Posté en tant qu’invité par Pierol:
C’est le bon sens même!
Comme le suggère strider plus bas, liberté n’est pas synonyme d’individualisme.
Pierre
fredi a écrit:
les équipements et déséquipements ont été pour beaucoup des
initiatives quasi-individuelles sur « nos » montagnes communes.
Cela n’est à mon avis plus possible.
strider a écrit
bonne idée, il faudrait créer un organisme de concertation
entre grimpeurs, indépendant des fédés, un sorte de syndic (à
l’image du SNGM) avec des réprésentants et des réunions…le
tout aurait un impact en terme de droit et de législation.
le but est que tout équipement/déséquipement soit une décision
concertée voire même voté par les réprésentants en cas de
litiges importants.
le déséquipement sauvage ne semble pas quelque chose de légale,
pas plus que le rééquipement d’une voie dite TRAD avec
équipements amovibles.Le seul moyen de se tirer de ce guêpier idéologique et de ses
histoires infernales c’est de créer un organisme à concertation
:
-il rendrait officellement illégal tout
déséquipement/rééquipement sans concertation = la montagne est
un bien commun, du moins c’est le cas des voies (pas forcément
le territoire qui peut être privé)
-il soumettrait à concertation et autorisation/refus toute
proposition de déséquipement/rééquipement en examinant les
dossiers au cas par cas et en cas de litiges graves, il
procéderait à un vote…
Ce serait un organisme qui ne ferait que ça, sorte de
commission chargé de ces problèmes et rien d’autre.Bref nous devons démocratiser la pratique et cesser
l’individualisme car le fond de la question il est là…