Bonjour,
Cette formule ridiculise cette personne. Qu’une femme sur deux soit victime ne signifie aucunement qu’un homme sur deux ou trois soit agresseur. Il est probable que beaucoup d’agresseurs n’ont pas de relations suivies, et agressent plusieurs dizaines de femmes chaque année, plusieurs centaines au cours de leur vie. Et dans ce cas, on retombe à une proportion plus plausible de moins de 1 homme sur cent est un agresseur, ce qui permet enfin de réunir toutes les personnes non agresseurs, hommes ou femmes, pour lutter contre les rares agresseurs au lieu de monter bêtement toutes les femmes contre la moitié des hommes.
Bernard