Posté en tant qu’invité par Nicolas Ecarnot:
Je double réponds, en citant les conditions de l’accident, tel que j’ai posé le problème tout au début de la discussion.
Rud : Toutes vos manip sont fortes intéressantes mais vous oubliez le point essentiel: la victime est inconsciente.
Nico : Il se cogne fortement et pend désormais inconscient dans son baudrier.
Donc non, je n’ai rien oublié.
En secours le focus premier sera toujours l’état de la victime
Et pour connaître l’état de la victime alors qu’elle se trouve 8 dégaines plus haut, comment fait-on ?
ducon3d a écrit:
tant de messages avant de rappeller ce point si important, le
checkup de la victime.
Même réponse : comment connaître son état si on ne trouve pas à sa proximité ?
1- analyse de la situtation d’ou l’on est (quelques secondes) +
chrono ( montre avec chrono ou sinon on la note dans un sms ou
sur son chéquier bref nimporte quoi)
2-les moyens de communications : si on peu téléphoner
Nico : Vous vous trouvez seuls avec votre compagnon de cordée dans un coin paumé, le réseau téléphonique ne passe pas.
Je me répète :
Nico : Le jour où le problème se produit et que vous disposez d’un élément facilitant, grand bien vous fasse.
au passage s’assurer uniquement sur le point qui a pris le
plomb avec le bléssé pendu dessus c’est pas une très bonne
idée, ca devrais tenir mais bon 1 seul point c’est pas top mais
là si on a pas de bol du tout il peu être branlant après une
grosse gamelle et puis les emmerdes arrivent par plusieurs donc
Ca c’est clair que c’est le point qui me fait le plus frémir.
Déjà qu’en montagne, taper un rappel sur un seul point je n’aime pas, mais alors à deux, c’est très douteux.
Voir le chapitre « je renforce mon point de rappel avec des friends psychologiques ».
Autre solution : je grimpe en permanence avec une trousse à spit et je me fais traiter de spéléologue :o)