S'égarer en montagne, un passage obligé ?

:scream: Réveil de mes vieux souvenirs sous l’eau où en effet il me paraissait impossible de m’orienter :smile:

1 Like

Pléonasme
Non je plaisante; Mais je suis épaté du nombre de gens qui ne savent pas lire une carte IGN 25 (hommes et femmes)

à mon avis c’est une bonne solution lorsqu’on n’a pas envie de jouer les héros, sinon, trouvé un abri et attendre !! le brouillard ne va pas rester là des jours

1 Like

Séduisante théorie, mais quand ton torrent bascule par-dessus une barre rocheuse qui ceinture le versant, la solution est… en haut, et pas en bas.
La mésaventure (relatée plus haut) arrivée à ce pyrénéen expérimenté le montre: une parfaite connaissance du terrain local n’empêche pas de se perdre complètement quand il y a un brouillard à couper au couteau.

3 Likes

surtout que ce n’est pas évident de sortir sa carte IGN sous l’eau et tiré des azimut avec des visi ne dépassant pas quelques petits mètres des fois :face_with_hand_over_mouth:

1 Like

Samsung J3

Ton GPS possède une boussole magnétique ? Sinon attention, la boussole d’un GPS se base sur tes déplacements et en milieu chaotique où tu changes très fréquemment de direction (par exemple en forêt) elle ne sera pas très efficace, elle peut facilement perdre le nord.

Il est intéressant d’en faire l’expérience réelle avec une bonne formation. J’ai eu l’occasion de traverser des plateaux enneigés mais sans danger et avec un brouillard tel qu’on ne voyait pas un arbre à 5m. On constate qu’en se fiant à des techniques simples on y arrive très bien. L’important est de rester sur la même stratégie, ne pas commencer par exemple par avancer à l’azimut puis se mettre à suivre des traces sans savoir où elles mênent.

1 Like

Il semble avoir eu un excellent comportement, ce qui a eu pour seule conséquence de prolonger son séjour en montagne mais sans prendre de risques inutiles.

:sweat_smile:
ceci explique peut-être la prudence et la différence d’accidents hommes/femmes :thinking:

1 Like

Plus de détails ici. Je n’avais jamais fait le rapprochement (alors que mon métier d’origine - traducteur - est en quelque sorte d’opérer des rapprochements). Merci pour cette info plus qu’intéressante !

1 Like

Ça alors !! Merci à @J2LH pour cette info, le genre que j’adore (par exemple au printemps dernier j’ai découvert que top, toupet, topographie avaient la même origine). C’est fascinant de voir les aller-retours des mots entre deux pays. Faire les rapprochements tout seul n’est en effet pas toujours évident.

1 Like

Keskifopalire…

Sinon, ça se travaille, ça s’apprend.
Mais j’avoue que certain.e.s ont plus de facilité que d’autres pour s’orienter, tout comme d’autres peuvent avoir plus de facilité que les premiers pour grimper/faire de la gym/la cuisine…

Normalement, tous ceux qui ont peur des ondes et disent les ressentir devraient pouvoir se passer de boussole.

Ah merde, j’ai encore trollé …

5 Likes

Si ce genre de truc t’intéresse, il y a deux bouquins à lire absolument:
Les mots français venus d’ailleurs et Honni soit qui mal y pense
Les deux de Henriette Walter.

5 Likes

Plus de la même autrice, l’aventure des langues en occident

1 Like

Dame Henriette, une valeur sure ! Et tous ceux qui prétendent que nous sommes envahis par l’anglaise langue devraient lire Honni soit qui mal y pense !

2 Likes

Oui, c’est impressionnant le nombre de mots anglais qui viennent du français (il me semble que c’est de l’ordre de 15.000 mots) et plus précisément du normand et c’est normal (Guillaume le Conquérant, tout ça…). On a une histoire commune bien plus importante qu’on se l’imagine. Un type comme Richard Coeur-de-Lion par exemple a passé bien plus de temps en France qu’en Angleterre et la langue qu’il parlait c’était le français.

Le François de l’époque il parlait

1 Like

Achète toi un GPS et arrête de jouer à l’aventurier

je me demande bien d’ou sort cette belle théorie (à par de la bouche de vos formateurs qui cherchaient à vous conditionner)

Le mien à bientôt 10 ans et sa fonction compas fonctionne très bien à l’arrêt et même hors réception satellites.
Je suppose que cette théorie (qui doit bien arranger les purs et durs de la topo papier) date des premières applications de téléphone portable qui fonctionnaient par triangulation avec les antennes relais.
D’ailleurs, si quasiment tous les professionnels de la montagne que je croise ont adopté ces nouveaux systèmes il doit bien y avoir une bonne raison (ne serait-ce que la facilitée) par contre, je n’ai aucun doute sur le fait qu’ils savent se servir d’une carte et d’une boussole ne serait-ce que pour intervenir dans des formations