Stage UCPA Argentière

Pour la raquette (qui me servira à travailler le cardio), j’ai justement dit que je pouvais faire une ou deux ou même trois (mais ça commence à faire) randos balisée en station pour atteindre le 1000D+ car avec une seule c’est compliqué de faire beaucoup de D+ sans sortir des sentiers « classiques ».
Encore une fois je ne souhaite aucunement faire de l’alpi hivernal. J’ai simplement parlé de raquette car c’est le seul moyen que je vois aujourd’hui pour entrainer mon cardio avant cet été…
Je connais les cotations et je ne me vois pas aller en haute montagne en hiver avec tout le matos sans avoir y être jamais aller en été.
J’ai parlé de rando alpine car @ptetbenquoui m’a donné l’idée de faire des randos alpine comme entrainement.
Mon objectif reste l’alpi mais pour ça il faut s’entrainer et apprivoiser le monde de la montagne, et donc faire de la raquette l’hiver (sur des sentiers classique et balisé encore une fois :wink: ), et également faire des randos alpine (en été :wink: ) pour entrer doucement dans le monde de l’alpi.

Yes merci, j’ai déjà commencé à regarder les topoguides sur C2C et effectivement même la voie normale en T5 je ne la ferai pas seul.

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Je crois surtout qu’il va falloir qu’on comprenne et qu’on s’habitue à une évolution des pratiques ou plutôt de l’aspiration réelle des nouveaux venus dans nos pratiques montagnesques.
« Avant » (je me pose en vieux con), la pratique de l’alpinisme était l’évolution naturelle de la randonnée sous toutes ses formes, avec logiquement l’appel du plus haut (donc de la neige et de la glace), du plus dur, du plus technique. La question de savoir si ça allait plaire ou pas ne se posait même pas
Pour ce qui me concerne, ça a commencé dès mon plus jeune âge dans les montagnes et alpages des 7 Laux, au cul des vaches de mes grands parents. A ce titre, la pratique de la randonnée dans toutes les conditions et tous les terrains dès le plus jeune âge offre une approche de l’alpinisme avec un acquis fondamental : « un pied alpin » comme on dit qui sera un atout majeur en alpinisme. Il fut une époque où il fallait être Accompagnateur en montagne pour passer le probatoire Aspirant-Guide, et plus loin encore, il fallait d’abord travailler comme porteur (des guides et des refuges) pour pouvoir devenir guide.
Comme j’ai pu le lire au début de ce fil, l’envie (légitime) de faire de l’alpinisme ne passe pas forcément par la rando, mais après quelques vidéos sur YouTube pour apprendre à s’encorder, on fait un stage de 3 jours « pour voir si ça plait ».
Par analogie, au début des mur d’escalade en France, dans les années 90’, il n’y avait que des grimpeurs et alpinistes qui venaient se mettre à l’abri en hiver. A partir du mois d’avril la salle était vide ! Aujourd’hui les grimpeurs de l’année pour la plus grande majorité n’iront jamais grimper en extérieur et s’inscriront à la rentrée suivante dans un club de badminton ou dans une salle de gym.

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En lien avec ce que j’exprime plus haut, cette question n’a aucun sens. C’est méconnaitre les difficultés auxquelles ont peut être confronté (souvent de nuit) lors des approches ou des retours d’itinéraires d’alpinisme, sans parler des problèmes d’orientation et surtout de « lecture du terrain » hors sentier qui fait appel à l’expérience et au vécu in-situe et pas dans sur un mur d’escalade.

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Exactement je pense que comme dit @ptetbenquoui, faire de la rando alpi peut m’aider à progresser vers l’alpi et pouvoir bien travailler mes appuis. Je ne souhaite simplement par bruler les étapes et commencer petit à petit. C’est justement pour ça que j’ai choisi le stage 3j pour d’abord voir si l’alpi me convient.
Concernant les raquettes, je pense en faire ce weekend (ça me permettra aussi d’aller contempler la montagne) et courir également la semaine pour travailler un peu le cardio et éviter d’être à bout de souffle.

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Je ne comprends pas très bien votre première phrase… Nous ne sommes pas tous né en montagne… Commencer par de la rando alpine pour se faire un début de pied alpin peut aider pour ensuite faire de l’alpinisme. Je ne dis pas de passer d’un extreme à l’autre en 1 semaine.
Et puis tant qu’on a pas essayé de cramponner dans la neige, avec le froid, le vent ect, on ne peut pas savoir si ça nous plaira. On peut très bien aimer les randos alpine mais ne pas forcément apprécier la pratique de l’alpinisme pur (marche sur glacier ect). En tout cas merci pour votre réponse constructive.

Les bénévoles ont deux gros problèmes :

  1. La législation et le traitement systématiquement juridique de tout accident, avec mise en cause automatique de l’encadrant et surtout du président du club.
  2. Le comportement des adhérents qui n’acceptent aucune contrainte et en veulent pour leur argent. S’il fait mauvais temps ou si c’est dangereux et que le bénévole annule la sortie ou modifie l’itinéraire, il en prend plein la gueule, y compris si le car a du retard ou si un participant a des ampoules aux pieds !
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Le rêve d’habiter à la montagne.

Bien sûr qu’on peut venir de Normandie et devenir guide en haute montagne. Mais j’ai simplement dit qu’on n’est pas tous né en montagne dans le sens où il n’est pas évident pour tout le monde que l’alpinisme nous plaît (tout comme il ne plaît pas à certains qui habite en montagne). Alors qu’un montagnard de naissance aura baigné dans le bain dès le plus jeune âge et donc il saura naturellement si ça lui plaît (alors qu’un non montagnard devra lui se poser la question).

Tu as un site internet ?

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Ce n’est pas tout à fait comme ça que ça marche.
On fait de la rando et arrive naturellement une rando un peu plus en altitude ou un peu plus engagée du fait de la pente ou des conditions de regel et on se résout à sortir les crampons (que l’on a au fond du sac) et qui ne sont pas utile habituellement pour cette course. C’est parfois comme ça qu’on chausse les crabes pour la première fois.
Inversement, cet hiver, avec une neige souvent « carrelage », le PGHM a déploré de (trop) nombreux accidents en ski de randos, dont certains mortels de pratiquants qui n’ont pas été capables de prendre la décision au bon moment de passer des skis aux crampons (crampons qui n’étaient peut-être même pas dans le sac…).

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J’ai 24 ans, j’habite à Lyon depuis 3 ans et donc 3 ans que je vais en montagne car c’est devenu une passion (le ski, la rando en été, le bivouac en été).
J’ai regardé pour aller vivre en montagne du côté de Chambéry par exemple car ça reste une ville ou je peux trouver du travail (comptable). C’est un rêve que j’espère réaliser un jour.

C’est vrai que apprendre à lire le terrain est primordial, notamment pour savoir quand faire demi tour quand ça devient trop dangereux ou savoir changer d’équipement ect. Ca s’apprend mais je pense que c’est assez long et qu’il faut être passioné.

Ok je comprends pas de soucis :slight_smile:

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