Vélos dans les trains, pas si facile !

Le second degré me semblait aussi très évident. Surtout venant de Nipseudolaflemmedercriretonpseudo

(En meme temps @Nipseudoniavatarna, c’est bien fait pour toi, t’avais qu’a pas faire ta danseuse à changer de pseudo. Au moins, avec Mollotof, on savait que y’avait a peu près que du second degré. Et je me délecte du fait que quelqu’un ait pris ta vanne de vieux con réac au premier degré, ca a du te faire plaisir ca :stuck_out_tongue_closed_eyes:)

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507h, mais c’est énorme ça !!!

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16h45 je l’ai fait plusieurs fois sans soucis. 17h45, jamais essayé.

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Pas mal, pas mal…mais même sur les petites lignes du Jura (Bienne-Porrentruy) on connait parfois ça - bon OK c’était le jeudi de l’Ascension passée

Mais là aussi tout s’est bien passé dans un bon esprit d’entraide. Bref les CFF ont aussi du chemin à faire.

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Ben oui, mais il y a des fois où le second degré n’est pas accepté. Pas drôle

bah c’est vide, là.
Mes trains du vendredi soir à Gnève, tu retires les vélos et tu mets 45 personnes à la place, c’est assez représentatif.

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Désolé, @BertrandCH, j’ai pensé exactement la même chose …

Oui, enfin, j’ai vécu plus collector encore (sur la ligne Valence-Avignon en été), mais là, ce matin, c’était les 45 personnes ET les 21 vélos. Un paquet de vélos étaient verticaux tenus par leur propriétaire. En face à face emboîtés pour tenir moins de place. Je soupçonne que le train d’avant avait été annulé, en ce moment, on a des horaires assez exotiques sur Chambéry-Grenoble (et des contrôles depuis lundi, ils ont point de honte).

Enfin, demain, c’est grève. Ce sera réglé.

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Ah mon idée il y a deux problématiques différentes :

  • les trains du quotidien pour lesquels la seule voie possible si ça se développe franchement est de faire comme les pays du nord avec des grands garages à vélo (je crois que le plus grand garage au Pays-Bas doit avoir quelque choses comme 10.000 places…) Ca implique d’avoir un vélo dédié qu’on laisse à sa gare de destination quotidienne.
  • les trains du week-end où on pourrait se contenter d’améliorer la situation actuelle

A la décharge de la SNCF ( et de ses voisines, CFF, SNCB) l’équation économique ne doit pas être très simple à traiter.

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c’est bien ce qu’on lui reproche.
De mettre des impératifs de rentabilité sur ce qui était un service public…

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Et qui c’est qui paye les déficits du service public ??
Comme disait l’autre
Ça coûte rien, c’est l’état qui paye

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Pas de souci ! A contrario ça me rassure de voir qu’on est jamais en rade à quai, même si le voyage est pénible…à Paques dernier je me suis quand-même fait interdire de monter par un controleur sur un Chambéry-Genève (et de visu y’avait pas 40 vélos dedans…).

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Quels déficits des services publics ? Sans même parler des autres services que les transports en commun (parce que là tu t’expose à une déculottée de l’espace) … comparons donc l’alternative égoisto-individualo-privée constituée par la voiture pour les contempteurs du service public de transport en commun …

Points de comparaison :

  • coûts du stationnement dans l’espace public : déficitaires à hauteur de 22 M€ (déficitaire, ça veut recettes - bénéfices) selon le rapport de l’ADETEC sur le coût du stationnement automobile pour les finances publiques en 2023.
  • coûts d’entretiens/développement du réseau routier hors autoroute non répercutés sur les automobilistes,
  • coûts des secours, de la médicalisation et de la perte de productivité liée au accidents routiers …
  • les coûts (notamment de la mortalité) liés à la pollution du transport individuel sur la population ne sont même pas évalués pour la France ! Le seul rapport est pour l’Europe en 2017 (EPHA), avec un coût estimé de 70 milliard d’euros annuels pour la voiture individuelle juste sur neuf pays Allemagne, Pologne, Espagne, Autriche, Hongrie, Slovénie, Bulgarie, Roumaine et Estonie. Avec comme point la prédominance du diesel comme générateur de coûts : et la France est le premier parc diesel (et on ne parle pas ici du transport routier et du secteur professionnel …)
  • et j’en oublie !

Et face à ces dépenses ne sont donc pas comptées côté voiture, par contre pour le train ou le bus, on compte tout pour dire que le chien à la rage et qu’il faut l’abattre. Ça c’est pour les coûts directs : allons chercher les sous où les déficits sont les plus importants, c’est tout de même juste le bon sens : taxons les km faits par les automobilistes à hauteur de toutes leurs dépenses.

Et à ça, tu n’ajoute pas côté recettes les dépenses des postes ci-dessus qui ne sont pas faites car grâce à l’existence du transport en commun, il y a un report modal et donc des frais en moins qu’il faudrait faire supporter à la collectivité si on était au tout tout voiture !

Déficitaire le service public, c’est une blague ? Sans service public, les coûts seraient tellement supérieurs. Qu’on ne paye pas assez d’impôts, c’est une vérité absolue par contre. Si c’est l’idée que tu souhaitais exprimer, je suis d’accord avec toi.

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Pour qu’un service (public ou non) soit déficitaire, il suffit de ne pas le financer correctement et il est automatiquement déficitaire.

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Eh beh, ça c’est une démonstration … de haute volée
Heureux d’apprendre que les services publics ne sont pas déficitaires …
On va pouvoir réduire impôts et autres taxes et rembourser vite fait les 3 M€ de dette

C’est ce qui se fait déjà fait depuis 30 ans, compensé par de la dette majorée des intérêts à rembourser.

Il faudrait peut être changer de logiciel à moins que tu fasses partie des rentiers qui profitent du crime.

Mais revenons à nos trains. Des rames avec des places pour les vélos, c’est pas plus bête que l’objectif de 30 000 bornes de recharges pour Tesla à min 50 000€, et pas plus coûteux pour le contribuable.

Dans le genre ubuesque, une borne a été installée à Anzat le Luguet, je vous laisse chercher où c’est et trouver la fréquence d’utilisation :wink:

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Bien le bonjour cher JLM

Il est obligatoire, sur les plans départementaux et régionaux d’implantation, d’avoir toujours une borne de recharge à moins de 10 km, pour rassurer les futurs utilisateurs qui ne se décident pas à avoir de voiture électrique parce qu’ils ont peur de tomber en panne avec la batterie vide. En pratique, ceux qui sont passés à un véhicule électrique rechargent dans plus de 90% des cas à domicile ou au travail. Ça peut paraitre bête d’installer ces bornes qui seront très peu utilisées, mais on ne trouve pas comment décider les français à acheter de préférence des voitures électriques. Il faudrait que les mentalités évoluent, que les personnes aient en priorité une voiturette électrique correspondant bien au trajet domicile travail qu’ils font seul dans la voiture, et qu’il y ait quelques véhicules plus grands à disposition en autopartage pour les autres besoins. Avec la voiturette, la consommation est beaucoup plus faible, la charge suffit pour la journée, la recharge se fait facilement pendant la nuit sur une prise ordinaire, la crainte de la panne s’estompe.

Bernard

Ce que rapporte la voiture en taxes , qu’il faudra bien reporter ailleurs si nous rentrons en décroissance, et surtout… Le service rendu qui ne pourra pas être remplacé par du transport en commun, sauf a un coût impossible a soutenir par la société. Le vélo dans le train est une solution isolée mais pas généralisable sur des gros flux. Ou une tarification a la place, histoire de ne pas faire supporter le prix du transport des vélos par les usagers des trains sur qui serait reporté la baisse de rentabilité.
Alors, Comme pour les marins : un vélo dans chaque port :wink:… Et de grand parkings relais qu’il ne doit pas être bien compliqué a construire et a financer.

Ben moi par exemple, n’habitant pas dans une maison avec la voiture garée devant, je ne peux pas recharger chez moi pendant la nuit.
Et pour mon boulot actuel, impossible de recharger au sur le lieu de travail.

Un petit groupe électrogène et l’affaire est réglée…

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