En fait, on tourne autour d’une notion discutée lors de l’établissement de l’échelle d’exposition. A savoir :
la cotation max dans laquelle le grimpeur utilisera l’équipement à des fin de protection (et non de progression). Cette cotation ne peut être supérieure à la cotation obligatoire.
Avec de la nuance ici où il s’agit bien d’évaluer là où on est sensé grimper et pas la où on est sensé ne pas chuter. Il s’agit donc plutôt de « la cotation libre dans laquelle le grimpeur prétendant à l’itinéraire est considérer grimper ».
Sauf qu’ajouter, en plus des cotations existantes, ces cotations rendrait le système déjà complexe encore plus lourd.
Donc oui, je pense également que la cotation globale pour un itinéraire d’escalade est ce qui représente le mieux « la cotation dans laquelle le grimpeur est considéré grimper sans point d’aide. »