Ah ok, je viens de comprendre, au niveau effort, clairement c’est bien, en terme de gestuelle, ça doit sacrément être déstabilisant, à voir ce qu’en pense @Lulu002.
Moi j’avais aussi imaginé reprendre les efforts sur le baudrier…en « attachant » la prothèse dessus. Mais bon on va déjà voir ce que la version de sputnik apporte et si ça transmet des efforts suffisants.
Trucs et astuces du sport à un bras (escalade, vélo..)
Yess c’est vraiment l’idée recherchée quasi-partout !
Du coup je poursuis les photos pour que tu puisses affiner le cahier des charges
Tes idées semblent très approppriées, je cherche les petites bêtes pour que tu ne te lances pas dans des réalisations pour rien. En prenant toujours en compte le fameux apport / inconvénients, il me vient :
- la rapidité d’installation, si c’est genre davantage qu’une inspiration et une expiration (je ne respire pas vite mais quand même c’est court !), je passe mon tour pour l’instant. Peut-être que ça vaudra le coup si je pratique des postures plus « lentement », mais pour l’instant la notion d’enchaînement me parle. Donc faudrait que ce soit quasi aussi efficace que de glisser la sangle derrière mon épaule, ce que je fais dans toutes ces postures…
- la « gêne » générée par la pièce fixe dans le reste de la pratique ? Je pense à des postures où le tube vient en appui contre la colonne notamment, vu que je commence à jouer avec la flexion du coude pour retrouver le lien entre « les 2 mains ». J’imagine que ça demande illustration, alors croquis de la posture trouvés sur le net, et pratique d’hier :
et personne n’a dit où mettre le machard pour le yoga
Mais oui il est impressionnant ! A se demander à quoi il travaillait avant
(Je plaisante pour te signifier encore une fois à quelle fois je te suis infinement reconnaissante @Thierry_A, il m’est précieux de bénéficier de tes compétences associées à tes moyens et ta générosité !)
Moi je ne visualise pas trop, je « comprends » l’idée en terme de forces (vers le bas, donc), mais je ne peux pas du tout identifier la pratique du truc ? Ou juste dans des cas très spécifiques genre pour se pendre justement…?
Instinctivement je pense un manque de polyvalence ? Et un truc lourd pour être solide, donc trop inconfortable par rapport à la valeur ajoutée ?
Intéressée par des éclairages et essais si l’idée est pertinente en tout cas
Mais oui mais oui !!!
Je t’attends dans mes calanques où je monte dans tes z’Alpes ?!
Ce n’est jamais pour rien, en recherche, j’ai l’habitude de dire qu’un Non résultat est un résultat ! Ben oui, quand tu sais que la route est sans issue, tu ne t’y engages plus
Le Yoga Hook est hyper rapide à réaliser peu d’effort donc impression 3D et découpe, ça peut se faire dans la semaine (les machines travaillent toute seules !
La troisième photo m’interpelle, le fait que le tube touche le dos :
- on peut cintrer mais gaffe à la flexion (flambage quand tu vas revenir sur un appui de type poirier)
- en peaufinant la forme/l’orientation du yoga hook (rouge), cela te permet éventuellement de décaler la prise en main pour éviter l’interférence avec ton dos.
Je pense que sputnik ce sera fini cette semaine, (pas impossible que je descende dans le sud fin de semaine/WE, donc un détour par chez toi est possible -> MP)
Lulu, t’es pas allergique à l’arachide ?
En effet, cependant le panneau « sans issue » placé 2 kilomètres avant le bout de la route peut être plus confortable que de le découvrir face à l’impasse ?
A moins que de s’y engager n’ait permis de découvrir des chemins de traverse inimaginables…?
(J’ai un peu le sentiment d’abuser de tes possibles alors faudra VRAIMENT dire stop avant que ça ne te saoule)
C’est-à-dire ?
Et que signifie le « flambage » ?
Je commence juste à jouer à « lier les postures » (à plier le coude et attraper le tube dans la main) donc faut que j’expérimente les différentes configs pour t’en raconter davantage.
Par contre l’idée de l’outil pour attraper le pied à une main, du « hook » quoi, me semble être LE truc manquant maintenant que j’ai tout le reste en effet (l’appui symétrique solide sur le bras, c’est juste la base et c’est juste extra !!!).
Avec ce « hook », je serais dans une reproduction symétrique de quasi toutes les postures que j’aime pratiquer.
Me manquera juste la fluidité du pliage du coude. C’est quand on le perd qu’on réalise à quel point c’est confort de pouvoir déplier, plier, bloquer son coude à l’angle voulu sans se servir de l’autre main !
Genre pour faire des pompes, c’est mort (enfin ça c’est un peu comme la vaisselle, je suis ok pour le laisser aux autres ).
Et pour quelques postures où tu ne te places pas d’entrée dans la position finale, et où c’est la flexion des bras par rapport à l’angle du corps qui fait le job, je ne vois pas d’aide possible de la part de la « méca-physique ».
La miss y arrive mais au vu de ses vidés elle a un coude, et un moignon bien moins douloureux que le mien en compression (ou une grande résistance à la douleur).
Allez fille, bosse tes gainages et arrête de te plaindre

ça part de lààààààààààààààààà !!!
Éclairages instructifs sur l’un des petits bonheurs de mon nouveau quotidien.
https://www.philomag.com/articles/petit-eloge-des-lacets
J’ai découvert une forme d’attachement à ces noeuds éphémères.
Souvent, malgré le handicap, je recherche l’autonomie à tout prix. Mais ici, j’aime la relation de dépendance à l’autre dans laquelle mon empêchement me replace.
Peut-être ont-ils vu juste, j’accepte ici le symbole d’une forme d’interdependance. Que je ne crois pas uniquement intergénérationnelle. Juste interhumanité, et même internature !!
Les gens, merci pour ce souci que vous avez pour moi, en me faisant les lacets.
Pourquoi les lacets ?
Parce que tout le monde mets des chaussures, du petit bambin au vieillard
et que ça aussi peut être une symbolique gestuelle forte (se baisser pour aider c’est non pas se rabaisser mais grandir ensemble)
»Certain » sur ce forum, dirait que c’est se donner bonne conscience pour éviter de faire d’autres choses …
Parce que, après les difficultés pour m’attacher les cheveux (résolues grâce à cette formidable invention), mais avant celles pour finir les pots de yaourts (résolues grâce à mes cuisses ou mes orteils selon l’humeur)…
L’une de mes 1ères difficultés d’unibrassiste a été ce fameux laçage de lacets !
Bon c’était l’été, j’étais en tongs, mais la blouse d’hôpital, ça se lace pour se fermer… Rapidement j’ai appris à le faire avec la bouche, ce nœud.
Compétence par ailleurs fort utile au quotidien pour nouer les bavoirs dans le cou de Boudchou (bien qu’un peu anxiogène de mal doser le serrage en tirant avec la bouche, et donc de risquer de l’étrangler, mais il est solide et je surveille qu’il ne devienne pas trop bleu).
Le nouage à une main était donc validé, mais sur les chaussures c’est une autre affaire : pour obtenir le serrage adéquat, il faut tenir en même temps que tu serres… De fait, je sous-traite aux copains qui sont déjà bien patients par ailleurs, et nous partageons ainsi de jolis moments d’interdépendance.
Voui, cette notion évoquée du « souci humain pour autrui » n’est pas forcément perceptible si souvent dans la vie, alors c’est chouette quand elle peut s’exprimer !
D’ailleurs aujourd’hui à la boulang’ en sortant du yoga, y avait une file de 35 personnes, j’avais la flemme. J’ai glissé que j’allais peut-être jouer ma carte de priorité handicap, et tout le monde m’a priée de le faire, puis m’a souri malgré mon passe-file : dingue ! ça change de la seule fois où j’avais osé proposé de passer devant et qu’on m’avait rétorqué « vous croyez que vous êtes la seule à être handicapée » ?..
Il s’agit donc de s’encorder avec les autres, ne crois-tu pas ?
Qu’importe les grincheux, plus précieux sont les généreux !
Très belle photo ! Deux grands gaillards à tes pieds, ça fait rêver !
Et bravo à eux pour cet instant qui continue à te faire du bien. Bravo à Thierry aussi pour son ingeniosité qui t’ouvre de nouveaux horizons au yoga et en escalade.
Pourquoi les lacets ? Pour l’enfant, c’est en quelque sorte un des premiers lacets serrés sur la route vers l’autonomie.
D’autres lacets sont à négocier ou à prendre à toute vitesse et qui nécessitent de l’énergie et une aide bienveillante et solide.
Pour un enfant, le lacet des chaussures, c’est donc juste la marche d’approche… la falaise est à ses pieds. L’article se contente de ce premier lacet sans évoquer le reste, c’est dommage.
Bonjour,
Est-ce qu’il n’existe pas pour femme des chaussures à la fois à lacets et à fermeture éclair comme on en trouve pour homme ?
Ainsi, tu fais faire le laçage une fois au serrage qui te convient, et après tu peux les enlever ou les mettre sans toucher au laçage, uniquement avec la fermeture éclair, ce qui est possible à une seule main ?
Bernard