Retenue géante aux Arcs 2000

Posté en tant qu’invité par JOJO:

combien d’helicos combien d’avions utilise t’il pour faire ces émitions qu’il vienne pas nous dire qu il faut faire attention au réchaufement Encore dans son dernier reportage il se promenait en ulm non seulement il polluait mais en plus il etait mort de troulle ,merci nico pour tes conseils!!! que de la pub

Posté en tant qu’invité par COUSIN HUB:

Est ce que des associations de protections de l’environement ont commencé à plancher sur d’éventuels recours contentieux ?

Posté en tant qu’invité par PATRICK73:

J’ai du mal m’exprimé ou tu n’as pas compris ce que j’ai voulu dire, peu importe.En deux mots, ce qui a été fait en terme d’usine à ski est un désastre ecologique mais à permis un fort développement économique, dont d’ailleurs les locaux ne sont pas maitre, puisque les grandes sociétés immobilères, exploitations des remontées brassent un tel frics que seul des hoding à capituax risques et fonds de pensions les tiennent!
A ce jours tous les compteurs sont aux rouges, cette activité ski de masse est derrière nous, donc il va y avoir des changements dans la gestions et l’environnement économiques, et qui va se trouver sur le carreau? les petits, les locaux, comme toujours depuis que le salariat est salariat!
C’est pourquoi je pense (mais a mon avis c’est déjà tard) il faut imaginer une mixité de l’activté economique en retissant un tissu d’activité industriels, artisanal,de creation et d’innovation afin que les gens puissent continuer à vivre dans leurs region. point barre.
Et l’environement ne sera plus une source d’exploitation a outrance comme aujourd’hui et pourra enfin etre respecté.
Le PNV? Bouricot, il vous fait vivre l’été? tu crois que les grandes surfaces de bourg saint maurice et aime se plaignent de l’afflu de touristes pendant les 6 semaine sde pleine bourre en été, que les artisants et commerçants s’en pleignent?
Mais il loge ou les touristes, pas dans sarcelles des neige, mais de plus en plus dans des villages, chambre d’hotes…sans compté qu’en tarentaise ils sont nomades car reien n’est fait pour eux l’été à par pralognan
Et tu crois que ces touristes viendraient si à la place de la zone cntrale de PNV ce n’etait que des menuirs et autres arcs 2000, plagne bellecote et autres sarcelle sur neige?
J’y crois pas a tes réflèxions, ouvre les yeux.
La retenu colinnaire des arcs n’est qu’un pretexte fianlement à discussion dans le sens ou c’est une connerie de plus dans un domaine dévasté donc l’impact n’est pas majeur mais qui traduit le fait qu’un système est à bout de souffle, que l’environement est au coeur de cette réflèxion et qu’il faut vraiment pensé l’avenir autrement.

Posté en tant qu’invité par PATRICK73:

Merci pour cet éclairage très intéréssant.
Une question me vient à l’esprit: Cette zone de concertation (finalement) n’arrive t elle pas trop tard?
En tous cas en tarentaise je ne vois vraiment pas ce qu’ils peuvent faire de plus, l’espace est compètement occupé, peut etre que cela joura a fond en maurienne qui commence à avoir des ambitions tardives en terme de développement ski?

Posté en tant qu’invité par PATRICK73:

Oh ben t’est vraiment coincé mon gars, j’éspère que tu n’est pas un réel reflèt des montagnard de ces hautes vallées car si vous etes tous comme ça vous etes mort à court terme!
Remrque il doivent rigoler les chamois quand ils te voient ;-)))

Posté en tant qu’invité par PATRICK73:

Strider ou annapurna, sans tomber dans la thèse, vous pourriez nous donner quelques points clés de cette segmentation, et un deux mots le pourquoi? Justes les points clés?
A+
PAT

Posté en tant qu’invité par Teuf:

strider a écrit:

Impossible de résumer les causes de cette segmentation sur un
post,(ça ferait une thèse ou un mémoire à lui-seul!) ces
causes sont multiples… (et obligeant à ne pas négliger les
composantes sociétales et les aspects historiques)

Arrête ta science petit prof, on en a ras la casquette de ta thèse, un peu de simplicité et de modestie, c’est possible ?

Teuf

Posté en tant qu’invité par strider:

PATRICK73 a écrit:

Strider ou annapurna, sans tomber dans la thèse, vous pourriez
nous donner quelques points clés de cette segmentation, et un
deux mots le pourquoi? Justes les points clés?
A+
PAT

comme on disait il y a segmentation spatiale lorsqu’on a deux espaces contigues aux modes d’usages complètement différents voire opposés.
en cas de segmentation forte, le phénomène prend une dimension visible
ex le fameux col du Palet où les limites du Parc est la ligne de « démarquation » delaquelle la segmentation prend forme.

en général cela traduit un conflit d’usage, il y a donc une réalité cachée derrière cela.
pour le col du Palet, il a opposition dans le sens où un côté est dans une logique touristique avec des équipements « urbains » qui ont un certain impact sur le relief d’origine, et de l’autre il y a une logique de protection avec une réglementation très strict en terme d’aménagement et de comportement et une certaine forme de « sanctuarisation » du moins dans les représentations, de l’espace montagnard…on pourrait presque dire c’est deux visions de la montagne qui se confrontent, démarquées dans l’espace par cette fameuse limite du Parc.

pour répondre à ta question sans évincer la complexité, je pense que la segmentation n’aurait guère eut lieu s’il n’y avait pas eu les équipements ou bien s’il n’y avait pas eu le Parc. On peut chercher dans l’Histoire, dans les représentations, et la géopolitique ces causes de la segmentation : le développement progressif des stations de ski dès 1950, le plan neige dans les années 60, est une logique d’essor de l’époque des trentes glorieuses, où les territoires de montagne était considédérés comme des territoires à la traine qu’il fallait redynamiser et mettre en valeur par des grands projets…en même temps, cette logique d’essor touristique va de pair avec l’essor de la pensée écologique, de la volonté de protéger la Nature (et petit à petit la notion de patrimoine fait son chemin) hé bien grosso modo dans l’histoire cette confrontation des deux logiques se retrouvent, en quelques sortes, confrontées dans l’espace, au niveau du massif de la Vanoise : on pourrait dire de manière un peu schématique qu’on a d’abord une extention forte des grandes stations, puis elle est stoppée par l’implantation du Parc National, puis dans le temps ces extentions viennent, lorsque c’est possible ou que ça vaut le coup , coller au plus près des limites du Parc (si elles ne l’étaient pas déjà au moment de l’impantation du Parc ) créant la segmentation spatiale que nous voyons actuellement. Je ne parle pas du cas des réserves nat. qui vont avec où là c’est très complexe et nourri de paradoxe!

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Teuf a écrit:

Arrête ta science petit prof, on en a ras la casquette de ta
thèse, un peu de simplicité et de modestie, c’est possible ?

Teuf, je te rappelle que les attaques personnelles n’ont pas leur place sur le forum.
Merci de t’en tenir à l’argumentation.

J.Marc, modérateur.

Posté en tant qu’invité par PATRICK73:

Merci, ta réponse est claire et justifie la notion de séparation spatiale, et confirme ce que beaucoup pensent fort logiquement, c’est que sans cette séparation nette (avec la réglementation qui va avec) les équipements lourds des grandes stations seraient dans ce qui est aujourd’hui la ZN du PNV. Donc en terme de protection c’est plutot bien. Est ce pour cela qu’il faut sanctuariser? Dans ce cas la réglementation doit etre différente je suppose.
Mais pour revenir à ma question initiale issue de ce que dit annapurna, on voit bien que la réglementation fait ou ne fait pas barrière à l’extentsion sauvage et démesurée d’équipements lourds.
Donc quid de ce qui remplace le zone périphérique? Adhésion à la charte? est ce suffisant? La concertation « obligatoire » est elle suffisament contraignante pour que les futures actions menées le soient de manière « intélligente »? Je le souhaite mais au fond de moi même je crois que l’aspect financier est beaucoup plus fort qu’on ne l’imagine et baffoue les sentiments consensuels.
Face à cela je crois qu’il faut que lelégislateur soit beaucoup plus ferme. Donc si on est dans une logique de protection, et de développements controlé, il y a des autorisations et aussi des interdictions.
Si il y a des interdictions, c’est une entrave possible à un développement (que l’on soit pour ou contre), et une société qui ne se développe pas, regrèsse, voir disparait.
Donc que met on en face, et c’est la ou le bas blèsse dans nos échanges à tous, en effet:
Il y a ceux qui on en assez de voir la montagne et d’une manière générale, l’environement se dégrader (à juste titre), et ceux qui disent en vivre ou en vivent réellement et qui nous disent de la mettre en veillieuse!

Alors quand on protège, on mets quoi en face pour permettre de continuer un développement de la société?
Pas simple, mais la il y a aussi un débat de fond, et je n’ai pas souvenir d’avoir lu beaucoup de choses la dessus (car les solutions sont peut etre simplement a invneter) d’ou l’objet d’un débat…

Posté en tant qu’invité par JOJO:

ne crois pas que les magasins de la tarentaise ou de la maurienne travaillent grace au parc,une voie descalade a ete desequipée dans le vallon du saut, cela aurai pu deranger les bouquetins j’halucine,les randonneurs sont plus nombreux hors parc ,ils n,ont pas toutessss les interdictionsss demandées

Posté en tant qu’invité par visse:

C’est là qu’intervient une éthique de l’environnement : l’aspect financier et le développement ne doivent pas surpasser ce que la nature a de sacré. Ça parait peut-etre un peu neuneu, mais si l’homme se replaçait dans sa véritable position d’acteur naturel et non de pseudo-maitre, on en serait pas là. Quelques considérations philosophiques ne font pas toujours du mal. Après, la pratique montre souvent la nécessité d’une autorité arbitraire (parc) pour faire valoir cela.

Posté en tant qu’invité par COUSIN HUB:

A trop simplifier, pour les esprits simples, ca ne colle plus a la réalité, d’où une déformation du message et des enjeux.

Personnellment, sans être géographe ou universitaire je trouve les données de strider limpides et éclairantes. A mon humble avis il a du déjà faire un effort de synthèse et « vulgarisation » conséquent.

Si son discours ne vous convient pas changez de post ou, essayer de déflorer ses propos.

Porter une attaque personnelle ne fait pas avancer le débat et, ne vous grandit pas.

Cordialement

Posté en tant qu’invité par JOJO:

Tu ne serais pas un peu fonctoinnaire ou cafiste pour venir faire chier les montagniards Sais tu au moins ce que c’est un chamois ?

Posté en tant qu’invité par JOJO:

Surement elles n’ont que ça à faire

Posté en tant qu’invité par nico:

Cousin Hub, l’attaque de Teuf contre Strider est personnelle car ce monsieur n’accepte pas d’être modéré pour ses dérapages dont notamment des propos homophobes récemment. Ceci dit, je partage parfaitement ta remarque, dehors Teuf si le sujet ne te plaît pas.

Posté en tant qu’invité par Annapurna:

C’est mal connaître le personnage, tout sauf les éléments de ta description. Bon, on te pardonne, les apôtres du bétonnage et des usines à skis ne connaissent pas forcément les millet un trésors de dame nature…

Posté en tant qu’invité par Annapurna:

Je ne connais pas l’exemple du col du Palet donc je ne peux pas en discuter. Un autre pourrait être la Grande Motte. D’un côté, Tignes, funiculaire, téléphérique et j’en passe sur le glacier et en dessous (c’est à regrets le seul lieu aménagé de la zone centrale du PNV) et de l’autre, une superbe face glacière bien visible depuis Champagny-le-Haut. D’accord avec Strider, la segmentation spatiale a des causes multiples (en résumant, dans notre cas précis, c’est toute l’histoire du choc et des conflits entre le PNV et ce qui résulte du plan neige créés tous deux en 1963). Je ne reviens pas sur la définition donnée par Strider que je partage.

Visse souligne un élément très important qui cache un vrai problème. Je vais lâcher un gros mot, cela revient à définir la capacité de charge avec laquelle est en relation la définition de l’UTN (procédure nécessaire à l’implantation de la retenue collinaire pour revenir au sujet de départ). La réflexion doit se faire à l’échelle du lieu en fonction de la charge limite, différente en fonction d’un lieu déjà aménagé ou pas. Comme l’a dit quelqu’un (Visse?), au point où on en est aux Arcs, ce n’est pas dramatique même si, par principe, contester ce genre d’agissements est nécessaire. A la Grande Motte, la capacité de charge ne me semble pas bien différente sur les deux versants. Pourtant, il ya une vraie segmentation spatiale. Conclusion : la charge limite étant largement dépassée, les dommages sont irréversibles. Et qu’arrivera-t-il lorsque tout ce système aura vécu et tombera en désuétude? On aura des montagnes pourries et comme tout produit commercial, il sera vendu ailleurs (Himalaya par exemple). Et rebelotte…

Posté en tant qu’invité par Francois:

PATRICK73 a écrit:

Si il y a des interdictions, c’est une entrave possible à un
développement (que l’on soit pour ou contre), et une société
qui ne se développe pas, regrèsse, voir disparait.

Je ne suis pas d’accord. Les interdictions ont toujours existé et n’ont jamais empêché le développement d’une socièté, au contraire. Simplement, il faut légiférer à bon escient.

Donc que met on en face, et c’est la ou le bas blèsse dans nos
échanges à tous, en effet:
Il y a ceux qui on en assez de voir la montagne et d’une
manière générale, l’environement se dégrader (à juste titre),
et ceux qui disent en vivre ou en vivent réellement et qui nous
disent de la mettre en veillieuse!

Alors quand on protège, on mets quoi en face pour permettre de
continuer un développement de la société?

Déjà, ne pas confondre développement et croissance. La question est plutôt: quel genre de développement voulons-nous?

Pas simple, mais la il y a aussi un débat de fond, et je n’ai
pas souvenir d’avoir lu beaucoup de choses la dessus (car les
solutions sont peut etre simplement a invneter) d’ou l’objet
d’un débat…

Posté en tant qu’invité par Teuf:

nico a écrit:

Cousin Hub, l’attaque de Teuf contre Strider est personnelle
car ce monsieur n’accepte pas d’être modéré pour ses dérapages
dont notamment des propos homophobes récemment.

Euh, lesquels ?

D’abord, c’est pas bien de se méler des affaires des autres comme ça. Laisser nous, Strider et moi, ça se réglera à coup de piolets traction dans la _____ (sencure préventive) quand le moment sera venu. Pis je suis non violent môsieu, Peace and Love, telle est ma devise ! je suis seulement antimilitairiste (ou militarophobe, voir Striderophobe, comme tu veux), mais des propos homophobes, l’accusation est grave, je vois pas quand j’ai pu… alors faut des preuves sinon attetion m’sieu, je risque de devennir Nicophobe.

Teuf