Il ne s’agit peut-être pas d’une aiguille aimantée mais il s’agit bien d’une boussole magnétique, c’est bien basé sur le champ magnétique terrestre. Ca existe, ou pas, sur les téléphone et GPS. Peut être que le terme « boussole » est un abus de langage mais qui ne change rien à mon explication.
S'égarer en montagne, un passage obligé ?
J’ai eu le cas inverse où ma famille s’est inquiété de ne pas pouvoir me joindre alors que j’avais un portable qui était tombé en panne sans que je m’en rende compte. Il était allumé, fonctionnait normalement de mon point de vue et pourtant ne captait plus rien. Si j’étais parti sans téléphone personne ne se serait inquiété. Avant les portables personne ne s’inquiétait de ne pas pouvoir joindre un randonneur parti plusieurs jours.
Tant de doigts écrasés par des marteaux.
Faut il les interdire?
Les doigts ? Les marteaux ? Les 2 ?
Juste leur associations?
Imap
est-ce une erreur ?
c’est - ou ça peut être un choix tout à fait conscient
Le monde et celui de la montagne n’a pas commencé avec l’apparition du gsm
Ca c’était avant, plus maintenant …
Après il n’y a pas que les portables, les témoins aussi, une fois après être parti plusieurs jour en raquette en haute montagne, les gendarmes m’attendaient devant la voiture, ils savaient exactement quand j’étais parti, que j’étais en raquette etc… et ils s’étaient un peu inquiété… (la j’ai totalement halluciné car on avait du les prévenir que j’arrivai à la voiture… )
Assumer ses responsabilités cela voudrait dire quoi dans le contexte de l’histoire qui est à l’origine de ce fil de discussion et supposer que le téléphone est été publié volontairement ?
Relis ce que j’ai écrit.
L’idée étant que si on embarque un portable autant lui donner une fonction supplémentaire avec une application telle qu’Iphigenie ou autre
( et à condition d’apprendre à s’en servir comme nous le suggère Paulo Grobel dans son article )
Waouh !!! là je pense avoir compris beaucoup de choses en orientation
Il est vrai que c’était bien mieux quand on se trimballait avec un pigeonnier pour communiquer
Oui, mais c’était avant.
Le randonneur pyrénéen dont il est question a forcément commencé en montagne quand les portables n’existaient pas; il n’a sans doute pas le réflexe « je prends mon portable bien chargé » quand il va crapahuter. En plus il connaît très bien le coin, il a sans doute pensé revenir assez tôt et ne pas en avoir besoin (ça m’est déjà arrivé d’oublier le mien ou de m’apercevoir très vite qu’il n’avait plus de batterie).
Je suis sûr qu’il est le premier à penser que oui, ça aurait été mieux de l’avoir pris; sauf que…
Il en sera quitte pour se faire enguirlander par sa femme qui lui dira qu’à son âge, faudrait penser à mettre la pédale douce (et lui répondre « Tu rigoles ? Avec le nombre de trucs que je n’ai toujours pas fait !! »)
Et dans 8 jours, il sera reparti.
Mais avec son portable.
Et dans un coin (y’en a tellement) où le portable ne passe pas…
C’est pas grave que le portable ne passe pas. Le principe c’est d’avoir une carte, avec un point sur la carte qui permet de savoir où l’on est sans se tromper, lorsqu’une triangulation n’est pas possible (brouillard, nuit, pas de sommet en vue ect…).
Tu parles « d’une adéquation matériel/marcheur/projet », la seule différence étant le matériel tu écris donc que sans portable on n’a pas le matériel adapté. D’où ma question : comment on faisait autrefois ?
La triangulation est une méthode parmi d’autre pour s’orienter. Ce n’est pas parce qu’on ne peut pas faire de triangulation qu’on ne peut pas se situer.
Je me relis
Et/ou hein bon.
Je te répondais sur la phrase suivante.
Tu considères donc que sans portable on n’a plus l’équipement adapté l’environnement rencontré. D’où ma question : comment faisait-on avant ?
Là ok, ta phrase indiquait que les MULs prônent uniquement la rando solitaire et hors-sentier, ce qui n’est pas juste même si ça fait effectivement partie des récits et listes de matériel sur randonner léger, il y a aussi beaucoup d’autres pratiques relatées, rando en famille, en groupe, en vélo, etc…
Un truc qui serait rigolo, ce serait de faire le même graphique avec les participants à ce fil de discussion (je m’y inclus, hein). Aurait-on un graphique similaire ?
Bon, là aussi il y a des risques de se perdre, de tourner en rond, de sauter des barres en suivant sa boussole, etc. Différence notoire : le ridicule ne tue pas.
Et/ou. Nuance.
« Et » : je prend un portable si j’ai la possibilité d’en avoir un à disposition ( à partir de 2019 en ce qui me concerne ) avec une liste matériel «A» et les dispositions d’organisation « B » que j’estime le plus en adéquation avec le projet du parcours que je souhaites effectué .
« Ou » : je ne prend pas un portable car je n’ai pas la possibilité d’en avoir un ( avant 2019 en ce qui me concerne ) à disposition et je prend une liste matériel «C» et les dispositions d’organisation « D » que j’estime le plus en adéquation avec le même projet du parcours que je souhaites effectué.
Si je reviens de ma rando avec des pépins sur le parcours c’est que j’ai bien préparé mon projet .
Dans le cas contraire …
Plus rien à ajouter sur ce sujet .
Le graphique comptabilisé les personnes décédés suite à un accident .
Ben non, ce n’est pas parce que tu as un portable que tu dois changer quoi que ce soit au reste de ton équipement ou de tes dispositions. Du moins tant qu’on reste dans le domaine de la sécurité et/ou de l’orientation. Bien évidemment si tu as un portable tu peux faire le choix de ne pas prendre d’appareil photo mais là on est hors du domaine de la sécurité.
C’est comme l’ARVA, jamais tu ne dois te permettre d’en faire plus parce que tu as du matériel de secours en mode "je me permet de descendre ce couloir parce que j’ai un ARVA, j’hésiterais plus si je n’étais pas équipé. Tant qu’on parle de sécurité il en est de même pour le portable.
Ca, pas forcément…
et
Ma phrase ne comprenait pas le mot uniquement.
La grande majorité des récits de randonnée solitaire sont le fait d’homme jeune .
PS : coté organisation et préparation c’est de la haute volée les Muls