Das Zein, que je retourne au bistrot.