Pour sûr, toutes les voies des bassins de Trient, de Saleinaz, du Tour, d’Argentière, de la Mer de glace (incluant Leschaux, Talèfre, Géant et Vallée blanche), du Triolet et de Frébouze où les altitudes des sommets sont supérieures à 2000m, je ne suis pas sûr que le granit descende jusque dans la vallée partout…
Pour le reste, il faut regarder sur .Massif du Mont-Blanc…
Apparemment on pourrait alors rajouter tout le versant Suisse et le versant italien à l’E du Mont Blanc…
Pour l’instant, ce dont botopo a besoin pour faire des modifications automatiques, ce sont des listes d’itinéraires comme il y en a sur un document point de passage (sommet, site, etc) ou sur un document région.
Pour l’instant rien de compliqué:
Je passe la procédure clean sur des ensembles itinéraires filtrés par région. C’est la procédure utilisée par rabot pour corriger les fautes d’orthographe et de mise en page sur les itinéraires récents.
Pour l’instant, j’ai fait une passe sur: UK, Népal, Inde, Australie, Autriche, Chili, Pérou, Argentine, Réunion, Chine.
C’est de la maintenance, lorsque je voudrais faire des choses plus complexes je posterai.
J’ai ajouté des corrections pour le nb de rappel en lettre (trois rappels >> 3 rappels).
Mais idéalement il faudrait transformer tous les nombres écrits en lettres en nombres écrits en chiffres (sauf « un », mais on a le droit d’écrire « 1 piton » dans une phrase), sauf quand ça fait partie d’un nom propre.
Je ne suis pas d’accord, on rentre pleinement ici dans le domaine des choix stylistiques que j’évoquais plus haut. Tiens, ce n’était pas calculé, mais dans la réponse que je te faisais sur l’autre fil j’ai écris :
Eh oui, j’ai écris « les deux exemples », et plus loin « l’âge de 3 ans ». Et si c’était à le refaire, je le referai à l’identique. Pourquoi ? Parce que la première phrase est rédigée, et que les « deux exemples » n’ont pas un caractère de nombre (il n’y a pas l’exemple portant le chiffre 1 et l’exemple partant le chiffre 2). Au contraire de l’âge, il y a bien l’année 1 d’un individu, l’année 2, etc.
Là encore, un peu de discernement s’impose pour ne pas faire n’importe quoi.
Je m’oppose donc fermement à remplacer systématiquement les chiffres et les nombres écrits en toutes lettres.
Je suis 100% d’accord avec @lutin.de.la.foret, il ne faut pas utiliser le bot pour ce type de changement. Et si il y a des cas pertinents, ca doit être discuté au cas par cas, et ne surtout pas faire un changement aussi systématique.
Euh, on parle de description d’un itinéraire, pas de litterature.
Il y a d’autres choix stylistiques qui sont imposés : phrases impersonnelkes, le plus possible àl’impératif, voire pas de phrase du tout (champ matos).
Pour le nb de rappels, étant donné qu’on ne va pas écrire « douze rapoels » mais 12 rappels, par cohérence on écrit 2 rapoels ou 1 rappel.
C’est encore un truc qui facilite la lecture quand on ne maitrise paq la kangue du document.
Comme le rappelle Bubu, cela fait 1 décennie que les choix stylistiques principaux ont été réalisés :
Impératif.
Phares impersonnelles.
Court, simple, aller à l’essentiel (sous-entendu ce n’est pas de la littérature).
Précision.
Un bon topo n’est ni du Proust, ni de la littérature. Un bon topo s’apprécie au taquet dans la 20ème longueur, 100m sous le sommet, alors que le soleil se couche.
Je n’ai pas d’avis sur les robots et les chiffres. Mais, le style est une règle ancienne pour les topos c2c.
+1 pour moi aussi sur l’aspect systématique, même si dans une grande majorité des cas cela améliore la lecture, parfois, cela la ralenti et seul un locuteur est capable de saisir la nuance.
Ok pour cela par un robot.
Même si à la main je remplace tous les « deux » par 2 (sauf nom propre).
Le cas le plus courant est "Pour la descente, deux possibilités : ".
Je remplace par une liste à puce ou 2 sous-titres. Et quand je laisse « X possibilités », je met un chiffre.
Même si ce serait moche dans un texte normal, pour un topo qui est plein de cotations, de tableau de longueurs, etc, on n’est plus dans une logique de texte normal mais dans une logique de langage propre au topo, avec des codes (cotations) et du jargon spécifique (spit, goujon, rappel, niche, …). Donc un « 2 » en plus ne change pas grand chose à toutes ces entorses à un texte littéraire, par contre c’est plus pratique pour lire rapidement.