pas mal effectivement, mais je suis pas sûr que la mienne fasse ça et surtout je suis toujours en mode éco pour ne la recharger que 1x par mois (sauf quand je suis de sortie)
Une montre à quoi ça sert en randonnée ?
je pense qu’elles font toutes ça. J’ai un machin basique décathlon/coros (qui va très bien).
Moi.
Ça fait des années que je me demande pourquoi on pas pas mis ça plus tôt dans les montres…
Alors le BT n’est pas activé et tu n’es pas connecté à ton telephone (sur lequel le BT n’est sans doute pas activé).
Perso, ça me fait aussi appareil photo et je peux contacter des personnes + écouter de la musique avec un smartphone.
Je trouve le prix des montres dérisoire, et en + il faut l’avoir au poignet, pas toujours agréable.
Donc une montre remplacer un ordinateur qui passe dans la poche … Mouai
Vraiment un gadget trop cher a mes yeux ( même a 100 euros ).
Pour résumer les 168msg, chacun trouve midi à son poignet ou dans sa poche !
N’exagérons pas non plus. Tout a bien évidement un impact. Mais une montre pesant 100g, changé tous les 5 ans, n’est pas non plus le summum des émissions carbones. A fortiori pour le pratiquant de sport de montagne, grand habitué des points mazouts, ou des grosses batteries sur un véhicule électrique. Dans les autres postes d’émissions importants, on peut citer le chauffage, l’eau chaude sanitaire, son logement, son alimentation etc… Bien évidement, le nième petit bidule électronique n’améliore pas les choses mais ce n’est pas au sommet de la liste.
Sans aller jusqu’à dire que la montre me permet de réduire mes émissions carbones, le petit bidule qu’est mon téléphone me facilite grandement la mobilité douce (itinéraire, horaire et paiement …). La montre me permet également de belles virées au départ de chez moi sans me prendre la tête à m’orienter : ça aide tout de même bien pour des virées de 250 km à vélo. Quelque part, ça m’a aidé à changer ma pratique et à la décarboner, avec 6000 km au compteur vélo pour cette année (en grande partie sans voiture), idem pour les 500 km de CAP et les 50 km de natation avec quasiment toujours un accès en courant ou en vélo. Ca fait 400 h d’activité sportive peu carboné.
Par ailleurs, Strava a une rubrique « déplacement » permettant d’évaluer à la grosse louche la quantité de carbone non émis en utilisant son vélo ou la CAP pour se déplacer. C’est sympa. Avec une montre connectée, on peut donc également facilement faire un concours de bite sur la quantité de carbone non émis.
Très très impressionnant
Tout est question de hiérarchie. Tu le mets comme élément indispensable, c’est ton choix. Je le mets comme élément superflu.
Pour finir, ce n’est le bilan carbone le plus désastreux dans l’histoire, mais sûrement l’épuisement des ressources.
Il y a surtout selon moi un argument utilitaire ou non. Ça a déjà été discuté plus haut, malgré la débauche de petits moyens technologiques, la plupart des gens n’en ont pas la nécessité. Certains se payant ce petit luxe doivent alors lui trouver une utilité ensuite. Je compare ça aux frigos : il y a les classiques, tout cons, avec une porte qui sert de porte. Et il y en a qui comptent les calories que tu as mis dedans, que tu sors, qui te font les courses en ligne, etc… Ça peut être rigolo. Utile certainement pas, et encore moins nécessaire. la vraie révolution pour les frigos se sera quand ils seront vraiment silencieux, sans ce petit bruit de fond qu’ils font.
Ce serait quoi la révolution pour les montres ?
moi perso en mon nom, je suis clairement pas CAP.
… ça doit sûrement vouloir dire un truc dans le monde des super heros.
bien je leur reproche de devoir tourner le poignet et de ne pas avoir d’informations permanentes.
il y a de plus en plus d’appareils qui se connectent dessus, notamment les lunettes, je pense que ça sera encore mieux quand on aura plus d’affichage interactif dans les lunettes avec réalité augmentée, je pense qu’on en est qu’aux balbuciements, c’est pourquoi j’ai attendu comme pour les smarpthones avant de commencer à m’y intéréresser et que je n’achète pas le haut de gamme dès le début car il y a de la marge de progression.
La fenix 8 déçoit car la nouveauté n’est que le micro et hp, pas de lte faute de concurrence
Tout est surtout une question de calcul.
Le numérique c’est peu ou prou moins de 5% des émissions carbones , et plutôt 2-3% en France (cf Shift). A comparer avec les émissions transport, bâtiment, alimentation représentant peu ou prou plus de 50% de nos émissions.
Là, tu bottes très mal en touche. Le bidule fait 100 g. Même multiplier par 10 millions, ça ne fait que 1 000 tonnes. A comparer des 300 kg d’une batterie standard de la voiture électrique de monsieur tous le monde, ou même des 1,3 tonnes de la voiture moyenne française sous-entendu utilisé par le randonneur lambda.
Objet de grande consommation dont on peut se passer (hormis pour les personnes ayant besoin de stocker des médicaments au froid).
J’explique probablement assez mal. Mais une montre peut également permettre de comptabiliser les émissions carbones qu’on a choisit de ne pas faire en décidant de se déplacer à vélo ou en CAP. On peut toujours imaginer un effet rebond. Mais j’ai tout de même le sentiment que 0,150 kg de CO2 en moins par km « vertueux » ça impacte fort.
Alors qu’une montre connectée, … si, aussi.
Comme Superman ?
Oui bien évidement.
Mais entre un frigo de base pesant 20-50 kg et une montre pesant 100g, il n’est pas certains que le plus gros impact soit du coté de la montre. A fortiori si on prend en compte la consommation énergétique. Le petit frigo, c’est 200 kWh/an. Une montre connectée c’est 0,1-0,5 kWh/an, arrondissons à 1 kWh/an avec le cloud.
Il faut toujours se poser la question de l’impact du bidule x, y ou z. Mais il faut également hiérarchiser et avoir une idée des ordres de grandeurs.
La montre ne sert pas à grand chose pour randonner, ou plutôt elle n’a rien d’indispensable comme 99% des bidules. Mais la disqualifier sous-couvert d’écologie, alors que 99% des randonneurs mazoutent dans des tanks de 1-2 tonnes, se chauffent, prennent des douches à l’eau chaude, ont un frigo, un congélateur, un ordinateur … ce n’est pas très cohérent.
C’est pas simple cette histoire, il faudrait parler du MIPS (Material input per unit of service — Wikipédia).
Un smartphone de 150g pèse en fait 183 kg*…si on on prend en compte les extractions, en fait plus on miniaturise plus cela nécessite des ressources…
*D’après le livre de Guillaume Pitron (l’enfer numérique - sous titre « voyage au bout d’un like ») , pas encore lu mais j’avais bien aimé « La guerre de métaux rares ».
Je suis totalement d’accord avec toi. Tout comme le frigo pèse plus lourd que sur la balance.
Mais à moins de pédaler pour faire tourner son frigo, la consommation énergétique est sans appel.
Si cela ne suffit pas, on peut rappeler que le véhicule thermique moyen du randonneur français, c’est 150 g de CO2 au km.
1 montre consomme 1 kWh/an. Avec 1 kWh électrique français émettant 50 g de CO2, la consommation électrique annuelle de la montre équivaut à 300m de déplacement mazouté du randonneur moyen.
Le calcul est faux car je ne prends pas en compte les émission de construction de la montre. Mais ça ne va pas non plus inverser les ordres de grandeurs.
Si la montre & Strava conduisent à ne pas mazouter 10, 100, soyons fous 1 000 km par an, il est quasi certains que c’est positif.
Il y a 10 000 raisons de ne pas avoir de montre connectée. Mais l’impact n’est assurément pas dans le top 10 pour le randonneur français.
Oui mais quitte à choisir je préfère balancer ma montre (https://www.youtube.com/watch?v=-cWhvkieRG4) et garder mon frigo et ma voiture pour aller chercher les bières…mais comme j’ai le choix je garde ma montre, ma voiture et mon frigo !
Vis à vis de l’impact environnemental, la révolution pour les frigos sera surtout ce qu’on met dedans (changement des pratiques alimentaires pour diminuer la viande), et bien sûr l’efficacité énergétique couplée à la décarbonation de la production qui les alimentent.
De ce point de vue, je rejoins @DT1, la montre, c’est comme le bouton veille sur la télé ou débrancher son chargeur de téléphone quand on ne le charge pas… c’est vraiment l’épaisseur du trait.
Absolument pas d’accord ! alors certes ça évite, par exemple, les buts à répétition dans la recherche du passage de la crête des charmilles et du pas de la biche ( ) fastoche avec la trace, les traces qui ont bien tout optimisé montée comme descente, aujourd’hui tu consommes, hier tu cherchais (après une grosse chute pour le plaisir dément qui allait avec, pas en y allant après un cr et donc une trace) avec plus ou moins de succès de saison en saison (c’est un ex entre beaucoup) Peut-être bien pour la base c2c, beaucoup moins pour ces espaces qui supportent mal la surfréquentation et même une dimension de l’activité disparaît, mais je dois être déjà très « vieux jeu » sûrement
ah voilà c’est ça : tu n’es qu’un corps machine, le cerveau disparaît pour être plus light