Strategie sac à dos longue voie

Le simond cliff 20 (le plus light) ou le millet pro lighter 18+10 (le millet est plus confort) et c’est le second qui porte! ( ou le plus fort si niveau hétérogène et voie facile pour le plus fort).

Pour les grandes voies courtes jai une gourde (camelback) avec un mouskif que j’accroche au baudrier + un ptit sac de compression pour la veste/polaire.

Après il y a plein de paramètres qui peuvent faire changer d’option.

Et ca permet de ne pas faire tomber un truc du sac en sortant la gourde !!

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Il y a des sacs spécifiques (sacs de hissage) qui résistent très bien.

Ta maladresse ne regarde que toi :wink:

La pipette ça goutte, et quand tu commences à être mal dans une dalle elle a même tendance à goutter précisément sur les semblant de prise que tu voudrais utiliser.

Of course, mais c’est important à préciser (vaut mieux éviter avec le simond, quoi ;-))

lequel ? le cliff ? passque je crois bien qu’ils ont un sac de hissage aussi…

non, ça c’est tes problèmes de prostate. :smiley: Ma pipette ne goutte absolument pas.

Il n’y a pas de règle.
Quand c’est facile, 1 sac par personne.
Quand c’est difficile, un sac sur le dos du second. Je garde juste mes chaussures accrochées à l’arrière du baudrier.
Quand c’est très difficile et raide, sac de hissage.

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Concernant le poids du sac, il suffit de ne pas prendre grand chose pour qu’il ne pèse rien. C’est une lapalissade mais c’est également la ba BA.

Ah yes scuse c’était implicite pour moi, mais tu as surement raison !

Bref, ça ne s’ajuste qu’avec la pratique et les choix individuels adaptés aux circonstances ces choses-là (mais suis toujours épatée (moqueuse ?) de ceux qui arrivent à avoir des sacs de 40L pour une voie de 4-5 longueurs : chacun ses choix et ses ressentis en terme de choses « indispensables » !)

Franchement, le sac à dos, c’est pour la rando ou l’alpinisme.

Moi j’applique les principes de Schnockeloch à peine modifiés :
Quand c’est facile, pas besoin de sac.
Quand c’est très difficile, surtout pas de sac !

Et je pousse la Lapalissade jusqu’au bout : il suffit de ne rien prendre pour que le sac soit inutile. Et toc !

Sinon plus sérieusement, je fonctionne avec une vieille pochette banane (ouais, je sais, c’était à la mode dans les années quatre-vingts… comme Toto… et Lulu 002 n’était pas née) dans laquelle on pouvait rentrer 2l d’eau et les barres céréales.

Et pour les voies extrêmes, j’ai un modèle de sac particulièrement bien étudié, le Karin’s more, avec ABS (Avec Basket System), ESP (Escalade Slide Power) qui reporte l’effort sur le pied opposé à celui qui patine dans la semoule, lunettes infra violettes réfléchissantes (très utiles quand on comprend rien dans le crux), aide à la progression par rétropédalage tractopulsé et une astucieuse double barre supérieure antiroulis qui permet au sac de prendre appui dans les traversées délicates.

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Heu… quand ta journée de grande voie consiste comme c’est souvent le cas à passer une petite dizaine d’heures en montagne et n’a donc rien à envier à une rando c’est clair que tu prends un sac.
Bon, j’ai un peu le raisonnement inverse. Quand je vois ce que je prends en rando et ce que je prends en escalade je me dis quand même que je pourrais prendre moins de choses en rando. D’un autre côté je vais rarement faire une grande voie en altitude quand les conditions sont moyennes alors que c’est plus courant en rando.

Ah mais c’est que t’es un peu gonflé toi, aussi : ton modèle est conçu sur-mesure, impossible de trouver l’même au magasin !
A moins que tu n’partages :smirk: ?

C’est bon ça la banane, si j’en trouve une assortie à mes futurs collants fluos, ça m’fera économiser du squif pour accrocher le nécessaire à frileuse ![quote=« J2LH, post:31, topic:255029 »]
c’est clair que tu prends un sac
[/quote]
J’adore.
Une autre option est que chacun choisisse d’en prendre un ou non, peut-être ? (c’est le but du questionnement, me semble-t-il)
(Bon après, j’en connais qui font de l’alpinisme au Cap Canaille, et de la rando dans du V, alors c’est juste histoire de définition et de ressentis, quoi !)

Et si je dis « tu vas faire 10h de rando en montagne, c’est clair que tu prends un sac » est-ce que tu as la même réaction ? Si tu considères que oui, tu vas prendre un sac, je ne vois pas bien pourquoi tu prendrais un sac pour faire de la rando et pas pour faire de l’escalade. Ce n’est évidemment pas le sac qui est important mais ce qu’il contient. Pourquoi n’aurait-on pas besoin en escalade du minimum qu’il faut en rando ?

J’sais pô, moi j’ai surtout besoin de détente et de plaisir, et quand l’absence de smiley d’@herve13 ne m’empêchait pas de lire l’ironie du propos, tes questions et ton ton dans lequel je lis tant de raison et de sérieux me tendent (tu n’y es pour rien hin, il ne tient qu’à moi de m’détendre !).

Alors j’vous laisse vider (ou remplir !) vos sacs et vous prie de m’excuser pour le dérangement !

Désolé Lulu, j’abuse pas des smileys, trop lourd, m’faudrait un… sac à dos. Je pense que J2LH avait bien compris que je blaguais, un peu comme quand on disait que plus de dix dégaines, c’est de l’alpinisme.
Pour la question de départ, je pense que chacun doit trouver la solution qui lui convient le mieux.
Personnellement, j’aime pas avoir les épaules entravées par un sac. Donc j’ai toujours essayé de partir léger, d’être rapide, et de me contenter de ma banane… quand c’est possible évidemment. Le sac de hissage j’ai réservé ça à l’artif et certaines longueurs en haute montagne. Ca m’a d’ailleurs permis, suite à une fausse manoeuvre, de brillament perdre un sac en face nord du Pic sans nom et de me retrouver quasi à poil et en chaussons au pied des 400m de mixte de sortie. Cool quand il commence à neiger :confused:

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En fait pas vraiment.

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En escalade en tête, le bon sac est celui qui reste à la maison ou sur le dos du second. Grimper en tête avec un sac à dos, c’est comme vouloir faire de la course à pied avec un sac : c’est bien pour ceux qui marchent, sous-entendu ceux qui ne courent pas mais font du trail (marche à pied en montagne avec un dossard).

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Non seulement le trail ce n’est pas de la marche mais celui qui part grimper en altitude sans sac à dos est probablement sous-équipé

la solution c’est pas le sac c’est de se bouger le cul dans les longueurs :stuck_out_tongue:

Tu sais bien que J2 ne comprends rien :smirk:

Bon sinon y’a ma solution: comme je suis un infâme peureux qui a le vertige, en GV j’ai toujours une bonne marge par rapport à la couenne et c’est certainement pas le sac qui va me gêner (par contre la tremblotte dans les jambes dès qu’il y a un semblant de vide…)

C’est quoi en altitude ? Je n’ai jamais écrit qu’il ne fallait pas prendre de sac en Alpinisme.