Posté en tant qu’invité par alexis:
Un cone glacé ?
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Un cone glacé ?
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EXTRÊME, adj. et subst. masc.
I. Emploi adj.
A. [En parlant d’un inanimé] Qui est tout au bout.
[P. réf. à l’espace] Qui termine un espace. Extrême bout, frontière, horizon, limite, pointe. Charles, posé sur le bord extrême de la banquette, conduisait les deux bras écartés (FLAUB., Mme Bovary, t. 1, 1857, p. 62) :
… Nancy remplira le rôle incomparable que je vous remercie de m’avoir permis de marquer, le rôle d’extrême citadelle du monde latin sur les terres rhénanes.
BARRÈS, Mes cahiers, t. 9, 1911, p. 129.
[P. réf. au temps] Qui est tout au début ou tout à la fin d’une durée. Extrême fin, jeunesse, vieillesse :
Sous l’horizon, la grande lampe blanche, c’était le soleil, qui se traînait sans force, avant de faire au-dessus des eaux sa promenade lente et froide, commencée dès l’extrême matin…
LOTI, Pêcheur d’Islande, 1886, p. 179.
B. P. ext. et au fig.
[L’adj. est gén. antéposé]
a) Qui est au plus haut degré. Extrême bonté, importance. Synon. intense. Il y avait des femmes d’une extrême élégance, dans une lumière humide (PROUST, J. filles en fleurs, 1918, p. 898) :
Le propre de l’extrême culture est d’effacer de plus en plus les images au profit des idées.
TAINE, Philos. de l’art, t. 1, 1865, p. 151.
SYNT. Extrême agitation, attention, douceur, fatigue, malheur, pauvreté, plaisir, prudence, simplicité, urgence, violence.
Loc. À l’extrême rigueur*.
b) POL. Extrême droite, extrême gauche. Partie de la droite, de la gauche la plus éloignée du centre :
Partis extrêmes. Partis extrémistes (cf. MAUPASS., Bel-Ami, 1885, p. 235)
2. [L’adj. est gén. postposé]
a) Qui excède la mesure ordinaire. Cas, chaleur, climat extrême. (Quasi-)synon. démesuré, exagéré.
b) Qui est au-delà des autres, au point de comporter des risques, du danger. Parti, conséquence extrême. (Quasi-)synon. désespéré, risqué, hasardeux :
Remèdes extrêmes. ,Moyens énergiques et hasardeux que l’on n’emploie qu’après avoir essayé sans succès tous les autres`` (Ac. 1835-1932).
Proverbe. Aux maux extrêmes, les extrêmes remèdes (Ac. 1835-1932).
c) [En constr. d’attribut] Qui est éloigné de la modération. Être, devenir extrême. Cet homme est extrême en tout (Ac. 1835-1932). Synon. excessif :
Rem. Quoique extrême soit un superlatif, on admettait naguère son emploi comme positif précédé d’un adv. de quantité. Aussi, (le) plus extrême. Ce mal, contre lequel on prend des précautions si extrêmes (LATOUCHE, L’HÉRITIER, Lettres amans, 1821, p. 72).
II. Emploi subst. masc.
A. [Avec valeur de neutre] Limite ultime des choses. Il est à toute chose deux extrêmes, l’un d’imperfection, et l’autre d’épuisement (SENANCOUR, Rêveries, 1799, p. 219) :
Loc. adv. À l’extrême. Au plus haut point. Aller, porter à l’extrême. Ce travail [le travail agricole], dans les plaines où les conséquences du régime ont été poussées à l’extrême (VIDAL DE LA BL., Princ. géogr. hum., 1921, p. 82).
B. Gén. au plur. Les deux extrêmes.
Côté, point en état contraire. Le froid et le chaud sont les deux extrêmes (Ac. 1835-1932) :
Ces deux états opposés [la folie et l’idiotisme] constituent les deux extrêmes de la proportion normale que l’état de raison exige entre les impulsions objectives et les inspirations subjectives.
COMTE, Catéchisme positiviste, 1852, p. 81.
Au fig. La prodigalité et l’avarice sont les deux extrêmes (Ac. 1835-1932).
Locutions
Les extrêmes se touchent. [En parlant de pers. ou de concepts] Je supputais le juste milieu sans comprendre que les extrêmes se touchent, que qui se couche très tard rencontre qui se lève très tôt (GIDE, Prométhée, 1899, p. 308).
Passer (sauter) d’un extrême à un autre. Passer d’un état, d’une situation limite, souvent excessive, à un état, une situation contraire :
Tout à l’heure, R… m’a parlé de ce journal dont il a lu de grandes tranches dans le texte complet. Il y voit un livre dont il ne connaît pas d’équivalent parce qu’on y trouve tout l’homme passant d’un extrême à l’autre…
GREEN, Journal, 1950-54, p. 16.
En partic. Les extrêmes
a) LOG. ,Les deux termes du syllogisme, le grand et le petit, par opposition au moyen (Ac. 1932). b) MATH. Le premier et le dernier terme d'une proportion arithmétique. Dans toute proportion, le produit des extrêmes est égal au produit des moyens (HADAMARD, Géom. plane, 1898, p. 103). Rem. On rencontre ds la docum. a) Extrêmum, subst. masc., math. ,,Maximum ou minimum d'une quantité susceptible de varier
(Lar. encyclop.). Déterminer l’extrémum d’une intégrale (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 70). b) Extrémal, ale, aux, adj., math. Qui se rapporte à un extrêmum. Une méthode variationnelle, qui n’est autre que l’extension des propriétés extrémales bien connues des axes d’une quadrique. (BOURBAKI, Hist. math., 1960, p. 235). Emploi subst. fém. La notion de faisceau d’extrémales transversales à une même surface (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 59).
Prononc. et Orth. : []. Cf. é-1. Enq. //. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. A. Adj. 1. 1370-72 necessité extreme ou souveraine (N. ORESME, Ethiques, éd. A. D. Menut, IX, 3, p. 458, commentaire § 3); 2. 1563 « qui est situé le plus à l’extérieur, le plus éloigné » extrêmes parties (B. PALISSY, Recepte véritable, éd. A. France, p. 61). B. Subst. 1370-72 (N. ORESME, op. cit., VII, 19, p. 405, commentaire § 3). Empr. à l’adj. lat. extremus, superl. de exter « extérieur », signifiant « le plus à l’extérieur; le dernier, le pire, extrême » et aussi attesté comme subst. neutre sing. et pluriel. Fréq. abs. littér. : 5 844. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 9 398, b) 7 128; XXe s. : a) 6 749, b) 8 955.
Posté en tant qu’invité par alexis:
mieux vaut etre leche-cul que suspect !
Moi aussi, je suis tente par la definition de Caroline : dire que l’extreme, c’est a la limite de ce qui se fait en l’etat de l’art a un moment donné, ca me va (meme si Bubu me permettait de faire de l’extreme …). Exit donc l’escalade avec une ficelle, le KL a seulement 190 km/h, ou le ski de pente raide a seulement 45 degres. Etant betement moyen, je ne vais pas a l’extreme dans aucune direction que ce soit.
Posté en tant qu’invité par Lansb:
Moi non plus je risque de ne rien apporter à ce débat haut en couleurs, mais je l’ouvre quand même, c’est dans ma nature…
Selon moi, nombre des messages déjà postés permettent d’établir une définition qui me semble cohérente: sport extrême implique à mon avis un engagement personnel fort, une acceptation du fait qu’une défaillance personnelle ne sera pas pardonnée. La notion de danger chère à Fab me semble primordiale pour l’activité candidate au titre de « sport extrême ». La difficulté technique intrinsèque est importante, certes, mais pas ne doit pas forcément correspondre à ce que font les tous meilleurs pratiquants du moment: elle s’efface devant l’enjeu: la vie tout simplement. Techniquement, tout évolue, le matos, l’entraînement, le niveau des pratiquants… Il y a 4-5 ans, quand Bubu enchaînait du mixte « extrême » (désolé, j’ai pas trouvé mieux comme vocable) en M9, le monde entier s’extasiait ! Les limites physiques de l’homme avaient été atteintes avec deux pioches en main. Bilan des courses, avec l’avènement des piolets dragonless et l’explosion de la compet sur glace, des dizaines de mutants tapent des essais dans le M11+… Personne n’a jamais échappé, et personne n’échappera à l’évolution du matos (ambiance « jugement dernier » là). C’est pourquoi il me parait fondamental, comme l’a dit Bubu (pas celui-là, le notre cette fois, faut suivre) d’inscrire la notion « extrême » dans le temps. A ski, certains couloirs extrêmes des années 70 sont devenus presque classiques, et très fréquentés. Est-ce pour autant qu’un Saudan n’était qu’un randonneur comme les autres ? Non, pour la bonne et simple raison que tout défricheur, tout pionnier prend plus de risques, gère plus le mental qu’un répétiteur. Et que c’est lui qui répond à la question cruciale: est-ce possible ? Cependant, en escalade solo, en ski de pente raide, en alpinisme solo les risques d’une chute sont exactement les même pour tous. Ceci est cette fois une constante dans le temps: aucune évolution de matos (à moins d’avoir dans un cas comme dans l’autre un parachute dans le dos ou un siège éjectable intégré) ne semble altérer cet état de fait: c’est en ce sens que je pense on peut définir une activité extrême.
Posté en tant qu’invité par Bubu:
dire que l’extreme, c’est a la limite de ce qui se fait en l’etat
de l’art a un moment donné, ca me va
Bon ben dans ce cas je veux bien definir l’extreme comme cela, et je trouverai un autre terme pour ma definition (antiglande ?).
Par contre, ta definition suppose que l’etat de l’art soit connu, et par tout le monde, sinon tu risques de t’humilier en annoncant avoir fait du roller extreme a la Bastille alors que 2h avant Husson aura ridé le déversoir d’un barrage (c’est bien je genre de truc qu’il est capable de faire…), prrrrrrrrrr, quel nul !!!
Ma definition se voulais independante de l’humeur des « spectateurs », etant donné que c’est un peu ce qu’on veut fuir au depart quand on part faire un truc engagé en solo…
Pour répondre a Lansb, si c’est extreme des qu’on peut se tuer, et bien des millions de gars font de la voiture extreme sur les nationales et departementales, car t’as pas interet a faire des ecarts de 2m et il est necessaire de bien viser entre les camions a gauche et les platanes a droite… et ca pendant des centaines de km. Et en effet c’est extreme, ya des gars qui font le petit ecart fatal.
Posté en tant qu’invité par glop glop:
Vive lans !!!
Posté en tant qu’invité par julien:
selon ta difinition, prendre le volant sur la route est un sport tres extrême!!!
extreme ca serait plus excatement ou la moindre faute est sanctionnée par l’issue fatale…et encore! Extreme c’est surtout pour faire vendre, pour faire parler. le terme juste serait plutot Engagé.
Posté en tant qu’invité par Francois:
C’est bien ce que je dis. « extrême » est une invention de journaliste pour vendre leur camelote.
Posté en tant qu’invité par nicolas:
Dans un monde en evolution de plus en plus rapide, avec des reperes de moins en moins etablis (valeurs, religions, nations,…) et où la consommation prime sur la construction,
il est facile pour les medias de plaire a la majorite en leur donnant des jeux. A bas la reflexion, vive les sensations.
Le probleme de l’adrenaline, c’est l’accoutumance.
Tant pour le public, a la fois de plus en plus stresse dans sa vie quotidienne, et de plus en plus blase par le spectacle de la catastrophe vraie (guerre, attentats, tremblements de terre, maree noire,…) que simulee (films, X-Games, defis a la cons…),
que pour le pratiquant: apres avoir fait tel couloir, on va faire tel autre, ca suffit pas, on rencherit.
Alors l’extreme, comme le montre la definition, c’est aller a la limite du possible.
Pour la plupart des gens, l’instinct de conservation va leur faire decouvrir leur limites avant l’extreme d’une activite (permis par le matos et les conditions objectives, neige, corde, vague, …). Ils en seront quitte pour de bonnes frayeurs, quleques plaies et rarement plus.
D’autres, au sommet de l’art et accro du sentiment de toute puissance ressenti au moment de l’exploit, feront de l’extreme dans leur champ d’activite.
Qu’il est enivrant ce sentiment lorsque’on est sur le fil du rasoir, quand le materiel et les conditions s’annulent, il n’y a plus que l’homme qui fait la difference, rahhhhh lovely
En langue anglais, on appelle ceux qui jouent avec la mort des « daredevils ».
Par le jeu des media et des sponsors, ce sont les gladiateurs et les dompteurs de lions des temps modernes
Posté en tant qu’invité par max:
bonjour
je m’appelle maxime je suis fan de sport extreme en particulier le bmx que je pratique et malheureusement je doi reconnaitre que vous avez raison mais je trouve que les sensation procurer son genial. j’ador faire des video de bmx skate etc et je trouve que le spectacle (car je compar sa a un numero de cirque ou autre) est geniale cette capaciter a metriser les salto les flip etc je trouve ça magique.
je pense que c devenu trop commercial et que l’on pousse les sportifs extreme a en faire toujours plus ce qui est dangereu et qui condui a des accident dramatique j’aimerai savoir malgrer la façon pejorative don vous qualifier la pratique des sport extreme si lorsque vous regarder a la tele ou en vrai ce type de sport pratiquer par des pro franchemen est ce que vous n’etes pas en admiration devan ces exercice et surtout avec quel agiliter ils les exerce?? voila en tout cas je vous remerci d’avance pour votre reponse.
et je voulai ajouter que ce sport est avant tou une passion et une vocation et que la personne landa qui pratique doi le faire mais doi s’imposer des limites de façon a progresser lentemen mais surement sans danger ou etre encadrer par des pro voila merci de m’avoir lu jusqu’au bou et si je n’ai pas ete claire sur certain point n’hesiter pas a me contacter .
merci
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Arnaud Clère:
« bonjour je m’appelle maxime … »
Wa, 2 l’ortograf extrèm ! Je sé pa ton niv’haut en BMX sur Nintendo mès en post t’ai un ass
Posté en tant qu’invité par Arnaud Clère:
Extrême : Qui précède l’onction.
Posté en tant qu’invité par prof choron:
Extrème, c’est pas le nom d’une glace au chocolat, le goût de l’extrème ?
Posté en tant qu’invité par Cyril de l’Oisans:
« Extrème, c’est pas le nom d’une glace au chocolat, le goût de l’extrème ? »
Ouais, ouais, c’est ça !
Et quand t’as tout fini ta glace, il ne te reste que le goût de l’ex crème…
…glacée, of course.
Posté en tant qu’invité par David:
prof choron a écrit:
Extrème, c’est pas le nom d’une glace au chocolat, le goût de
l’extrème ?
Même que c’est à St Gervais …
Posté en tant qu’invité par yann:
salut à tous,
pour definir l’extreme,il me semble qu’il faut rapprocher cette notion d’une evolution chronologique:
parceque le matos evolue et que le risque encouru lors de la pratique change en fonction de celui ci : les cordages en chanvre/nos gentilles corde dynamiques à base de pétrole, le drap de Bonneval/ le gore tex, le bois, la pierre/ le kevlar, le tyngstène.
Parceque la manière d’utiliser le matos évolue: imaginez assurer un second avec un tour mort autours d’un moustif au lieu d’un 1/2 cab (avant l’invention de ce dernier)
parceque la vision de l’actvité évolue en permanence aux yeux de l’opinion public petit à petit: le parachutisme a été considéré comme extreme alors que maintenant…, je dirais aussi que le tours de france a eu sa part d’extreme en 1900 (« les forçats de la route ») alors que maintenant… (descendez le Tourmalet avec la velo de votre grand père et vous verez)
parceque la nouveauté, c’est l’inconnu, l’inconnu c’est la peur, la peur c’est le danger, le danger c’est l’extreme dans la tete du non initié… Voyez la tete de ma grand-mère quand je lui ai dit que j’allais faire le GLACIER du Vignemale… "quoi!!! un Glacier, on va t’amputer les orteils au retour, tu vas tomber dans une crevasse, voire te faire bouffer par un Yeti… bref,
Ensuite cette notion est à rapprocher de la notion de risque qu’il faut bien separer en deux: le risque objectif (ce qui risque reellement de m’arriver) et le risque subjectif ( ce que je pense, ou ce que les autres pensent qu’il va m’arriver…). On s’approche de ma définition d’extreme lorsque le risque objectif rejoint voir depasse le risque subjectif. Sans oublier cette idée que le risque est une notion perçue par un individu à un instant T et donc une notion personelle.
ex: je prend ma voiture je risque (risque subjectif, j’imagine) de taper un sanglier, un platane, un abruti bourré, de faire des tonneaux, bref d’etre severement bléssé voire grièvement mort…alors que dans la realité (risque objectif, le réel) je conduit régulièrement sans problème…
ex2: Moi Yann je pars faire l’Evrest sans ox… je risque (risque subjectif, j’imagine) de tomber dans une crevasse, de tomber d’epuisement, de couper ma corde avec mes crampons, de prendre des seracs sur la gueule, de prendre des rochers en pleine face, de me geler les pieds et les doigts… alors que dans la realité (risque objectif, le réel) je risque tomber dans une crevasse, de tomber d’epuisement, de couper ma corde avec mes crampons, de prendre des seracs sur la gueule, de prendre des rochers en pleine face, de me geler les pieds et les doigts ( COPIER COLLER)…
Enfin, l’ « Extreme » est une notion marketing et ridicule, mon gel de cheveux est extreme (fixation extreme) alors que pour gagner du temps je ferais mieux d’utiliser directement de la super glue, et ma gore tex est estampillée extrem wet weather (temps extremement humide) et bien après un test dans mon bain (100% d’humidité) j’en ressor très humide (pub mensongère).
Voila pour faire avancer le Chmilblick (mot super extreme à éppeler)
Yann
Posté en tant qu’invité par Alex:
pas mal de cliches dans ce que tu dis :
vas-y, fais 4000km en 21jours avec2jours de pause…tu verras si ce n’est pas extreme…
je dirais
aussi que le tours de france a eu sa part d’extreme en 1900
(« les forçats de la route ») alors que maintenant… (descendez
le Tourmalet avec la velo de votre grand père et vous verez)
ce ne sont pas les bonnes definitions…
risques objectifs = risques previsibles (chutes de pierre, coulee de neige, etc.)
risques subjectifs = risques dus a toi, a ta recherche d’itineraire, a ta technique defaillante, etc.
Ensuite cette notion est à rapprocher de la notion de risque
qu’il faut bien separer en deux: le risque objectif (ce qui
risque reellement de m’arriver) et le risque subjectif ( ce que
je pense, ou ce que les autres pensent qu’il va m’arriver…).
extreme c’est quand on fait croire aux gens que les risques objectifs sont nombreux, mais en fait c’est bien souvent une mascarade : les BMX sont a 10min de l’hopital le plus proche, les free-riders filmes sont accompagnes d’un helico…
On s’approche de ma définition d’extreme lorsque le risque
objectif rejoint voir depasse le risque subjectif. Sans oublier
cette idée que le risque est une notion perçue par un individu
à un instant T et donc une notion personelle.
risque objectif, voire meme statistiquement objectif !
ex: je prend ma voiture je risque (risque subjectif, j’imagine)
de taper un sanglier, un platane, un abruti bourré, de faire
des tonneaux, bref d’etre severement bléssé voire grièvement
mort…alors que dans la realité (risque objectif, le réel) je
conduit régulièrement sans problème…
extreme c’est juste quand on est « loin » (a definir) du citoyen lambda…question de marketing comme tu dis !
Enfin, l’ « Extreme » est une notion marketing et ridicule, mon
gel de cheveux est extreme (fixation extreme) alors que pour
gagner du temps je ferais mieux d’utiliser directement de la
super glue, et ma gore tex est estampillée extrem wet weather
(temps extremement humide) et bien après un test dans mon bain
(100% d’humidité) j’en ressor très humide (pub mensongère).
Posté en tant qu’invité par Francois:
Extrème, c’est un truc de journaliste pour raccoller le gogo et un truc de publicitaire pour faire du chiffre.
Posté en tant qu’invité par yann:
4000 bornes en 21 jours ça fait jamais que 190 km jours… avec un bon vélo en roulant 10 heures par jour en moyenne (moyenne horraire de 20 km/h), c’est jouable et loin d’etre extreme.
Ta def de rique obj et subjectif est recevable, accepte au moins le mienne.
Quand au fait que ma reflexion est pleine de cliché, ok, je suis d’accord mais est tu pret à lire un post de 500 pages… la c’est extreme
Yann
Posté en tant qu’invité par arnaud:
sommairement il y a donc deux écoles majeures :
1 : l’extreme est lié au risques
2 :l’extrème est la limite accessible
avec des sous groupes , physique mental technique etc
avec des sous sous groupes : accessibles a l’humain à ce jour , a moi ; a ma belle soeur , à 20 ans , a 60 etc
qui a encore le courage de lire tous les arguments quand c’est si long ? moi pas …