Calculez et partagez votre bilan carbone

non je parle pas de pétrole, mais de charbon

Je veux montrer que selon la source utilisée pour produire l’énergie, et selon les appareils utilisés pour transformer l’énergie, l’émission de CO2 est très variable.

Donc je ne comprends pas l’affirmation « La seule baisse de production de CO2 dont nous soyons capable provient de la baisse d’utilisation de l’énergie(***) … Tout autre discours est mensonger. »

Effectivement, désolé !

il arrive à circuler dans Grenoble ?
Elle est en catégorie « collection » ?
Niveau particules fines, ça donne quoi ?

ah j’ai merdé. Je voulais dire charbon.

ça sent la frite
Accessoirement, pour les voitures c’est interdit.

Les données de JMJ me semblent plus pertinentes. En effet, il faut mieux faire une comparaison en terme d’énergie primaire et pas sur une production élec. Je doute que sur les centrales à charbon les turbines soient aussi performantes que sur une centrale gaz ou biomasse.

Quand à l’affirmation, tu te places sous l’angle de la possibilité de substituer notre consommation d’hydrocarbure par de l’électricité. C’est pour ça que tu ne comprends pas :wink:

Dans la (haute) vallée de l’Arve le réseau TC est plutôt pauvre si tu n’es pas un scolaire, mais il y a un service qui s’appelle Montenbus, ce sont des sortes de taxis van passagers qui font les navettes. Ne l’ayant jamais utilisé aucune idée de comment ça fonctionne, mais tu peux te renseigner auprès des communes du coin (Passy, Sallanches, Servoz, St Gervais…).

non non, ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi de l’énergie produite à partir de sources peu émettrices de CO2 ne permettrait pas de réduire les émission par rapport à la même quantité d’énergie produite à partir de sources très émettrices de CO2.

Si on essaie de sortir des énergies fossiles, c’est bien pour réduire les émissions de CO2 non ?

Y’a le léman express quand même

L’huile n’est pas une source peu émettrice. Ca reste bruler des chaines carbonées.

Il s’en branle totalement de ce type de considération. C’est juste gratuit ou presque dans son cas.

c’est quoi cette histoire d’huile ?

Chez moi, le réseau scolaire est utilisable par tout un chacun s’il y a de la place.

Ah oui, pratique pour aller au Biot ou à Seytroux. :sweat:
(Puis c’est pas l’Arve)

C’est évident pour moi. Mais je viens de trouver ceci que je ne comprends pas et qui contredit tellement de concepts que je connais en apparence du moins qu’il faut que je lise plus posément : https://www.carbone4.com/files/Publication_Transport_routier_biodiesels_seconde_generation.pdf

Hum. J’avoue, que sur ce que tu développes plus haut, je n’ai pas compris pourquoi pourquoi tu n’intègrerais pas le CO2 capté pour la prod de l’huile en négatif.

C’est pas super bien présenté et sans doute peu précis, mais ce qui apparait dans le lien donné par @oma résume la chose.

Il faudrait aussi considérer pour créer ces « biocarburants » (joli nom de green washing) l’utilisation de grandes surfaces de terres agricoles pour produire du colza (sans doute à grand renfort d’engrais chimiques, pesticides, arrosages, tracteurs etc…), en ayant bien tout supprimé les arbres, arbustes, haies…
Ces derniers eux aussi absorbaient du CO2
On marche quand même sur la tête !

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Je suis tout à fait d’accord, je ne dis pas que c’est une solution à grande échelle. Néanmoins si on s’en tient à un modèle de cycle du carbone simple, sans effets de bord, la combustion de carburants d’origine végétale n’est pas équivalent à brûler des hydrocarbures.

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qu’est-ce tu veux aller dans ces trous…

Pourquoi ? Parcequ’@Oma parle initialement d’huile de récupération pour sa voiture à zéro émission. L’absorbtion au titre de la culture, ok, mais normalement, elle a déjà été comptée lors du premier usage ! Pourquoi voulez-vous la compter deux fois ?

Et puis, faut peut-être pas prendre les gens pour des demeurés non plus (désolé @Oma, mais là, la malhonnêteté intellectuelle est anormale) :

  1. pour argumenter sur l’huile végétale de récupération comme carburant, une étude pour un carburant hyper technique et optimisé est donnée. Quand je vois les photos que mon collègue roulant à l’huile de récupération s’amuse à faire lors de ses pleins à l’huile de frites, on est loin d’un carburant optimisé.

  2. Ce graphique qui pourrait faire penser à une étude est une pub du fabricant ! Sans même entrer dans le détail, il est compté dans ce graphique la différence de quantité de pollution émise au poids de carburant … Pas du tout aux kilomètres que permet de faire ce carburant. De l’aveu même des utilisateur vantant pourtant le produit : « Il y a cependant une surconsommation de 6,6 % de carburant, soit 2 l/100 km. Cette différence est due au pouvoir calorifique de l’huile de colza, inférieur à celui du gazole », pointe Roland Vogler. ». Loin d’être anodin. Le graphique ne présent pas les choses honnêtement attendu de la finalité du produit : faire des kilomètres avec.

  3. Et là, on ne parle pas à l’origine d’un carburant optimisé, mais d’huile de récupération. Même filtré, on est à un PCI encore bien inférieur (de l’ordre du triple si j’en juge les études de consommation sur sa voiture que mon collègue fait avec sa 205 : 20% de consommation supplémentaire sur des trajets identiques, conducteur identique, voiture identique, etc …)

Remettez-le dans le sens que vous voulez. A un moment donné, il faut arrêter d’être hypocrite : rouler à l’huile de récupération réduit ses dépenses mais pas son bilan carbone (ou vraiment anecdotiquement).

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Tout ça relève de conventions de calcul qu’on se donne… de l’Economie en somme.

Si elle n’est pas récupérée pour être brulée dans le moteur d’un véhicule, on en fait quoi de cette huile ?
Je pose la question en toute honnêteté, je ne mange pas frit chez moi, donc j’imagine que le particulier amène sa vieille huile à la déchetterie, mais après, elle devient quoi ?