Franchement, le sac à dos, c’est pour la rando ou l’alpinisme.
Moi j’applique les principes de Schnockeloch à peine modifiés :
Quand c’est facile, pas besoin de sac.
Quand c’est très difficile, surtout pas de sac !
Et je pousse la Lapalissade jusqu’au bout : il suffit de ne rien prendre pour que le sac soit inutile. Et toc !
Sinon plus sérieusement, je fonctionne avec une vieille pochette banane (ouais, je sais, c’était à la mode dans les années quatre-vingts… comme Toto… et Lulu 002 n’était pas née) dans laquelle on pouvait rentrer 2l d’eau et les barres céréales.
Et pour les voies extrêmes, j’ai un modèle de sac particulièrement bien étudié, le Karin’s more, avec ABS (Avec Basket System), ESP (Escalade Slide Power) qui reporte l’effort sur le pied opposé à celui qui patine dans la semoule, lunettes infra violettes réfléchissantes (très utiles quand on comprend rien dans le crux), aide à la progression par rétropédalage tractopulsé et une astucieuse double barre supérieure antiroulis qui permet au sac de prendre appui dans les traversées délicates.